Allez, j’ai du temps à perdre alors je vais répondre. Ma réponse n’engage que moi d’autre personne ne seront évidement pas d’accord avec moi.
Je pense que le capitalisme ce n’est pas « mal ». Il n’y a aucun dogme sur se site qui prétend le contraire. Ce n’est pas « mal » d’accumuler des fortunes avec le travail des autres, (oui je sais, c’est très dur de gérer une entreprise, les patronNEs sont des genTEs extrèmement méritantEs, illes travaillent plus que dix ouvrierEs ect., disons qu’illes gagnent leur argent avec leur travail plus celui des autres), ce n’est pas mal de soumettre par la force celleux qui n’acceptent pas les règles du jeu fixées par une minorité en fonction de ses intérets, ce n’est pas mal de prétendre posseder des biens dont on a pas d’utilité et de faire payer celleux qui en on besoin. Seulement, sans que cela soit bien ou mal, ce système ne plait/convient pas à tout le monde. Ce site est destiné à être un espace de parole et d’organisation pour celleux qui ne partage pas ta vision des choses et qui subissent par la force la violence de la société libérale capitaliste. Du coup, je te retourne ta question : C’est quoi, le problème avec ça ?
Aujourd’hui, je suis d’humeur à causer. Demain, je serais peut-être plus d’humeur à te foutre une begne sans avertissement. Il n’y a aucun dogme qui empèche de se révolter quand on craque à force de croiser partout des flicQUEs qui nous dictent notre conduite à coup de matraque.
PS : Ce site laisse par ailleurs plus facilement la parole aux liberaux et à celleux qui veulent réformer la société en en acceptant les règles du jeu, pour peu que les codes de langage soit respectés qu’aux militantEs radicales/caux qui ne les respectent pas.
je me fous de ton ironie. ce que ta réponse ne m’apporte rien que je ne savais pas déjà. aucun esprit d’analyse, aucun recul, et une utilisation abusive de certains termes. quand on te parle capitalisme, tu vois la société actuelle dans son ensemble, a accepter ou refuser en bloc. donc je reformule ma question : en quoi est-ce un problème que des gens investissent leur argent dans des entreprises, et par conséquent en soient propriétaires ? j’ajoute que pour moi, les employés devraient toujours être intéressés aux bénefs, et particier aux prises de décisions comme ls acrtionnaires, et que pour moi ce genre de mesures serait une extension du capitalisme. alors ?
Tu parles d’économie à des gens qui vivent dans les analyses du Scalp et de la lcr. Votre dialogue est très impossible. Ce sont des croyants qui vivent de la frustration sociale.
Pour répondre à ta question, je pense que faire en sorte que l’intéressement soit généralisé et pas réservé aux seuls cadres actionnaires est une bonne chose.
Apparemment, dans les trois derniers messages, le capitalisme a été réduit à la possibilité d’investir de l’argent dans une entreprise et d’en être propriétaire. Il faut y ajouter la volonté démesurée d’accrôitre son bien, faire du fric sur le dos des autres, puisque la société n’est qu’un rapport entre des personnes, et que l’argent ne tombe pas du ciel. IL faut peut être expliquer comment fonctionne l’augmentation de « la plus value », comment tu fait du fric, si tu veux, on ne vend jamais quelque chose sans qu’il te rapporte plus que ce qu’il t accoûter, en fait t’arnacque tout le temps, et pour cela il te faut un rapport de force, un mensonge, ou une supériorité quelqueconque. Cela ne marche pas vraiment à l’intéret comme le dise les économistes, il y a la nécessité, le besoin, je ne peux pas faire autrement. Et la majorité n’on pas le rapport de force de leur côté. Ce rapport est démesuré. Voit l’inégalité entre la multinationale et la PME, vois l’inégalité entre le patron de la PME et l’ouvrier de base. Voie l’inégalité entre le fils de bourgeois, qu’aura de l’argent pour investir ou reprendre l’entreprise de papa, devenir propriétaire et le fils de prolo ( oh y a toujours des exceptions,… qui confirme la règle ! ! !) De plus dans le capitalisme il y a tous le système du droit, les règles de l’augmentation des prix, La règle qui permel’achat de la force de travail des corps humains au travers du contrat ( dans le rapport au travail le corps est une marchandise et les gens vendent leur corps pour ne pas crever, les employeurs eux achètes du corps, de la vie.Pour faire de la richesse mais surtout pour faire de la tune, voit toutes les productions inutiles… et la nouvelle ventes des services en tout genre. alors que l’on peut utiliser du temps et de l’intelligence pour s’organiser. Alors on va nous dire que c’est dans l’intéret de l’employé de se vendre et de travailler, mais c’est encore plus dans l’intéret de l’employeur. et c’est pas l’accès au bénéfices qui va changer quelque chose. Le marché fonctionne sur la sélection et la mise sur la touche de ceux qui ne sont pas compétitif ( qui ne se soumette pas aux nouvelles règles du management, du sacrifice de soi pour l’entreprise, de l’effort pour rester dans les rails du train) des vie sont à tout moment détruite après avoir été exploités, usée, abimée, vendre sont corps, sa vie en espérant que les autres ne soit pas pris à ta place, c’est mettre chaque personne dans une situation de compétitions acharnée. What’s the FUCK ! ! !.
