Chacals et arabes (encore un mot sur le dialogue judéo-allemand)
« Combien le dialogue est rare », déplore Maurice Blanchot, qui en savait long sur les dialogues et les conversations, voire les entretiens infinis[1]. J’écris « déplore », mais ce n’est peut-être pas le bon mot, car on aurait du mal à situer sous la lumineuse rubrique du plaisir ou du bonheur les réflexions…