## intox du communiqué zad acte 2 ##
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Ce texte est rédigé par un ancien habitant de Bellevue, qui a accueilli le plaignant au sein du lieux, et qui a créé par ce biais des liens affinitaires.
Depuis le début de l’affaire des 5 interpellés de la zone de l’ancien projet d’aéroport de Notre dame des Landes, nous lisons dans différents communiqués, différents éléments sensés contextualiser, dénoncer ou défendre différents actes commis sur la ZAD.
Comment faire pour se taire ? comment se taire face aux injustices qui sont publiquement relayées sur les canaux officiels émanant de l’ex ZAD ? comment faire preuve de tant de mauvaise fois quand il s’agit de défendre ses amis plutôt que de tenter une approche un tant soit peu honnête de la vérité ou de la justice ?
Je ne livrerai aucun éléments supplémentaires qui permettrait de charger le plaignant ou les accusés. Mais en tant qu’ancien habitant de Bellevue, témoin de certains faits, confident du plaignant et l’ayant volontairement accueilli sur le lieux ou je vivais, il n’est pas question pour moi de laisser être proféré des mensonges qui soulève une forme de déni de la part de celle et ceux qui osent encore défendre publiquement leurs amis.
Le premier mensonge du dernier communiqué :
« il s’agit d’un homme qui vivait ici et qui, dans les jours précédant les événements, avait à plusieurs reprises menacé des personnes avec des armes blanches (un couteau de chasse et une hache). »
Cette personne n’a en aucun cas menacé des personnes avec une hache les jours précédents. Ceci est pure invention.
Pour ce qui est d’une éventuelle menace au couteau de chasse, contextualisons voulez vous. Malgré une fermeture du dortoir, X continuait à venir rendre visite aux habitants avec qui il avait sympathisé, et par la même occasion continuait de faire usage d’espace collectif ouvert à toute personne en ayant l’utilité (cuisine, machine à lavé, douche, internet).
Ce jour en question et quelque SEMAINES avant les faits, il était en train de préparer à manger quand plusieurs personnes sont venues lui dire qu’il n’était plus le bienvenu sur ce lieux (décision qui n’avait fait lieu d’aucune discussion préalable avec l’ensemble des habitants). Il a clairement répondu qu’il n’était pas question pour lui de partir et que si ils et elles voulait le dégager ou l’empêcher d’aller et venir, il allait falloir le faire de force. A ce moment précis il avait un couteau à la main, geste volontairement ou involontairement ambiguë vu qu’il était en train de couper des légumes. Couteau de chasse ou de cuisine nous n’avons pas noté la marque du couteau.
Ce même jour deux des habitants-es ont notifié aux gens venus lui mettre la pression que s’il y avait un problème objectif à lui reprocher outre ses idées politiques, ses relations, ou ce qu’il représente il fallait les prévenir plutôt que de lui opposer des coups de pression de la part de gens avec qui il aurait des animosités et que cela finisse en bagarre à 12 contre 1.
Deuxième mensonge :
« Le 5 octobre, il est revenu une énième fois, muni d’une hache et d’un bouclier. Il lui a été demandé de partir, ce qu’il n’a pas fait ; c’est dans ce contexte qu’il a assené à Greg un coup de hache dans la jambe, puis dans la main qui protégeait sa tête. »
– Comme il est facile de donner des faits sans les contextualiser : X se promenait avec une hache et un bouclier car la situation de tension entre deux bords politiques sur la ZAD étaient à son paroxysme. Dans la logique qui l’animait il était clair que personne ne l’empêcherait d’aller et venir, de rendre visite à qui il le souhaitait alors qu’il vivait sur la ZAD depuis de nombreuses années et qu’il venait de faire le sacrifice de son lieux de vie quelques mois auparavant.
Il était devenu lui-même extrêmement paranoïaque face à l’éventualité que quelqu’un-e lui tombe dessus pour lui soutirer ce droit. Alors il préférait prévenir que guérir. Nous pourrions détailler les micros événements qui l’ont poussé à se sentir acculé de la sorte, sur la défensive et prêt à toute éventualité. Des évènements qui le touche lui aux d’autres personnes, mais cela en ajouterait au poids des mensonges qui nous occupe.
– Le 5 octobre il est venu nous rendre visite, une fois de plus, muni d’une hache et d’un bouclier. Hache qui au delà du fait d’être présenté comme un outil d’agression lui servait aussi à couper du bois. Depuis la fermeture forcée du dortoir de Bellevue pour que des gens comme lui n’y dorme plus, il dormait là où il le pouvait, coupait du bois et tentait la construction d’un nouveau gîte, malgré les problème de santé qu’il avait depuis plusieurs mois.
La suite de cet extrait du communiqué ne peut être abondé que par deux témoignages, celui de Greg et celui de X. X a quant à lui prétendu avoir amorti 4 ou 5 coup de barre avec son bouclier avant de donner un coup et s’enfuir. Aucune verité n’existe sur ce cas, seul eux deux peuvent la détenir car cela s’est produit dans un espace clos, les autres personnes étant à l’extérieur du bâtiment.
