Guerre civile espagnole (1936-1939)
Catégorie : Local
Thèmes : Archives
GUERRE
CIVILE ESPAGNOLE (1936-1939)
HOMMAGE AUX BRIGADES INTERNATIONALES
ET A L’EXPOSITION « ¡NO PASARAN! » du
27 mars au 14 juin 2003
Commissaires de l’exposition: François
Fontaine et Rémi Skoutelsky
BDIC-Musée d’Histoire contemporaine
Hotel National des Invalides
75007 Paris
par Alicia Merino
J’ai vraiment découvert mon histoire, l’histoire
de ma famille, et de mon grand père maternel, lors
de son enterrement..C’était vers Perpignan…..près
du Haut vernet. Là, où en 1939 il était
arrivé des années plus tôt avec des
milliers de compatriotes républicains espagnols.C’était
avant tout un républicain, un combattant de la liberté contre
l’oppression fasciste de Franco et de ses acolytes,
Hitler, Salazar et Mussolini. Il était aussi communiste.
Cette découverte fut brutale car elle me plongea,
jeune, dans l’incompréhension de la guerre.
Après avoir vu le film de Ken Loach, Land and Freedom,
je trouve effectivement cette rencontre avec mon grand
père, beaucoup trop tardive. Je reste maintenant
pleine de questions..sans réponses. C’est
dans le sud de la France dans la région de Perpignan
qu’il a été parqué avec d’autres
combattants et civils. Eux, emprisonnés et rangés,
entassés face à la mer, après avoir
tant lutté pour leur liberté. C’est
là, que cet andaloux, rencontra ma grand mère.
Elle était originaire du pays basque et avait fuit
les bombardements de sa ville natale, Guernica…Beaucoup
de symboles pour une même famille…
Cet article modeste ne prétend pas retracer l’histoire
de la guerre civile espagnole (1936-1939) et de ses combattants.
Il me faudrait bien plus de pages… Je voulais simplement
et, en écho à la fantastique exposition qui
a lieu en ce moment aux Invalides ¡NO PASARAN!, rendre
hommage à tous les combattants républicains,
poumistes (POUM), anarchistes, socialistes, communistes,
républicains, espagnols ou étrangers qui
ont eu l’intelligence de comprendre tôt que
leur combat dès 1936 contre le fascisme était
vital. C’est à cette avant garde là que
je veux rendre hommage même si les fascistes « sont
passés », même si les républicains
ont perdu…
En castillan, « No pasaran », signifie « Ils
ne passeront pas ».Il s’agissait d’un
cri de ralliement, d’un slogan vigoureux des républicains
pour faire front aux fascistes. ¡No pasaran! ¡No
pasaran! imaginez la voix et le poing levé…Hélàs,
les fascistes sont passés. Grâce à ses
alliés et à l’Eglise, Franco restera
près de quarante ans au pouvoir, jusqu’en
1975 date de sa mort.
Mais lisons plutôt l’histoire à l’envers…
Si les franquistes sont passés, rappelons aussi
que les brigades internationales elles aussi sont passées.
Face à la montée angoissante d’une
vague brune en Europe, et pour sauver la République
espagnole légitime (1932), des milliers d’hommes
du monde entier, des Allemands, des Polonais, des Soviétiques,
des Italiens…vont partager la résistance avec
les forces de gauche et donner leur vie pour la liberté.
Oui, les brigadistes sont passés, oui, ils sont
venus parfois même des Etats Unis ou d’Afrique,
mais surtout, ils sont passés car ils ont franchi
ce cap de conscience et se sont engagés. Ce sont
des réactions de solidarité internationale
que l’on doit retrouver aujourd’hui.
Cette exposition ¡NO PASARAN! à le mérite
de dévoiler des photos anonymes de photographes/combattants
inconnus. Elles sont souvent prises au front par les espagnols
eux mêmes. Ce conflit de 1936 est véritablement à l’origine
du photojournalisme moderne.
Archivage et recherche des photographies
Nous pouvons réellement saluer l’extraordinaire
travail de recherche et d’archivage des organisateurs
de l’exposition. Ils ont réussi à réunir
des clichés d’une grande richesse et originalité (les
recherches ont été effectuées auprès
des derniers vétérans espagnols et français,
en consultant des archives d’André Marty confiées
peu avant sa mort à l’historien Jean Maitron,
en faisant des recherches en Espagne à Albacete..)
Si de nombreux documents ont été perdus
pendant la guerre, de nombreux clichés ont néanmoins été récupérés.
(1) Vous pourrez notamment observer les
photographies du brigadiste Hongrois Dezvo Révai
connu en Espagne sous le nom de Turai..(2),
et de Kati Horna, la militante anarchiste hongroise photographe
et spécialiste de la FAI et de la CNT. (3)
Vous redécouvrirez aussi le grand Capa ainsi que
les photographies de sa compagne Allemande Gerda Taro,
elle aussi photographe morte écrasée par
un char républicain en 1936 à 26 ans, de
David Seymour dit « Chim »….
Enfin des documents exceptionnels ont été donnés
par d’anciens militants engagés dans la défense
de la République espagnole. Ces anciens vétérans
ont légué à l’histoire leurs
clichés, leurs photos ou des lettres (4)
« Si ta photo est mauvaise, c’est
que tu n’étais pas assez près » Capa
Ainsi, bien plus que de simples correspondants de guerre,
ces photographes étaient avant tout des photographes
engagés, des « photographes/brigadistes ».