Je ne veux pas des proprios et des supérieurs hiérarchiques. Parce que quand t ‘es propriétaires d’une boite tu te sents nécessairement supérieur à ceux que tu emploi, et que le contrat affirme que l’employé doit se soumettre à sa hiérarchie, parce que je suis né libre et que je ne veux pas me vendre pendant 8 Heures par jour. Parce que la compétition fous les hommes-femmes dans des situations de dominations et d’écrasement… Je conchie le capitalisme et ses aménagements.
Je veux « pas être esclave » d’un frustré en mal de tune qui fou la pression par ce qu’il c’est foutu plein de responsabilité sur le dos. Je ne veux pas rentré courbé et navré le soir après 8 heures de taf, dégouté de ne pas avoir foutu un coup poing dans la gueule de mon collègue parce que c’est un sale facho, et que je devais gardé mon emploi, pour payé mes traites, mon logement, ma boof, le multiplexe…
On a longtemps dit aussi aux gens que c’était la seule manière de vivre, vendre sa force de travail, trouver un emploi, devenir propriétatrie comme on a dit longtemps aux esclaves qu’ils ne pouvaient être libre, tu dois en être la preuve. Vous croyez que le fonctionnement économique marche suivant intéret, accroissement du marché, calcul rationnel, comme l’écrive nos grands économistes maître de la parole scientifique et divine, mais la vie des sociétés marchandes comme toute société humaine est faite d’émotion, de nécessité, de je n’ai pas le choix, de marche ou crève, de soumission, de faux semblant, de domination, de violence quotidienne, d’arnaque de pot de vin, de j’achète un truc mais je ne sais même pas pourquoi, de mon fils aurra une place même s’il est imcompétant, rien avoir avec ton économie d’intéret calculé et rationnel. Mais tu dois être un croyant ou un fétiche, à moins que tu es simplement une bonne place de cadre, ou que tu vise une telle place. Au bout du compte, ce n’est pas une question de croyance mais de positionnement : A quelle classe tu veux appartenir, ceux qui s’en sorte et domine, ceux qui sont dominés, ceux qui veulent balayés ces rapports de domination. En faite on aboutit à l’affrontement entre « le confort intellectuel » et la liberté, entre le formatage normé et la résistance, toutes ces choses que ceux qui pensent sur le mode économistes petit bourgois ne comprennent pas…
– capitalisme : possibilité d’investir de l’argent dans une entreprise et d’en être propriétaire
– volonté démesurée d’accrôitre son bien : avidité : pulsion primaire qui peut exister dans n’importe quel système économique
– « on ne vend jamais quelque chose sans qu’il te rapporte plus que ce qu’il t accoûter, en fait t’arnacque tout le temps »
_ Donc d’après toi, le fait de vendre quelque chose, de chercher les fournisseurs et les clients, n’est pas une activité digne d’être rémunérée…
– « Cela ne marche pas vraiment à l’intéret comme le dise les économistes, il y a la nécessité, le besoin, je ne peux pas faire autrement. »
_ Et pour toi, ça fait pas partie de l’intérêt ?
– « Et la majorité n’on pas le rapport de force de leur côté. »
_ Tu négliges un point assez important dans ton analyse : la concurrence. Si je trouve qu’un magasin se fait trop de tunes sur mon dos, je vais chez un concurrent. Je reconnais qu’il nous faudrait des dispositifs plus efficaces pour lutter contre certains accords entre concurents, et pour briser les monopoles ou oligopoles…
– « on va nous dire que c’est dans l’intéret de l’employé de se vendre et de travailler, mais c’est encore plus dans l’intéret de l’employeur. »
_ Ce qui sous-entend que dès que quelque chose est dans l’intérêt de l’employeur, il est absolument impossible que ce soit dans celui de l’employé… A démontrer…
– « et c’est pas l’accès au bénéfices qui va changer quelque chose. »
_ Sachant que c’est justement la différence entre les bénéfices et les salaires qui pose problème, il me semble que si, c’est une avancée.