La suite du communiqué ne fait que continuer de diminuer la responsabilité des gens qui auraient participé à ces actes : « bleus », « contusions » quand il s’agit de coup de pied à la tête, au visage ou avec une arme. Il y a un bilan médical qui a déjà été communiqué, nul ne peut le contester. A moins qu’il se soit frappé lui même ? ou que l’hôpital fasse aussi parti du grand complot contre la ZAD légalisée ?
« Mercredi dernier, alors que les arrestations avaient été relayées par les médias, deux personnes sont venues faire une déposition sous X à la gendarmerie. »
Personne n’est en position pour dire s’il s’agit de témoignage en la faveur ou la défaveur du plaignant. Pour la plus grande partie des éléments qui ont conduit à cette situation il n’existe aucuns autres témoins que celles et ceux qui ont vécu cette situation au quotidien, ou qui ont participés à son expédition punitive et ils et elles ne sont pas du genre à aller témoigner, quel que soit leur position.
Il est clair que l’état se sert de cette histoire pour assoir son hégémonie au sein d’un territoire « oublié de la république » et ou la présence policière fut inexistante.
Prétendre qu’il agit de manœuvre politique pour entraver le processus de légalisation alors que la ZAD communique depuis des mois sur l’aspect collectif des projets déclarés en préfecture, c’est admettre qu’il s’agissait bien de projet privés que les personnes engagées dans la déclaration de ces projets ne sont pas que des portes noms. Si tel avait été le cas alors les projets en question devraient tenir avec un autre porte nom issu du collectif « ex ZAD ». Dans un vrai collectif, dans de vrais communs, nul n’est indispensable, et encore moins quand cela nous arrange.
Le plus horrible reste de vouloir rendre plus défendable des gens sous prétexte qu’ils ont un tissu relationnel plus dense et qu’ils ne sont pas de méchants radicaux. La justice n’est pas sensée entendre ce genre d’argument, mais cela révèle la logique milicienne qui vous anime.
Prétendre qu’il ne s’agit pas de conflit politique interne en maquillant les faits par d’éventuels « conflits de voisinage », c’est un semi mensonge. Oui il s’agit de conflit politique, mais pas seulement. C’est aussi la résultante d’enjeux de pouvoir, de manque de communication interne, d’inexistence de gestion des conflits cohérente, de pratique de politique politicienne, de fatigue, de stress, d’ambitions politiques divergentes… Et ce communiqué officiel en est une parfaite illustration.
Il persiste et signe, à réécrire l’histoire pour défendre ses intérêts, à remodeler la vérité plutôt que de la chercher et de l’offrir, à utiliser les outils de communications collectifs pour faire passer un message qui fait vrombir plus d’une personne qui vit encore sur la ZAD. A masquer des agissements plutôt que d’en faire une autocritiques constructives pour servir aux expérimentations futures.
On peut avoir envie de défendre ses amis, même si ils et elles ont été pour la plupart et malgré elles-eux embrigadés-ées dans une histoire dont il ne savait finalement pas grand-chose. C’est sain, on ne lâche pas ses potes même quand ils font de la merde. Mais il faudrait au moins avoir la pudeur de ne pas jouer aux victimes quand on est les bourreaux. Et c’est tout à fait à cause de cela que d’autres s’en mêle, non pas pour s’en servir pour régler des comptes, mais pour rétablir une vérité qui est loin d’être anecdotique. C’est la partie émergée des rapports de domination, d’oppression, de gentrication qui ont eu et qui ont court sur l’ex ZAD.
Note pour les lecteurs, les lectrices, l’auteur et les commentateurs commentatrices :
A propos du biais d’attribution : « En psychologie, un biais d’attribution est un biais cognitif qui se réfère aux erreurs systématiques commises lorsque les personnes évaluent ou tentent de trouver des raisons pour leurs propres comportements et ceux des autres. Les gens font constamment des attributions concernant la cause de leur propre comportement et celui des autres; cependant, les attributions ne reflètent pas toujours fidèlement la réalité. »
On a cachés des commentaires, qui parlaient trop, dont l’un qui est le communiqué officiel de la ZAD. Depuis les arrestations on se fait chier à modérer les commentaires pour éviter d’ajouter des éléments au dossier, et ce communiqué (trouvable ailleurs), a pas plus de raisons que les autres d’être diffusé vu comment il met des gens en danger dans cette enquête.
c’est cool les modo vous assurez grave !
On a caché un autre commentaire qui citait des noms, les mettant en danger pour ceux qui sont toujours vivants. Si des gens veulent se parler il y a d’autres moyens. En tout cas on a pas tout caché, loin de la, alors parler de censure est pas mal exagéré.
C’est sur le site appeliste « lundi matin » que la « milice de la ZAD » et ses soutiens appelaient à une réunion ce soir sur zone
Surprise ?
