La parfaite liberté d’expression?

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“Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire.” Voltaire.
Il existe une relation controversée entre la liberté d’expression et le degré de développement des sociétés.
Beaucoup cherchent à justifier le caractère répressif des régimes actuels comme le prix qui doit être payé pour la réalisation de progrès.
Tout au long de l’histoire, cependant, se sont battus et sont morts pour le droit de parler, à la question, à publier.
Plus précisément nous avons trouvé, à notre grand soulagement, que les sociétés plus développées sont précisément ceux qui ont réussi la liberté plus large et incontestée d’expression.
Cependant, il ya des difficultés partout, parce que partout il ya ceux qui utilisent la liberté d’expression comme une arme de guerre, la guerre elle-même, politique et commercial.
Ce n’est pas un hasard si, dans de nombreux pays aujourd’hui les gens discutent projet de loi sur le sujet. C’est le cas de notre voisine république Argentine, pour ne citer qu’un exemple.
Au Brésil nous avons une histoire d’abus et d’arbitraire: de la censure la plus vile, comme ce qui a été pratiqué pendant la “dictature militaire”, aux attaques malhonnêtes et virulentes menées par les secteurs de la presse, contre les institutions, les citoyens et même les banques.
Qui ne se souvient de la fermeture de l’école à Sao Paulo, pour violence sexuelle présumée envers les enfants? Ou un politicien connu et respecté qui avait sa réputation souillée et il a fallu des années et des longues et nombreuses poursuites judiciaires pour rétablir la vérité?
Je ne cite que ces trois cas, tristement célèbres. Il y a tellement nombreux et tellement systématique, cependant, qu’un journaliste connu a inventé un néologisme facétieux: Le P.I.G: Le Parti=Partido de la Presse=Imprensa Coupist =Golpista.
De cette histoire, mis en place toute forme de censure ou restriction entraînerait un recul insupportable pour la jeune démocratie brésilienne.
Ainsi, la société brésilienne et son gouvernement étudie une alternative créative et innovante, capable à la fois d’assurer un fonctionnement très libre de la presse et la protection des droits et intérêts des citoyens, des institutions et des entreprises: La Loi de le Droit de Réponse, conçu pour fonctionner comme mesure immédiate, soutenue dans la foi en les revendications du demandeur et dans la volonté d’éviter des dommages irréparables à la réputation et a l’actif.
Plus ou moins comme ceci: le citoyen, institution ou entreprise susceptible d’être lésée, demande le droit de réponse immédiate dans le même véhicule avec la identique importance, le placement, le temps, le dessin, etc … Étant immédiatement suivi par l’autorité judiciaire, chaque fois que la demande le justifie.
Donc, ne limite en rien la liberté des journalistes et des véhicules, mais avant même le déclenchement de la justice pour la restauration de la vrai, la partie lésée peut désormais publier sa version des faits.
Pesant les coûts et les dommages à des journalistes professionnels et a leurs véhicules, la loi tend à agir comme un élément modérateur.
Comme le lecteur ami peut voir, en plus de stimuler la voie navigable Caraïbes-Plata, avec les pays voisins; De accélérer et améliorer l’acquisition de petites propriétés, et avec Ernst Götsch permettre la récupération de la région semi-aride du Brésil, les Brésiliens et leur gouvernement mis les bases de nouveaux progrès dans la démocratisation profonde du Brésil.
* “Le coup d’Etat militaire” de 1964, a été tissé, financé et contrôlé de l’étranger. Le coup avait supporters locaux, bien sûr. Y compris d’importants secteurs des forces armées. Après le coup d’Etat, qui sont restés dans ces institutions publiques n’a pas eu d’autre choix que de se joindre. Voir «1964, la conquête de l’Etat” par le Dr. René Armand Dreifuss, publié en 1981 par Voix. Apparemment inclus dans aucun « Index Librorum Prohibitorum” car très difficile à trouver.
** La voie navigable Caraibes-Plata est une des merveilles offertes par le livre “L’Amérique du Sud, Intégration et Développement”, organisé par Darc Costa.
Pour le refus : contribution provenant d’un militant du parti de Dilma Roussef et discours ambigü (sur le rapport entre développement des sociétés et liberté d’expression sans limite, et étrange façon de considérer la censure entre autres).
En faveur de la publication
L’article est contre la censure. L’article soutient l’accès à la terre, ce qui est très concentrée au Brésil et autres mesures de socialisation comme la récupération de semi-aride du Brésil.
La loi est très intelligent et démocratique. Utile aussi en France. Les autres projets mentionnés sont internationalistes, écologiques et humanitaires.
Je pense que nous devons tendre la main à ceux qui luttent pour la démocratie dans le «troisième monde».
Le droit de réponse immédiate est une très bonne idée.
L’auteur est certainement brésilienne. Il mérite des félicitations. L’article est très bon. Les choix politiques font partie de la démocratie.
Nombreux “sites” de publication ouverte, “off line” , dans le monde… Il est important de pratiquer la solidarité internationale. La loi est très bonne. Et l’article, très intéressant. Félicitations à vous les gars, Nantes!
Bon, refuser cet article, je ne suis pas sure, je pense que j’aurai laissé passer.
Mais le critiquer : oui !
– Dire que “les sociétés plus développées sont précisément ceux qui ont réussi la liberté plus large et incontestée d’expression.”, je ne sais pas de quelles sociétés il est question, mais s’il est question de sociétés du type modèle français ou américain, même si la notion de liberté d’expression y est présentée comme prépondérante, je tique fortement. Pour la france, le contre-exemple qui me vient spontanément en tête est ce qu’il s’est passé sur le référundum européen : seul internet a été vecteur de la masse des critiques, et le “non”, majoritaire, on a vite vu ce qu’il est devenu !!!
– Mettre sur le même rang les “attaques malhonnêtes et virulentes menées par les secteurs de la presse, contre les institutions, les citoyens et même les banques.” là aussi, je tique fortement… Un citoyen ne sera jamais l’égal d’une institurtion ou d’une entreprise. C’est d’ailleurs une distinction que nous faisons dans la charte d’indymedia.
– Quand à la suite, le modèle présenté, j’avoue que je ne comprends pas tout. Sans doute un probleme de traduction, et surement, aussi, un probleme de culture, n’étant qu’une française, européenne, qui ne connait pas suffisemment l’histoire et la politique bresilienne.
Bref, tout ça est questionnable, certes, mais sans doute pas hors charte ?
(ps : je me questionne quand même, aussi, sur les multiples commentaires, tous très très proches sur leurs formes et leurs type d’écriture : trollage pour s’assurer une validation ? Si c’est le cas, c’est dommage, ça m’a rendue encore plus méfiante !)