La nouvelle année commence par la levée de l’état d’urgence dont les évènements du 31 ont achevé de montrer l’inutilité.
Le climat d’angoisse entretenu fin 2005 a justifié tous les excès en termes de répression et de mensonges politiques (voir communiqué n°1). La justice, a puni pour l’exemple ceux qui, mis à l’écart depuis des années, ont commis l’affront de se révolter, un instant, contre la République.
La révolte à parlé, certains voudraient déjà l’oublier. les témoignages des révoltés font cruellement défaut au débat public. Seuls les flashballs restent braqués sur les banlieues.

Communiqué n°2 disponible en ligne sur :