Encore quelques années à attendre, et bientôt, je vous l’assure, nous règlerons tous vos problèmes, aux uns comme aux autres.
Et pour astx a la wawa? C’est eux aussi ?
Leurs méthodes n’ont rien as envier au fachiste.
salut,
je sais que c’est pas l’endroit, mais j’ai pas de boîte mail pour écrire au collectif indymedia-nantes alors je le fais ici:
sur cette vague de textes à propos des récentes arrestations sur la ZAD, les commentaires partent en vrille comme ça a pu arriver dans le passé, et comme ça arrivera dans le futur.
dans ces cas-là, je pense que ça serait pas mal de passer l’open-publishing en modération « a priori », histoire d’éviter au moins les commentaires dangereux type « poucave » ou « menaces » ou même « mensonges / manipulations ».
à vous de voir, perso j’aurais tout autant confiance en votre « modération » si ça passait en modération « a priori » (c’est-à-dire avec commentaires cachés avant validation).
dans tous les cas: merci indymedia-nantes !
C’est une solution qu’on a envisagé pour sûr. Comme on etait un peu en ligne, on se sentait d’être assez vigilant.e.s et on a plutôt préféré faire gaffe au coup par coup. Et pour le moment malgrès tout on s’en sort pas si mal finalement. Ca dérape mais franchement pas tant que ça par rapport à ce que ça aurait pu être, et du coup on cache ce qui est dangereux. Mais ça reste une option.
J’suis d’accord, pour les articles comme ça, les articles où ça risque de partir en délation ou en règlement de compte, faudrait les cacher avant qu’ils soient lus par le(s) modo(s), ça éviterait quand même pas mal de soucis. Parce que une fois publiés, même s’ils sont cachés ensuite, ils peuvent avoir été captés par … plein de gens pas bienveillants !
Pour mémoire :
Violence politique à la Zad de NDDL
Publié le 29 mars 2018 | Maj le 31 mars 2018
Texte lu à l’AG du 20 mars à la zad de NDDL
Ce matin 20 mars à l’aube, la Gaité, un des lieux de l’Est de la zad, a été attaqué. Ses occupants ont été gazés, frappés, et l’un d’eux a été emmené, les mains liés, mis de force dans le coffre d’une voiture qui est partie aussitôt.
Nous sommes restés sans nouvelles de lui toute la journée. Un certain nombre d’occupant.es réunies à La Masacrée ont passées la journée à le rechercher (coups de fil aux avocats, aux commissariats, aux hôpitaux, patrouilles en voiture sur les routes avoisinantes), pour finalement retrouver sa trace aux urgences du CHU, un bras et une jambe cassées.
Nous ne savons pas pour le moment qui a commis cette agression rappelant fortement une milice fasciste. Mais compte tenu des cas précédents de personnes frappées et emmenées de force hors de la zad, ainsi que des menaces et attaques personnelles proférées par des occupant.es à l’encontre de la personne qui a été enlevée, nous ne pouvons pas NE PAS penser que cette agression peut venir de l’intérieur de la zad.
Nous appelons tou.tes les occupant.es et les personnes solidaires à
1) exprimer leur désaccord face à cette agression dégueulasse
2) être plus vigilant.es que jamais, veiller les unes sur les autres, à rester en lien avec les lieux et les personnes isolées.
Nous nous tenons prêts à réagir par tous les moyens nécessaires.
Enfin, nous réaffirmons notre opposition à toutes les formes de police, avec ou sans uniforme, officielle ou officieuse.
Ni oubli, ni pardon
Des occupant.es réunies à La Masacrée le 20 mars à la tombée de la nuit.
Il y a un tel acharnement à faire passer un agresseur pour une victime que c’en est à se demander ce que vous défendez.
Il y a un tel acharnement à tout cacher pour soi-disant éviter la délation qu’on se demande ce que tu défends.
C’est vrai qu’on a affaire au « gratin de la ZAD », les gens qui portent des projets sur les terres des autres lieux qui n’ont rien demandé…
Prise de position de la légal team sur les actions de milice à la ZAD.
Mardi 20 mars dernier, 5 personnes cagoulées, armées de battes de baseball et de gazeuses ont fait une incursion dans un squat sur la ZAD. Ils ont tabassé les personnes sur place pour embarquer une personne, mains et jambes ligotées, scotch sur les yeux et la bouche. Ils mettent la personne dans un coffre de voiture et repartent aussitôt. Plus loin ils la tabassent encore et lui cassent une jambe et un bras, pour finalement l’abandonner à coté d’un hôpital psychiatrique.
Son tort, c’est d’avoir voulu mener une action contre un projet de l’état qui ne colle pas avec la stratégie dominante dans le mouvement, c’est à dire celle d’inviter la préfète, les flics et les aménageurs sur la ZAD pour négocier avec eux.