– « Le marché fonctionne sur la sélection et la mise sur la touche de ceux qui ne sont pas compétitif »
_ Pas seulement le marché… Un débat fonctionne de la même manière en somme, y compris celui-ci : ceux qui se sentent « sur la touche » pour quelque raison que ce soit (par exemple ils ne comprennent pas ce qu’on dit) finirons par ne plus y participer… Ce qui permet d’élever le niveau du débat^^
– « sacrifice de soi pour l’entreprise »
_ Ca, c’est un point que je n’approuve pas, moi non plus. Arrêtez de réagir comme si tous ceux qui ne sont pas avec vous étaient contre vous…
– « mettre chaque personne dans une situation de compétitions acharnée. »
_ Ah, j’oubliais, la compétition, c’est Satan ! On doit tous être des gentils bisounours…
– « je suis né libre »
_ Techniquement, non. La liberté est quelque chose qui s’acquiert peu à peu, en apprenant à dire non… Une liberté qu’on ne garantit pas soi-même n’en est pas nue, à mon avis.
– « je ne veux pas me vendre pendant 8 Heures par jour. »
_ Ca, c’est ton affaire. Mais ne demande pas aux autres de te payer le prix de ce que tu ne veux pas leur vendre, ça s’appelle du vol.
– « Je veux « pas être esclave » d’un frustré en mal de tune qui fou la pression par ce qu’il c’est foutu plein de responsabilité sur le dos. Je ne veux pas rentré courbé et navré le soir après 8 heures de taf, dégouté de ne pas avoir foutu un coup poing dans la gueule de mon collègue parce que c’est un sale facho, et que je devais gardé mon emploi, pour payé mes traites, mon logement, ma boof, le multiplexe… »
_ Oui je sais, la sortie de l’adolescence, c’est un moment délicat… Tu t’en sortiras, tu verra…
– « On a longtemps dit aussi aux gens que c’était la seule manière de vivre, vendre sa force de travail, trouver un emploi, devenir propriétatrie comme on a dit longtemps aux esclaves qu’ils ne pouvaient être libre, tu dois en être la preuve. Vous croyez que le fonctionnement économique marche suivant intéret, accroissement du marché, calcul rationnel, comme l’écrive nos grands économistes maître de la parole scientifique et divine, mais la vie des sociétés marchandes comme toute société humaine est faite d’émotion, de nécessité, de je n’ai pas le choix, de marche ou crève, de soumission, de faux semblant, de domination, de violence quotidienne, d’arnaque de pot de vin, de j’achète un truc mais je ne sais même pas pourquoi, de mon fils aurra une place même s’il est imcompétant, rien avoir avec ton économie d’intéret calculé et rationnel. »
_ Tout d’abord, je diagnostique une diarrhée textuelle (maladie endémique au sein de certains milieux militants). Ce passage peut se résumer par : « Il y a aussi des émotions en jeu dans l’activité économique, donc les analyses purement rationnelles sont entièrement fausses. » Ces analyses sont des modélisations, elles ne prétendent pas rendre compte parfaitement de la réalité (Sauf quelques extrêmistes, mais bon, à chacun de faire son tri…), il faut plus ou moins se fier à son « flair » pour adapter les théories aux cas pratiques.
– « A quelle classe tu veux appartenir, ceux qui s’en sorte et domine, ceux qui sont dominés, ceux qui veulent balayés ces rapports de domination. »
_ Je suis d’abord un individu, pas un membre d’une « classe ». Et je ne vois pas le monde comme un tout que je dois accepter en bloc ou refuser en bloc, je préfère garder mon sens de la nuance et ma subtilité.
– « En faite on aboutit à l’affrontement entre « le confort intellectuel » et la liberté, entre le formatage normé et la résistance, toutes ces choses que ceux qui pensent sur le mode économistes petit bourgois ne comprennent pas… »
_ Tu veux dire : « Entre le Bien et le Mal ». Franchement, ces jugements à la va-vite, c’est lassant…
Une seule chose, le vol est le cousin du capitalisme. Le concept du vol ne peut pas exister sans la notion de propriété. Le capitalisme a fini par créer le besoin de possèder des biens utilies et souvent très inutile. Alors ce que tu as mentionner à l’intérieur de ton plus récent message:
« Ca, c’est ton affaire. Mais ne demande pas aux autres de te payer le prix de ce que tu ne veux pas leur vendre, ça s’appelle du vol ».
