Ce matin 8h45, Didier Delorme, le directeur de l’UFR FLCE, accompagné de quelques membres du personnel se sont réunis devant une entrée du bâtiment CIL avec la ferme intention de lever le blocus.
« On jouait aux cartes entre étudiant.e.s mobilisé.e.s devant les barricades, puis un membre du personnel est venu nous parler sur un ton colérique, pour nous faire part de son mécontentement de ne pas travailler. Puis un autre membre du personnel a balancé violemment les barricades qui sont tombées sur nous. Nous étions assis.e.s en cercle, la plupart d’entre nous n’avons pas été touché, mais je me suis pris une barrière dans le haut du dos. J’ai ressenti une décharge au niveau des cervicales, déjà tendue de la situation, je me suis étourdie, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu les membres du personnel me regarder sans rien faire. C’est plus de peur que de mal … c’est de la déception, de la colère ».
Nous sommes outré.e.s de la confrontation physique de certains membres du personnel envers les étudiant.e.s et de la passivité des autres…
Ce matin 8h45, Didier Delorme, le directeur de l’UFR FLCE, accompagné de quelques membres du personnel se sont réunis devant une entrée du bâtiment CIL avec la ferme intention de lever le blocus.
« On jouait aux cartes entre étudiant.e.s mobilisé.e.s devant les barricades, puis un membre du personnel est venu nous parler sur un ton colérique, pour nous faire part de son mécontentement de ne pas travailler. Puis un autre membre du personnel a balancé violemment les barricades qui sont tombées sur nous. Nous étions assis.e.s en cercle, la plupart d’entre nous n’avons pas été touché, mais je me suis pris une barrière dans le haut du dos. J’ai ressenti une décharge au niveau des cervicales, déjà tendue de la situation, je me suis étourdie, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu les membres du personnel me regarder sans rien faire. C’est plus de peur que de mal … c’est de la déception, de la colère ».
Nous sommes outré.e.s de la confrontation physique de certains membres du personnel envers les étudiant.e.s et de la passivité des autres…