Sept étudiant-e-s ont été placé-e-s en garde à vue au prétexte de « dégradation de biens publics ».
En réalité, ils/elles n’ont pas été choisi-e-s au hasard : il s’agit de militant-e-s particulièrement
impliqué-e-s dans le mouvement, dont trois syndiqué-e-s SUD-Etudiant et CNT.
L’Union Syndicale Solidaires condamne la répression policière et s’insurge contre la
criminalisation toujours croissante du mouvement social. Nous exigeons la libération
immédiate de tou-te-s les interpelé-e-s et l’arrêt des poursuites engagées à leur encontre.
Nous réaffirmons notre soutien sans condition au mouvement social en cours à
l’Université.
Nantes, le 26 mars 2009