Cette affirmation illustre seulement que tu es une autre pauvre victime inconsciente du sytème que l’on t’impose. Bien que tu te considère heureux dans ce système, il te contrôle. Le capitalisme est mal à partir du moment où les individus qui peuplent cette planète en dépendent. Aujourd’hui, à travers les médias de masse, on associe le bonheur au nombre de biens que l’on possède. C’est ce qui fait que la majorité des gens embarquent dans le cercle vicieu du capitalisme pour être heureux. Quand tu t’y adapte, tu deviens complètement aveuglé. Tu finis par croire que ce n’est pas si mal finalement. Un jours, à 50 ans, tu te rends compte que tu as consacré ta vie au complet à la consommation, sans jamais devenir ce que tu aurais dû être. C’est fou quand même ! Capitalisme = Possèder toujours plus =.
Être = s’éloigner de cette folie de consommer et de possèder des biens, au profit de se possèder soit même en tant qu’individu. Ne pas vouloir se vendre 8 heures par jour n’est pas un signe de paresse, mais un signe d’intelligence et de liberté. Tout ce qui est pour toi lois et normes n’existent que dans le monde capitaliste. Ceux qui sont contre ce monde réglementé paraissent toujours plus farfelus, car on ne peut pas argumenter aussi facilement un idéal qui appartient au futur. Ce sera toujours plus facile pour toi d’argumenter pour le capitalisme, car c’est un système qui existe déjà.
Encore et toujours les mêmes amalgames… Je suis désolé, mais ce qu’on appelle le capitalisme, c’est le fait que les entreprises appartiennent à des investisseurs qui se partagent les bénéfices en proportion de leurs investissements. Ce que tu me décris là, c’est la société de consommation, qui est une des possibilités du capitalisme, mais pas la seule.
« Tout ce qui est pour toi lois et normes n’existent que dans le monde capitaliste. »
Tu crois vraiment qu’il puisse exister une société dans laquelle des gens accepterons de bosser pour que tu sois payé à rien foutre, et ce délibérément?
« on ne peut pas argumenter aussi facilement un idéal qui appartient au futur. »
Si, il suffit de voir ce qui à déjà été fait, de dire ce qui n’a pas marché, et d’expliquer qu’on pense que ça marcherait mieux en s’y prennant de telle ou telle façon. Mais peut-être n’es-tu pas très sûr de tes idées…
je vois un bon débat sur une question qui lance beaucoup de points de vue
le capitalisme est un système économique qui se base sur trois choses;
—le profit(tout ce qui est bien argent mème des petites sommes est un profit)ce qui veut dire ;il faut payer d’impots et pk? pour financer les parties politiques)
—la société du consommation (concurrence)ce qui veut dire :dominer les medias et diriger les idées des gens en trichant car au moment qu’on remarque que tf1 et m6 sont des chaines de publicités a 80 % on se demande ou il est parti ce but d ‘informer les gens alors que c’est un des premiers roles des medias
—la propriété privée,ce qui veut dire t’as pas le droit de rentrer chez moi plutot de toucher mes intérets (je travaille avec les mafias des politiques) ou j ‘ai des miliers de dollars chez moi en éspèce je me fous de la justice car c’est une proprieté privée
c mal tout ce que je viens de dire donc c mal le capitalisme
Cela reste inique, voir une insulte de nous jours croire qu’un citoyen ignore la définition du système capitaliste en France.
Dans un dictionnaire « Flammarion »
Nous trouvons [nom masculin], Régime économique et social fondé sur le capital. (2) L’ensemble de puissances capitalistes.
Dans un dictionnaire « Larousse »
[Nom masculin] système économique et social fondé sur la propriété privée des moyens de production et d’échange. (Le capitalisme se caractérise pour la recherche de profit, l’initiative individuelle, la concurrence entre les entreprises) (2) Régime économique, politique et social qui selon la théorie marxiste et régi par la recherche de la plus-value grâce à l’exploitation des travailleurs par ceux qui possèdent les moyens de production et d’échange.
Bien sur qu’il est impossible de faire coïncider la définition avec la volonté individuelle de chacun.