On est bien au delà de la phase d’essayer de dire gentillement à certains groupes qu’ils vont trop loin, des remises en question, etc. Pour autant on trouve ça aussi craignos qu’il n’y ait quasi pas de prises de position après cette opération dégueulasse d’aspirants flics. Pour comparaison, quand des journalistes invité.es par l’ACIPA se sont pris un peu de compost, une boulangerie s’est mise en grève, les assemblées ont du déménager, l’internet d’un lieux a été coupé, etc…
Une partie du mouvement veut essayer de gagner des points auprès de l’état en faisant le travail des flics. Des offrandes dont ils croient qu’elles vont motiver l’état à donner des cadeaux à son tour. Cette opération montre que la répression d’où qu’elle vienne, revient grosso modo à la même chose :
On cherche à punir celleux qui dérangent. On cherche à menacer celleux qui pourraient vouloir le faire. On profite de l’impunité policière en faisant partie des groupes dominants, avec le plus de moyens et la meilleure organisation. On défend les intérêts de l’état et des citoyens privilégiés avec de la violence et des rapports de force.
Un nombre important de personnes peuvent être gênantes pour le pouvoir, par contre la répression est adaptée à la classe sociale. Les personnes trop connectées, trop bien vues, on ne va pas les mettre à l’hôpital pareil, juste des coups de pression, des insultes, du mépris, … Par contre une personne plus vulnérable, on se permet. On reproduit même l’aspect classiste de la répression d’état. En plus, on s’est permis de faire le procès de la victime le soir même dans l’assemblée du mouvement.
En déposant la personne devant un hôpital psychiatrique, on rajoute une touche de validisme. C’est bien la place pour les personnes qui dérangent. Qu’on expose une personne ainsi au risque de se faire placer en HP sous contrainte, par exemple si elle avait eu des antécédents psychiatriques, ils en ont forcément rien à foutre, voir ça les aurait arrangé.
Les forces réactionnaires dans toute leur splendeur. Ce qui est hallucinant, c’est qu’il y en a toujours qui prétendent que sur la ZAD on essaie de s’organiser sans faire recours à la police et la justice. Que ici on fait commune, que ici on est révolutionnaire.
Pour la légal team, cet acte représente ce contre quoi nous avons toujours lutté. On rappelle qu’un mouvement de lutte n’est pas à l’abri des rapports d’inégalités, les oppressions et leurs aspects mêmes les plus violents, et on vous invite à réfléchir et agir pour éviter dans d’autres luttes que certains prennent le dessus pour rétablir le pouvoir des classes dominantes, et du coup, de l’état.
– La légale team
– Copain des Bois
https://nantes.indymedia.org/articles/40672
Ça marche pas, qu’un groupe d’une entité plus grande décide qui est coupable. Sinon ça s’applique aussi aux interpellé-es d’aujourd’hui.
Sur l’idée d’expulser une personne d’un lieu, évidemment pas avec les méthodes décrites dans ce cas, mais un truc plus »soft », ça ne peut qu’être à l’unanimité au sein de ladite entité.
Vu le contexte et les propos qui semblent assez mesurés de l’article, il semble difficile de nier un gros problème dans la désignation de »l’agresseur ».
Après je sais pas comment au sein de ce groupe la confiance peut règner ? Car une fois l’environnement »nettoyé » des déviant-es », le tri se fait dans le groupe. L’oppression se concentre toujours en premier sur les plus faibles. Mais les nouveaux plus faibles apparaissent immédiatement, après le nettoyage effectué.
C’est quand même marrant, cette capacité de plein de gens (hm, bcp de mecs, est-ce un hasard…) à SOUDAINEMENT se rendre compte que la personne tabassée le 20 mars 2018 était aussi un agresseur. Laissez-moi vous dire : VOUS ÊTES BIEN MARRANTS !
Quelques points dans la gueule de quelques i: Effectivement, ça faisait plusieurs semaines que des gens s’activaient autour de cette personne qui a eu des comportements plus que merdiques avec des meufs (hey no newz hein, sur zone y en avait plein). EN AUCUN CAS il n’a été question de le défoncer, de lui péter un bras et une jambe ET DE LE LAISSER DEVANT UN HP ! Bizarrement, on a tendance à considérer qu’on règle pas des problèmes d’oppressions sexistes en devenant soi-même un.e oppresseur.e validiste.
J’en ai fait partie de ce processus, ça faisait déjà plusieurs semaines qu’on essayait de mettre des trucs en place avec lui, qui marchaient pas vraiment, mais on était loin d’avoir dit notre dernier mot.
On avait en tête un truc plutôt gradué et PAS DU TOUT un lynchage en règle qui allait le faire passer pour une victime auprès de plein de gens (ce qui est effectivement arrivé).
Accessoirement, on aurait certainement pas agressé ses cohabitant.es qui étaient d’éventuelles personnes ressources. On aurait pas gazé le lieu comme des sales. Et on se serait pas caché.es derrière des excuses de merde : si on avait voulu le virer on l’aurait assumé, voire on aurait écrit un texte, voire on l’aurait fait validé collectivement en réu des z’habs.
