A Grenoble comme ailleurs, la police expulse les gens en galère de thunes, locataires ou squatteur.euse.s.
A Grenoble comme ailleurs, la Ville et les promoteurs défoncent les quartiers populaires pour aseptiser toujours plus la ville et agrandir le centre-ville bourgeois.
Les actions de cette nuit sont dédiées à toutes les personnes en lutte contre l’arrogance de la propriété privée, sur la question du logement comme sur les autres.
Solidarité avec les squatteur.euse.s de Grenoble, mais aussi de Calais où les squats sans-papiers se font perquisitionner et expulser de plus en plus souvent, de Montreuil où cet été les flics ont fait des dégâts dans leur guerre anti-squats, de Grèce où plusieurs squats ont subi des attentats fascistes cet été, de Prague où le vieux squat Milada a été expulsé au début de l’été et où un nouveau squat a été expulsé la semaine dernière, d’Algérie où le squat est de plus en plus considéré comme une solution aux problèmes de logement, de Sao Paulo (au Brésil) où dernièrement des habitant.e.s de deux favelas se sont affronté.e.s à la police (notamment lors d’une tentative d’expulsion), de Bristol (en Angleterre) où des squatteur.euse.s ont lancé cet appel à solidarité internationale… Enfin, solidarité avec tous ceux et toutes celles qui, sur toute la planète, luttent pour en finir avec la propriété privée!