Les Jeux Olympiques d’Hiver de Vancouver 2010 ont prévu de se tenir sur des terres autochtones non-cédées, du 12 au 28 Février 2010. Mais les effets dévastateurs des Jeux d’Hiver à venir ont déjà commencé à se faire ressentir :

* développements touristiques et extraction de ressources sur les terres autochtones
* itinérance et embourgeoisement des quartiers populaires
* privatisation des services publics
* utilisation abusive des travailleurs migrants
* renforcement de la sécurité nationale et de l’appareil militaire

Derrière le slogan « Pas d’Olympiques sur des terres volées », une opportunité est donnée aux activistes anti-capitalistes, anti-pauvreté, anti-guerre, anti-colonialistes de venir confronter cet événement et l’oppression qu’il représente. Le but de la résistance est d’éliminer les impacts des Olympiques et de catalyser des mouvements sociaux plus forts.

A Grenoble (France), oû ont déjà été organisés des Jeux Olympiques il y a une quarantaine d’années, les dirigeants se sont à nouveau portés candiats pour les JO d’hiver 2018. Là aussi la contestation commence à se faire sentir depuis le début de l’année : toutes les présentations publiques autour de cette campagne ont été pertubées.

A travers tout le Canada, cela fait déjà plusieurs années que des compagnies liées aux Olympiques ou à leur oragnisation sont visées. Des dizaines d’actes de sabotage ont été perpétrés, notamment à l’encontre de la Banque Royale du Canada (RBC) et de Mc Donald’s.

Oû que nous soyons, des vitres cassées aux toilettes cimentées en passant par les serrures collées, tous les moyens sont bons pour leur montrer notre rage.
Soyons imaginatifs !