Rien à voir avec ce qui lui est arrivé, donc.
Faudrait arrêter de nous sortir la carte féministe/antisexiste quand elle vous arrange. C’est d’une lâcheté et d’un opportunisme gerbant.
Ce sont les mêmes personnes que j’ai vu utiliser cet argument alors qu’elles ne se bougent à peu près JAMAIS sur des questions d’agressions sexistes, même lorsqu’on a été 50 à virer un agresseur NOTOIRE de Bellevue. Quand des meufs ont essayé d’alarmer sur lui, ou d’autres agresseurs de bellevue ces personnes (ou leurs amis…) ont NIÉ et envoyé chié les victimes.
Sans parler de ce qui se compte dans ces rangs d’agresseurs réputés ou de bonhommes qui sont parfois de belles illustrations de ce que le féminisme cherche à déconstruire.
C’est la même stratégie qui fait aujourd’hui passer X pour un dangereux schlag-au-bouclier-et-couteau-entre-les-dents, alors qu’il a vécu plusieurs années dans une autre partie de la zad où il n’a, bizarrement, ni découpé la main de qui que ce soit, ni fini dans un coffre.
C’est quand même marrant comme certains quartiers de la zone (les seuls restants, ou presque) s’attirent les foudres de tous les méchants du monde. Et en plus de la police.
Ben alors, il est troué, le manteau ?
Pauvres victimes que vous êtes. Pauvres fossoyeurs de vous-mêmes.
Ne mélangeais pas les affaires, il s’agit ici d’une autre affaire que celle qui traitait celui qui a été relaché devant un HP, membres cassés.
Toujours est il qu’il n’est pas question de faire passer la victime du coffrage pour un ange. que je sois proche ou non de lui, il s’agit avant tout d’être juste et de ne pas laisser se dire tout et n’importe quoi.
Je ne vais pas donner plus d’éléments qui pourrait enfoncer la victime ou les accusés. Dans cette histoire nul n’est tout blanc, mais il faut s’armer de patience et d’objectivité pour saisir toute la complexité du contexte et se rendre compte que tout cela est un mélange de plusieurs paramètres : politiques, humains et contextuels.
d’un ressenti très personnel, si ça n’avait pas été lui, cela aurait été un autre. Il ne manquait qu’une étincelle.
donc si on lit bien, les prétendues « intox » du communiqué de la zad, c’est un litige autour de « couteau de chasse » ou « couteau de cuisine », et un manque de « contextualisation ».
bref, derrière le titre manipulateur et le pinaillage (qu’est ce que ça change à la gravité des faits que sa hache serve à couper du bois ?), cet article confirme en fait largement la version diffusée par le comité de soutien.
par ailleurs, puisqu’il est question de bilan médical, il faudrait expliquer comment en un seul coup de hache X peut causer une plaie à la main et aux jambes en même temps…
mais toi même tu sais, hein, c’est normal de défendre ses proches…
Je comprend pas pourquoi vous continuez à vous acharner sur ce que vous appelez milice. La police et le parquet se sont saisis de vos plaintes et ils sont désormais prêts à vous défendre, une juge d’instruction prend vos récits au sérieux et est prête à enquêter sur tout ce que vous pouvez lui signaler. Vos soit disant ennemis sont en taule et ne pourront pas signer les conventions d’occupation. Vous n’avez pas voulu négocier par purisme mais maintenant vous avez l’Etat et la police à vos côtés pour vous défendre. Vos témoignages sous X sur Indymedia vous pouvez les faire désormais directement au commissariat, votre vérité est désormais policière. C’est un peu l’happy end pour vous, de quoi vous plaingnez vous ?
Quand à Indymédia si vous pouviez également vous cachez en plus de cachez les commentaires, l’Histoire vous en sera reconnaissante.
Victime + police = love
Bravo les anars !!!
le fait de contextualiser ou de mettre le doigt sur des « mensonges » permet de dissocier les causes interne et externe qui ont amenés ce genre d’événement à se produire.
Par exemple il n’est pas équivalent de dire :
myrtille a volé des fraises parcequ’elle aime voler.
ou myrtille a volé des fraises parcequ’elle vient de perdre tout revenu suite à la délocalisation de son emploi.
contextualiser permet de retirer une analyse fine des événement, des enjeux, des causes et des forces en présence.
contextualiser permet de comprendre pour éviter la répétition de tels actes.
Mais aussi : re-contextualiser en contestant un récit permet de saisir les enjeux et la position des rédacteurs de ce premier
Sont ils-elles capables de mensonge ?
Sont ils-elles objectif ?
Sont ils-elles prêts-es à tout pour masquer la réalité ?
Sont ils-elles prêts-es à transformer une erreur en acte de bravoure ?
sont ils-elles capables d’inverser le discours pour se faire passer pour des victimes politiques et servir leurs ambitions ?
