Allez travailler c’est enquêter sur la disparition de nos droits:

Même en se préservant et en essayant d’aller vers les boulots qui ont bonne réputation..patatras! les droits en éclat!
La disparition progressive de la pause de 10 minutes
Une cadence insupportable (en ce moment pour la mise sous plis de ces chers bulletins de vote), même à l’intérieur des entreprises de réinsertion (cf grève à Emmaûs ) devant, bien sûr, le sourire fort bien pausé de ceux qui ont le fouet.A croire qu’ils n’ont jamais eu de compassion!L’absence d’émotion doit être utile à la prise de pouvoir.
Des humiliations multiples de la part de chef souvent peu diplômés et surtout sadiques envers les plus faibles.Un exutoire à leur pression?
Le travail est devenu « à la vie à la mort! »Le vocabulaire appartient la plupart du temps au champs militaire… quand ce ne sont pas des militaires eux même qui nous encadrent!Car ils sont bien implantés dans le 44, les militaires, et ils sont militants, les militaires.. Dans la classe des encadrants ils sont une sorte de modèle d’autorité..ah ah!
Le voile qui tombe encore!.. et c’est la corruption aussi dans les réseaux d’insertion sociale..Cela ne laisse que des privilégiés et des lésés (pas étonnant que l’on invente des jeux de la mort en ce moment -cf article du monde diplo-)

Aller travailler devient se désillusionner.Merci pour les jeunes qui voient et vivent cela .Super! Bravo!