–
Allez, j’ai du temps à perdre alors je vais répondre. Ma réponse n’engage que moi d’autre personne ne seront évidement pas d’accord avec moi.
Je pense que le capitalisme ce n’est pas « mal ». Il n’y a aucun dogme sur se site qui prétend le contraire. Ce n’est pas « mal » d’accumuler des fortunes avec le travail des autres, (oui je sais, c’est très dur de gérer une entreprise, les patronNEs sont des genTEs extrèmement méritantEs, illes travaillent plus que dix ouvrierEs ect., disons qu’illes gagnent leur argent avec leur travail plus celui des autres), ce n’est pas mal de soumettre par la force celleux qui n’acceptent pas les règles du jeu fixées par une minorité en fonction de ses intérets, ce n’est pas mal de prétendre posseder des biens dont on a pas d’utilité et de faire payer celleux qui en on besoin. Seulement, sans que cela soit bien ou mal, ce système ne plait/convient pas à tout le monde. Ce site est destiné à être un espace de parole et d’organisation pour celleux qui ne partage pas ta vision des choses et qui subissent par la force la violence de la société libérale capitaliste. Du coup, je te retourne ta question : C’est quoi, le problème avec ça ?
Aujourd’hui, je suis d’humeur à causer. Demain, je serais peut-être plus d’humeur à te foutre une begne sans avertissement. Il n’y a aucun dogme qui empèche de se révolter quand on craque à force de croiser partout des flicQUEs qui nous dictent notre conduite à coup de matraque.
PS : Ce site laisse par ailleurs plus facilement la parole aux liberaux et à celleux qui veulent réformer la société en en acceptant les règles du jeu, pour peu que les codes de langage soit respectés qu’aux militantEs radicales/caux qui ne les respectent pas.
–
je me fous de ton ironie. ce que ta réponse ne m’apporte rien que je ne savais pas déjà. aucun esprit d’analyse, aucun recul, et une utilisation abusive de certains termes. quand on te parle capitalisme, tu vois la société actuelle dans son ensemble, a accepter ou refuser en bloc. donc je reformule ma question : en quoi est-ce un problème que des gens investissent leur argent dans des entreprises, et par conséquent en soient propriétaires ? j’ajoute que pour moi, les employés devraient toujours être intéressés aux bénefs, et particier aux prises de décisions comme ls acrtionnaires, et que pour moi ce genre de mesures serait une extension du capitalisme. alors ?
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Tu parles d’économie à des gens qui vivent dans les analyses du Scalp et de la lcr. Votre dialogue est très impossible. Ce sont des croyants qui vivent de la frustration sociale.
Pour répondre à ta question, je pense que faire en sorte que l’intéressement soit généralisé et pas réservé aux seuls cadres actionnaires est une bonne chose.
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Apparemment, dans les trois derniers messages, le capitalisme a été réduit à la possibilité d’investir de l’argent dans une entreprise et d’en être propriétaire. Il faut y ajouter la volonté démesurée d’accrôitre son bien, faire du fric sur le dos des autres, puisque la société n’est qu’un rapport entre des personnes, et que l’argent ne tombe pas du ciel. IL faut peut être expliquer comment fonctionne l’augmentation de « la plus value », comment tu fait du fric, si tu veux, on ne vend jamais quelque chose sans qu’il te rapporte plus que ce qu’il t accoûter, en fait t’arnacque tout le temps, et pour cela il te faut un rapport de force, un mensonge, ou une supériorité quelqueconque. Cela ne marche pas vraiment à l’intéret comme le dise les économistes, il y a la nécessité, le besoin, je ne peux pas faire autrement. Et la majorité n’on pas le rapport de force de leur côté. Ce rapport est démesuré. Voit l’inégalité entre la multinationale et la PME, vois l’inégalité entre le patron de la PME et l’ouvrier de base. Voie l’inégalité entre le fils de bourgeois, qu’aura de l’argent pour investir ou reprendre l’entreprise de papa, devenir propriétaire et le fils de prolo ( oh y a toujours des exceptions,… qui confirme la règle ! ! !) De plus dans le capitalisme il y a tous le système du droit, les règles de l’augmentation des prix, La règle qui permel’achat de la force de travail des corps humains au travers du contrat ( dans le rapport au travail le corps est une marchandise et les gens vendent leur corps pour ne pas crever, les employeurs eux achètes du corps, de la vie.Pour faire de la richesse mais surtout pour faire de la tune, voit toutes les productions inutiles… et la nouvelle ventes des services en tout genre. alors que l’on peut utiliser du temps et de l’intelligence pour s’organiser. Alors on va nous dire que c’est dans l’intéret de l’employé de se vendre et de travailler, mais c’est encore plus dans l’intéret de l’employeur. et c’est pas l’accès au bénéfices qui va changer quelque chose. Le marché fonctionne sur la sélection et la mise sur la touche de ceux qui ne sont pas compétitif ( qui ne se soumette pas aux nouvelles règles du management, du sacrifice de soi pour l’entreprise, de l’effort pour rester dans les rails du train) des vie sont à tout moment détruite après avoir été exploités, usée, abimée, vendre sont corps, sa vie en espérant que les autres ne soit pas pris à ta place, c’est mettre chaque personne dans une situation de compétitions acharnée. What’s the FUCK ! ! !.