Yvonne il n’a jamais été question de se réjouir de la situation de coercition dans laquelle se trouve 5 personne.
Par la même occasion il n’a jamais été question d’abonder dans le sens du plaignant sur le fait de porter plainte. Cela pose évidement le constat que sur la ZAD il n’existe aucune justice communautaire assez juste et impartial capable de se substituer à la justice étatique… à part se faire justice seul et prendre de gros risque, ou être très bien entouré, les choix sont devenus plutôt restrein. Faire appel à la police est tout à fait compréhensible, il dépend juste du degré de rejet de ces instances ou du degré d’urgence à trouver une solution à un problème donné.
Mettre tout les « anti-authoritaire » dans le même panier sous prétexte qu’une personne (qui ne s’en revendique pas)a porté plainte, c’est d’une malhonnêteté plutôt flagrante.
Dire qu’il s’agirait là d’une revanche politique d’un camp envers un autre c’est encore un biais d’attribution dont l’usage est courrant sur la ZAD. D’un camp comme de l’autre.
Pour ma part si ce qu’il reste de la ZAD se serait tu face aux arrestations sans se faire passer pour des victimes et appeller largements leurs soutiens à venir les soutenirs, je me serais tu tout autant.
le problème avec la mise en contexte, c’est que c’est difficle de savoir où s’arrêter :
viré violement de la zad < coup de hache < banissement de bellevue < menace à l’arme blanche < bannissement de bellevue < ???
à ton tour de mettre en contexte… (et ne vient pas dire que c’est juste un « désaccord politique », tu sembles parfaitement en désaccord politique avec les gens que tu pointes mais tu ne sembles pas avoir été viré de bellevue pour ce motif).
ah moins de décréter que certaines personnes sont « dominées » dans l’absolu et que c’est une raison suffisante pour se permettre de risquer d’assassiner quelqu’un identifé comme « dominant »…
(c’est là où ton parallèle avec myrtille marche moyen : tu vas avoir du mal à faire avaler que la relation entre une ouvrière et la multinationale qui l’emploie est du même ordre qu’entre deux occupants de la zad…).
Beaucoup de malhonnêteté du côté de ceux qui cherchent à faire passer les « coffrages » pour des actes subversifs radicaux… par exemple séquestrer quelqu’un dans un coffre et lui casser plusieurs membres ne peut pas s’appeler « virer qq violemment de la ZAD ». Ils se croient tout permis en terme de réécriture de la réalité à leur avantage.
Ils roulent des mécaniques pour faire les « autonomes » qui règlent leurs histoires eux-mêmes, alors qu’ils se comportent comme des petits mafieux. Il est grand temps de leur marcher sur la tête !
Merci pour ta réponse détox qui pour une fois à le mérité d’apporter un argument sans être frontalement à charge.
En effet il est difficile de savoir ou s’arrêter en terme de contextualisation. Non pas qu’il serait impossible ou désagréable de le faire, mais que ce serait livrer un nombre assez conséquent de potins et d’éléments interne à la ZAD sur la place publique alors même qu’ils pourraient servir à charge pour le plaignant ou les accusés. Le tout est de le faire sans mentir pour se protéger ou protéger ses proches et de s’imposer une certaine rigueur dans les faits que l’on présente.
Mais vois tu dans ton exemple il y a dors et déjà plusieurs faits incomplet. Il n’a pas été bani de Bellevue car aucune décision collective ou discussion posée n’a été opéré entre les différents habitants et usagers. C’est la décision d’un groupe majoritaire qui a voulu imposer cette éviction aux autres. Avant même qu’il y ai histoire de « couteau » ou de raison manifeste, et c’est pour cela que nous nous y sommes opposés préssentant une raison moins rationnelle ou plus politique.
Ensuite pour ton information je ne me suis pas fait viré de ce lieux, j’en suis parti. En partie pour raison politique, mais aussi pour le simple fait que l’imaginaire et les projections que nous avions faite sur ce lieux se retrouvaient écrasée par des volontés politiques opposées. Bien que tout ça aurait pu cohexister, il y avait des enjeux de pouvoir trop fort pour que nous puissions y rester. Et avant tout avec en face une volonté assumée de faire disparaitre ce que pouvait être l' »ex zad » et que ce que nous voulions entretenir appartenait au passé.
Nous n’avions pas les épaules à affronter cette machine politique qui écrasait toute différence sur son passage. Pour ce faire il aurait fallu rentrer en confrontation directe, taper du poing dur la table, risquer les violences, chercher à faire poids… Nous n’en avions ni les épaules, ni l’envie alors que cela faisait plusieurs mois depuis les expulsion que nous laissions le lieux en semi abandon.
