Pendant et après le mouvement anti-cpe, de nombreux-ses militant-e-s ont été condamné-e-s à de lourdes amendes et de lourdes peines de prison. Leurs crimes? Privilégier la solidarité à la concurrence, lutter pour une société plus égalitaire.

En septembre dernier, une militante angevine a ainsi été condamnée à 2200 euros d’amende, après avoir fait 70 heures de TIG (Travaux d’intérêts généraux). Elle s’était fait juger pour une action collective contre les locaux du MEDEF lors du mouvement anti-cpe.

Ensemble marquons notre opposition à cette justice au service du patronat et des classes dirigeantes. Marquons notre solidarité avec toutes les victimes de la répression policière et judiciaire.

Soirée organisée par le collectif angevin anti-répression du mouvement anti-cpe et Sud Étudiant Angers