Je ne veux pas des proprios et des supérieurs hiérarchiques. Parce que quand t ‘es propriétaires d’une boite tu te sents nécessairement supérieur à ceux que tu emploi, et que le contrat affirme que l’employé doit se soumettre à sa hiérarchie, parce que je suis né libre et que je ne veux pas me vendre pendant 8 Heures par jour. Parce que la compétition fous les hommes-femmes dans des situations de dominations et d’écrasement… Je conchie le capitalisme et ses aménagements.
Je veux « pas être esclave » d’un frustré en mal de tune qui fou la pression par ce qu’il c’est foutu plein de responsabilité sur le dos. Je ne veux pas rentré courbé et navré le soir après 8 heures de taf, dégouté de ne pas avoir foutu un coup poing dans la gueule de mon collègue parce que c’est un sale facho, et que je devais gardé mon emploi, pour payé mes traites, mon logement, ma boof, le multiplexe…
On a longtemps dit aussi aux gens que c’était la seule manière de vivre, vendre sa force de travail, trouver un emploi, devenir propriétatrie comme on a dit longtemps aux esclaves qu’ils ne pouvaient être libre, tu dois en être la preuve. Vous croyez que le fonctionnement économique marche suivant intéret, accroissement du marché, calcul rationnel, comme l’écrive nos grands économistes maître de la parole scientifique et divine, mais la vie des sociétés marchandes comme toute société humaine est faite d’émotion, de nécessité, de je n’ai pas le choix, de marche ou crève, de soumission, de faux semblant, de domination, de violence quotidienne, d’arnaque de pot de vin, de j’achète un truc mais je ne sais même pas pourquoi, de mon fils aurra une place même s’il est imcompétant, rien avoir avec ton économie d’intéret calculé et rationnel. Mais tu dois être un croyant ou un fétiche, à moins que tu es simplement une bonne place de cadre, ou que tu vise une telle place. Au bout du compte, ce n’est pas une question de croyance mais de positionnement : A quelle classe tu veux appartenir, ceux qui s’en sorte et domine, ceux qui sont dominés, ceux qui veulent balayés ces rapports de domination. En faite on aboutit à l’affrontement entre « le confort intellectuel » et la liberté, entre le formatage normé et la résistance, toutes ces choses que ceux qui pensent sur le mode économistes petit bourgois ne comprennent pas…
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– capitalisme : possibilité d’investir de l’argent dans une entreprise et d’en être propriétaire
– volonté démesurée d’accrôitre son bien : avidité : pulsion primaire qui peut exister dans n’importe quel système économique
– « on ne vend jamais quelque chose sans qu’il te rapporte plus que ce qu’il t accoûter, en fait t’arnacque tout le temps »
_ Donc d’après toi, le fait de vendre quelque chose, de chercher les fournisseurs et les clients, n’est pas une activité digne d’être rémunérée…
– « Cela ne marche pas vraiment à l’intéret comme le dise les économistes, il y a la nécessité, le besoin, je ne peux pas faire autrement. »
_ Et pour toi, ça fait pas partie de l’intérêt ?
– « Et la majorité n’on pas le rapport de force de leur côté. »
_ Tu négliges un point assez important dans ton analyse : la concurrence. Si je trouve qu’un magasin se fait trop de tunes sur mon dos, je vais chez un concurrent. Je reconnais qu’il nous faudrait des dispositifs plus efficaces pour lutter contre certains accords entre concurents, et pour briser les monopoles ou oligopoles…
– « on va nous dire que c’est dans l’intéret de l’employé de se vendre et de travailler, mais c’est encore plus dans l’intéret de l’employeur. »
_ Ce qui sous-entend que dès que quelque chose est dans l’intérêt de l’employeur, il est absolument impossible que ce soit dans celui de l’employé… A démontrer…
– « et c’est pas l’accès au bénéfices qui va changer quelque chose. »
_ Sachant que c’est justement la différence entre les bénéfices et les salaires qui pose problème, il me semble que si, c’est une avancée.
