Comme en 2003, lors de la grève du secondaire, le mouvement en cours à l’université conduit à une remise en cause de la notation (faut-il « accorder » des « semestres blancs » ? cf : http://www.liberation.fr/societe/0101560727-mouvement-u…ffert)

L’actualité des articles suivants semble renforcée par la situation présente. Il est temps de rompre avec la méritocratie républicaine, avec la doxa néolibérale de l’ »égalité des chances » qui ne sont que soumission à l’ordre social.

Si la lutte ne permet pas aux étudiants l’étude critique des mécanismes de la société de conurrence, si la lutte ne fait pas sien le mot d’ordre d’une NOTATION ÉLEVÉE ET ÉGALE POUR TOUS, il ne se sera agit que d’une défense subalterne de l’existant.

QU’EST CE QUE L’ÉVALUATION ? UNE FABRIQUE D’INDIVIDUS.

QUI SAIT ? par Muriel Combes
http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4356
propose une approche de la transduction simondonienne, creuse la notion de compétence, problèmatise l’évaluation, offre des éléments critiques sur l’individualisation

Commencer un mouvement comme si l’on était déjà en train de le continuer… et Pour une politique du savoir, Bernard Aspe, 2009
http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4350

INÉVITABLEMENT (APRÈS L’ÉCOLE), Julie Roux, enseignante, chômeur, philosophe et chauffeur-livreur, livre paru en 2007, texte intégral
1. L’enseignant et sa lutte
2. « Notre métier : évaluer »
3. Le savoir et ses « contenus »
4. La transparence des acquis
5. Toujours plus
6. Abolition de l’enfance
Pour finir
http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4353

À QUOI SERT L’ÉCOLE ?

Dix Thèses sur l’Université Productive, Cristal qui songe, 1997
http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=2685

L’école, atelier de la société-usine, L’école en lutte, 1973
http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=2686