Donc dire que je ne me suis pas fait viré de Bellevue pour ce motif est une double erreur.
mais cela résulte aussi d’autres responsabilités dont j’ai ma part, chose que j’aurai pu faire avant en terme de travail social pour faire reconnaitre la légitimité de la cohabitation entre différente entité politique. Mais bref c’est une autre question… pas que j’aime pas parler de moi mais…
tu parles de « risquer d’assassiner » : comme je l’ai écrit dans mon texte il existe deux versions qui s’oppose ou seul deux personnes sont légitimes à en parler car elles étaient seule. Et dans ce cas les enjeux sont énorme pour l’un comme pour l’autre. Donc je me garderais bien de dire, untel a tenté de tuer l’autre ou untel s’est défendu, j’ai mon avis qui est influencé par mes affinités et je ne peux le valider comme vérité.
Je rejoins assez le commentaire qui t’a été fait précedement même si je ne l’aurai pas formulé ainsi. Mais attention, un acte de violence n’en excuse pas un autre. Agir de manière affinitaire pour se faire justice n’est pas anodin, surtout quand celle ci ne s’applique pas de la même manière à tous et toutes en fonctions de son réseau.
le communiqué publié par Lundi Matin est si maladroit qu’il nuit aux inculpés plus qu’il ne sert leur cause : car il met en doute l’indépendance du juge d’instruction, et ça les juges d’instruction ne le supportent pas. Ce n’est pas en insultant le juge qui vient d’envoyer tes potes en zonzon que tu les aideras à s’en sortir.
Les juges d’instruction sont »indépendant-es » dans le système capitalo-juridique. En aucun cas indépendant-es dans l’absolu. Donc pour les personnes qui s’opposent aux systèmes, quel que soit le bord politique, illes sont de l’autre côté de la barricade.
Si illes ne sont pas capables de prendre ça en compte, illes ne sont ni indépendant-es, ni très fûté-es.
Après, pour des personnes qui auraient passé des accords avec l’état, !!! La question pose quelques contradictions. Peut on prendre juste le bout d’État qui sert nos intérêts, et par »la RUSE » rejeter le reste ? Il semble que non.
C’est la magie de la theorie de la destitution et de sa prise en charge d’institutions stratégiques, va chercher.. mais pas dans la lecture du Maintenant du CI, ça va plus te confondre qu’autre chose.
Essaye Agamben ou Negri, ces bons vieux autoritaires.
… est une sacrée merde.
Désolé, mais tous les commentaires qui utilisent cette histoire au service de la guéguerre de leur chapelles respectives sont de sacrées merdes.
Non, il n’y a pas que des « appellistes » « négociateurs de projets » dans les personnes arretées.
Par contre, il y a clairement une volonté de l’Etat d’instrumentaliser cette histoire pour alimenter les divisions au sujet de la ZAD. Il n’y a qu’à lire la presse mainstream, qui parle de règlements de comptes entre zadistes « plus ou moins radicaux », pour se rendre compte de la manoeuvre policiaco-médiatique en cours.
cinq personnes sont arbitrairement mises en examen, trois en prison. Nantes Indymedia et des « anarchistes » s’en réjouiraient-illes?
La première chose évidente est d’exiger leur libération. Quant au conflit en question, qui n’aurait JAMAIS du etre livré à la justice étatique (surtout quand on prétend avoir des convictions anti-étatiques), il aurait dû et devrait être discuté AILLEURS.
Oui il faut revenir sur cette affaire, et peut-etre sur d’autres. Mais le préalable minimum est de ne pas collaborer ni d’alimenter la répression étatique.
Celles et ceux qui n’acceptent pas ce préalable minimum sont des complices de la répression, c’est une évidence…
Qui n’a pas l’air d’etre claire pour tout le monde sur Indymedia Nantes
À mon avis ceux qui minimisent ce qui s’est passé cette derniére année sur la zad ne sont pas beaucoup mieux.
D’ailleurs, j’insiste dans la perspective de ne pas nourrir ni l’innocentisme, ni le victimisme, et surtout pas donner de la raison aux balances et oportunistes qui se faufillent entre des deux pour leurs causes personnelles. Et je soutien compte dans le travail d’Indymedia Nantes pour effacer les essais de ces derniers – un boulot bcp plus prolifique que l’article de Lundi.am qui entre dans toutes les definitions que je condamne en haut.
Eh dis-donc, compa, tu veux pas descendre de ton pied d’estal-cheveux-aux-vent-le-regard-tourné-vers-l’avenir-radieux-du-grand-soir ?
Déjà, tous les habitant-e-s de la zad sont pas anarchistes ou anti-etatistes (loin de là).
Ensuite, tu parle de discuter de ces questions dans un « AILLEURS » fantastique et bienveillant où on peut parler de trucs sans finir ostracisé, mais il est justement là tout le problème, cet « ailleurs » n’existe pas. il n’a jamais existé.
il aurait pu, si plus d’energie et de temps avait été donné pour y refléchir, au lieu de mettre en place le machin technocrate, fourni clé-en-main par certaines personnes, que certains appellent « cycle des 12 » (pourtant il n’a jamais été question de vélo).