– « Le marché fonctionne sur la sélection et la mise sur la touche de ceux qui ne sont pas compétitif »
_ Pas seulement le marché… Un débat fonctionne de la même manière en somme, y compris celui-ci : ceux qui se sentent « sur la touche » pour quelque raison que ce soit (par exemple ils ne comprennent pas ce qu’on dit) finirons par ne plus y participer… Ce qui permet d’élever le niveau du débat^^
– « sacrifice de soi pour l’entreprise »
_ Ca, c’est un point que je n’approuve pas, moi non plus. Arrêtez de réagir comme si tous ceux qui ne sont pas avec vous étaient contre vous…
– « mettre chaque personne dans une situation de compétitions acharnée. »
_ Ah, j’oubliais, la compétition, c’est Satan ! On doit tous être des gentils bisounours…
– « je suis né libre »
_ Techniquement, non. La liberté est quelque chose qui s’acquiert peu à peu, en apprenant à dire non… Une liberté qu’on ne garantit pas soi-même n’en est pas nue, à mon avis.
– « je ne veux pas me vendre pendant 8 Heures par jour. »
_ Ca, c’est ton affaire. Mais ne demande pas aux autres de te payer le prix de ce que tu ne veux pas leur vendre, ça s’appelle du vol.
– « Je veux « pas être esclave » d’un frustré en mal de tune qui fou la pression par ce qu’il c’est foutu plein de responsabilité sur le dos. Je ne veux pas rentré courbé et navré le soir après 8 heures de taf, dégouté de ne pas avoir foutu un coup poing dans la gueule de mon collègue parce que c’est un sale facho, et que je devais gardé mon emploi, pour payé mes traites, mon logement, ma boof, le multiplexe… »
_ Oui je sais, la sortie de l’adolescence, c’est un moment délicat… Tu t’en sortiras, tu verra…
– « On a longtemps dit aussi aux gens que c’était la seule manière de vivre, vendre sa force de travail, trouver un emploi, devenir propriétatrie comme on a dit longtemps aux esclaves qu’ils ne pouvaient être libre, tu dois en être la preuve. Vous croyez que le fonctionnement économique marche suivant intéret, accroissement du marché, calcul rationnel, comme l’écrive nos grands économistes maître de la parole scientifique et divine, mais la vie des sociétés marchandes comme toute société humaine est faite d’émotion, de nécessité, de je n’ai pas le choix, de marche ou crève, de soumission, de faux semblant, de domination, de violence quotidienne, d’arnaque de pot de vin, de j’achète un truc mais je ne sais même pas pourquoi, de mon fils aurra une place même s’il est imcompétant, rien avoir avec ton économie d’intéret calculé et rationnel. »
_ Tout d’abord, je diagnostique une diarrhée textuelle (maladie endémique au sein de certains milieux militants). Ce passage peut se résumer par : « Il y a aussi des émotions en jeu dans l’activité économique, donc les analyses purement rationnelles sont entièrement fausses. » Ces analyses sont des modélisations, elles ne prétendent pas rendre compte parfaitement de la réalité (Sauf quelques extrêmistes, mais bon, à chacun de faire son tri…), il faut plus ou moins se fier à son « flair » pour adapter les théories aux cas pratiques.
– « A quelle classe tu veux appartenir, ceux qui s’en sorte et domine, ceux qui sont dominés, ceux qui veulent balayés ces rapports de domination. »
_ Je suis d’abord un individu, pas un membre d’une « classe ». Et je ne vois pas le monde comme un tout que je dois accepter en bloc ou refuser en bloc, je préfère garder mon sens de la nuance et ma subtilité.
– « En faite on aboutit à l’affrontement entre « le confort intellectuel » et la liberté, entre le formatage normé et la résistance, toutes ces choses que ceux qui pensent sur le mode économistes petit bourgois ne comprennent pas… »
_ Tu veux dire : « Entre le Bien et le Mal ». Franchement, ces jugements à la va-vite, c’est lassant…
Une seule chose, le vol est le cousin du capitalisme. Le concept du vol ne peut pas exister sans la notion de propriété. Le capitalisme a fini par créer le besoin de possèder des biens utilies et souvent très inutile. Alors ce que tu as mentionner à l’intérieur de ton plus récent message:
« Ca, c’est ton affaire. Mais ne demande pas aux autres de te payer le prix de ce que tu ne veux pas leur vendre, ça s’appelle du vol ».
