3.311 détenus en Grèce en grève de la faim, en même temps que de milliers d’autres s’ abstinent depuis longtemps des repas collectifs. A l’extrême, les 17 prisonniers à Trikala, (Grèce centrale), qui ont cousu leur bouche(!), alors que les « enfants enfermés » aux prisons pour mineurs participent massivement au mouvement.
L’Initiative pour les Droits des détenus , parmi d’autre organisations soutenantes le mouvement, souligne que les demandes des grévistes et abstenants sont justes et réalisables et dénonce le comportement des employés pénitenciers, qui menacent et terrorisent les prisonniers- grévistes. Il y a eu apparaîment des reproches pour des comportements provocateurs de la part des employés, qui circulaient en démonstration de grands plats-pour-four de nourriture à côté des grévistes de la faim.
Ceci est considérer comme torture, alors que les grévistes de la faim sont protégées par les conventions internationaux.