« cinq personnes sont arbitrairement mises en examen, trois en prison. Nantes Indymedia et des « anarchistes » s’en réjouiraient-illes?
La première chose évidente est d’exiger leur libération. Quant au conflit en question, qui n’aurait JAMAIS du etre livré à la justice étatique (surtout quand on prétend avoir des convictions anti-étatiques), il aurait dû et devrait être discuté AILLEURS.
Oui il faut revenir sur cette affaire, et peut-etre sur d’autres. Mais le préalable minimum est de ne pas collaborer ni d’alimenter la répression étatique.
Celles et ceux qui n’acceptent pas ce préalable minimum sont des complices de la répression, c’est une évidence… »
je suis d’accord avec toi donc :
je veux bien exiger la liberation de tous les prisonniers mais eux mêmes (et leurs amis) n’ont jamais rien dit sur les nombreuses peines de prison survenue depuis un an !!
ensuite pour ce qui est de « ne pas collaborer ni d’alimenter la répression étatique. » c’est ce qu’a fait se même groupe (et plus largement) en négociant avec l’etat et ce d’autant plus que l’etat a toujours dit que de toute façon il y aurais des expulsions ciblés. ce même groupe par sa position se soumettre aux exigences de l’etats, lacher toutes les promesse de soutien, de limites, des reconstruction… bref lisez les brochures) et ses négoce a colaborré et alimenter la repression de l’état !
Merci de ne pas l’oublié car oui des personnes ont perdu leurs lieux de vie se sont retrouvé blésse ou emprisonner a cause de ça !
et il y a deux poids deux mesures car cela vient d’un groupe de dominants et non d’une victimes esseulés qui se défend comme elle peux …
Il est parfaitement faux de dire que les personnes incarcérées et leurs potes et leurs soutiens n’ont pas soutenu les camarades enfermé-e-s et blessé-e-s depuis 1 an. Que vous les détestiez c’est une chose, mais arrêtez de déblatérer des mensonges pareil, c’est passablement ridicule.
On les déteste, c’est sûr, et ça ne vient pas de nulle part.
Par contre, ça ne change absolument rien au fait qu’on ne les a pas vus pour le procès des camarades qui ont été en prison pour avoir résister ou pour avoir été présent pendant les explusions. Ca peut se comprendre, c’était un peu la panique à cette époque et on pouvait pas tout faire. Mais c’est sûr que ça énerve un peu d’avoir l’impression qu’iels découvrent la répression aujourd’hui.
« Il est parfaitement faux de dire que les personnes incarcérées et leurs potes et leurs soutiens n’ont pas soutenu les camarades enfermé-e-s et blessé-e-s depuis 1 an. »
NON c’est vraiment VRAI rien sur zad nadir de leurs part, aucun appel a se retrouver sur le moment aux comicaux, plus tard au procés et aux aux appels. aucun texte de réaction par rapport au grosse peine de prison t/ou interdiction de territoire.(jusqu’a 5 et 6 ans).. RIEN de RIEN !
alors que c’est eux (je parle de ceux qui s’active pour le soutien là dont le groupe presse!)) qui détiennent le pouvoir de se qui passe sur zad nadir et dans les communiquer « officiel » de la zad !!!
par contre il est vrai que ces personnes n’avaient pas rempli de fi(fi)ches et n’étaient pas particulierement leurs amis ! juste des occupants de longues et moins longues dates et des soutiens !
Bof, restez donc dans vos mensonges si vous trouvez ça révolutionnaire de dire des aberrations pareilles, moi je poursuis mon chemin dans lequel même les gens que je déteste dans le milieu militant ne subissent pas des calomnies de ma part. Aller bon vent, je suppose qu’on se croisera autour de quelques commentaires virtuels sur indy, mais certainement pas dans la rue.
Un comité de « soutienaux5 » s’est monté. Et c’est tant mieux pour elle et eux, vraiment. Par contre ça aurait été bien d’exprimer quelques réserves en envoyant un article à charge contre le plaignant à tout plein de listes mail. Surtout vu le nombre de fausses infos qu’il contient. Le sociologue qui l’a écrit a sans doute oublié les bases de sa profession : aller voir toutes les parties pour espérer approcher une version objective.
Déjà, rien que le titre, on dirait un truc de mainstream sensationnaliste : « Les dessous de l’affaire judiciaire sur la Zad » !!!
https://blogs.mediapart.fr/thibaud-radin/blog/300119/les-dessous-de-laffaire-judiciaire-sur-la-zad
Sans parler des commentaires, pourtant modérés à priori…
bon difficile de te prouver une non-existence,
alors a toi de trouver les nombreuses traces de soutiens de communiqué, appel, etc pour les différentes inculpations, peines de prison (jusque 1 et 2 ans) etc ….de la part du cmdo, ou leurs amis,
tu les listes et tu mets les liens
ça devrait pas être dur s’ils existent
mais tu t’es sauvé hein ?