Cette affirmation illustre seulement que tu es une autre pauvre victime inconsciente du sytème que l’on t’impose. Bien que tu te considère heureux dans ce système, il te contrôle. Le capitalisme est mal à partir du moment où les individus qui peuplent cette planète en dépendent. Aujourd’hui, à travers les médias de masse, on associe le bonheur au nombre de biens que l’on possède. C’est ce qui fait que la majorité des gens embarquent dans le cercle vicieu du capitalisme pour être heureux. Quand tu t’y adapte, tu deviens complètement aveuglé. Tu finis par croire que ce n’est pas si mal finalement. Un jours, à 50 ans, tu te rends compte que tu as consacré ta vie au complet à la consommation, sans jamais devenir ce que tu aurais dû être. C’est fou quand même ! Capitalisme = Possèder toujours plus =.
Être = s’éloigner de cette folie de consommer et de possèder des biens, au profit de se possèder soit même en tant qu’individu. Ne pas vouloir se vendre 8 heures par jour n’est pas un signe de paresse, mais un signe d’intelligence et de liberté. Tout ce qui est pour toi lois et normes n’existent que dans le monde capitaliste. Ceux qui sont contre ce monde réglementé paraissent toujours plus farfelus, car on ne peut pas argumenter aussi facilement un idéal qui appartient au futur. Ce sera toujours plus facile pour toi d’argumenter pour le capitalisme, car c’est un système qui existe déjà.
Encore et toujours les mêmes amalgames… Je suis désolé, mais ce qu’on appelle le capitalisme, c’est le fait que les entreprises appartiennent à des investisseurs qui se partagent les bénéfices en proportion de leurs investissements. Ce que tu me décris là, c’est la société de consommation, qui est une des possibilités du capitalisme, mais pas la seule.
« Tout ce qui est pour toi lois et normes n’existent que dans le monde capitaliste. »
Tu crois vraiment qu’il puisse exister une société dans laquelle des gens accepterons de bosser pour que tu sois payé à rien foutre, et ce délibérément?
« on ne peut pas argumenter aussi facilement un idéal qui appartient au futur. »
Si, il suffit de voir ce qui à déjà été fait, de dire ce qui n’a pas marché, et d’expliquer qu’on pense que ça marcherait mieux en s’y prennant de telle ou telle façon. Mais peut-être n’es-tu pas très sûr de tes idées…
bonjour!!
je vois un bon débat sur une question qui lance beaucoup de points de vue
le capitalisme est un système économique qui se base sur trois choses;
—le profit(tout ce qui est bien argent mème des petites sommes est un profit)ce qui veut dire ;il faut payer d’impots et pk? pour financer les parties politiques)
—la société du consommation (concurrence)ce qui veut dire :dominer les medias et diriger les idées des gens en trichant car au moment qu’on remarque que tf1 et m6 sont des chaines de publicités a 80 % on se demande ou il est parti ce but d ‘informer les gens alors que c’est un des premiers roles des medias
—la propriété privée,ce qui veut dire t’as pas le droit de rentrer chez moi plutot de toucher mes intérets (je travaille avec les mafias des politiques) ou j ‘ai des miliers de dollars chez moi en éspèce je me fous de la justice car c’est une proprieté privée
c mal tout ce que je viens de dire donc c mal le capitalisme
C’est quoi le capitalisme?
Cela reste inique, voir une insulte de nous jours croire qu’un citoyen ignore la définition du système capitaliste en France.
Dans un dictionnaire « Flammarion »
Nous trouvons [nom masculin], Régime économique et social fondé sur le capital. (2) L’ensemble de puissances capitalistes.
Dans un dictionnaire « Larousse »
[Nom masculin] système économique et social fondé sur la propriété privée des moyens de production et d’échange. (Le capitalisme se caractérise pour la recherche de profit, l’initiative individuelle, la concurrence entre les entreprises) (2) Régime économique, politique et social qui selon la théorie marxiste et régi par la recherche de la plus-value grâce à l’exploitation des travailleurs par ceux qui possèdent les moyens de production et d’échange.
Bien sur qu’il est impossible de faire coïncider la définition avec la volonté individuelle de chacun.