Par leur courage et leur implication sur le front, ils
ont aussi jouer un rôle fondamental sur le terrain
de l’information.
(1)Disparition de clichés photographiques
de Belda, de Turpin ou de Tendero, de Luis Escobar à Albacete.
(2) C’est un des photographes officiels
des brigades internationales à cette époque.
(3). près de 270 de ses négatifs
se trouvent aujourd’hui au centre national des archives
de Salamanque.
(4) Legs de vétérans de
New York à la Tamiment Library, à Londres à la
Marx Memorial Library, à Gand, dans les archives
socialistes ou à Paris à la bibliothèque
de documentation internationale contemporaine.
Un peu d’histoire: la chute de la République
et
l’engagement des brigades internationales en Espagne
(1931-1939)
La République espagnole s’installe officiellement
en 1931(le 14 avril). Il y a un véritable choc frontal
entre les « deux Espagne »: l’Espagne
conservatrice alliée de l’Eglise et de la
monarchie et l’Espagne populaire ouvrière
et paysanne. Politiquement, l’Espagne oscille en
effet entre diverses tendances politiques : on note des
oppositions entre diverses forces de gauche et notamment
des divergences avec les puissants anarchistes. A droite,
si le roi Alphonse XIII est chassé du pouvoir, les
phalangistes sont bien là et représentent
déjà une version locale du fascisme. Ainsi,
en 1934 la crainte de la venue au pouvoir de l’extrême
droite entraîne des soulèvements populaires
dans la région de Gijon. (Commune des Asturies).
Même si le front populaire est victorieux légalement
en Espagne, le 16 février 1936 Franco et ses garnisons
espagnoles du Maroc se soulèvent contre la République
le 17 juillet. Mais cette première tentative de
Putsch est un échec et les deux tiers du pays ainsi
qu’une partie de l’armée restent encore
fidèles à la République. C’est à cette époque
que l’Espagne sombre dans la guerre civile.
Avec l’appui de Mussolini et d’Hitler, le conflit
va prendre une tournure internationale. La pauvre République
espagnole est totalement délaissée par la
plupart des autres démocraties occidentales.En France,
même le gouvernement de front populaire de Léon
Blum l’abandonne et la sous arme (Politique de non-intervention).
Une grande partie de l’opinion internationale, outrée
de voir l’Espagne sombrer dans le fascisme se mobilise
alors en créant un large réseau de solidarité internationale.
(aides soutenues du Mexique et de l’URSS).
Dès
le 22 juillet 1936, la résistance s’organise
concrètement. Des colonnes Catalanes partent pour
le front d’Aragon. Même si pendant ce temps
là des avions italiens se positionnent au Maroc,
les premiers brigadistes allemands du groupe Thaelmann
et des étrangers de la colonne Durruti et de l’Escadrille
España arrivent dès le 5 aôut 1936.
Septembre 1936 symbolise les premières pertes importantes
du côté républicain, Largo Caballero
(le président socialiste au pouvoir) voit tomber
Irun au pays basque et le 13, San Sebastian…mais les
brigadistes continuent à s’organiser (A Barcelone
dans les sections de Gastone Sozzi et de la commune de
Paris). C’est le 18 septembre 1936 que Moscou (Komintern)
décide de créer officiellement des unités
internationales. Alors que Franco est proclamé Généralissime
le 1er octobre, le 13 octobre les brigadistes volontaires
investissent la base d’Albacete et le 22 octobre
les brigades internationales sont officiellement créees.
En 1937, (du 6 au 28), c’est l’offensive nationaliste
de Jarama. Les brigadistes sont sur les front de Madrid,
de Teruel et de Lopera en Andalousie..Le 8 février
Málaga tombe à son tour et du 8 au 23 mars
c’est l’offensive de Guadalajara. Alors que
Franco souhaitait épargner les vies civiles, le
24 mars la petite ville basque de Guernica est bombardée
par l’aviation alliée.
Cette année 1937 est l’année des liquidations
et des pires exactions. Le 16 juin les dirigeants du POUM
(Partido obrero de unificación marxista) sont arrêtés
et son leader Andreu Nin disparaît. C’est aussi
l’année de toutes les instabilités
puisque le 15/17 mai le gouvernement de Largo Caballero
chute (c’est le début du gouvernement Negrin)
et le 19 juin le pays basque est aux mains des franquistes.
Malgré ces combats courageux et de nombreuses offensives
républicaines sur plusieurs fronts (du 6 au 28 juillet à Brunete,
le 21 aôut à Belchite), le 20 octobre, la
ville de Gijón (Asturies) tombe et avec elle, tout
le front Nord. Le 31 octobre 1937, le gouvernement républicain
se déplace encore, vers Barcelone, cette fois. Le
15 avril 1938 l’Espagne républicaine est coupée
en deux .
La dernière grande résistance républicaine
a lieu le 25 juin 1938 avec l’offensive de l’Ebre.
Ce sera véritablement la dernière puisque
le 21 septembre 1938 Negrin fait un discours devant la
SDN où il propose le retrait des Brigades internationales
d’Espagne. Ce sera un déchirement total pour
de nombreux combattants et militants anti fascistes. L’arrêt
puis le départ brutal des
brigadistes qui à lieu le 28 octobre à Barcelone
(la fameuse Despedida) symbolise les tragiques adieux à l’Espagne
et à la liberté, les adieux à la démocratie.
Si le 26 janvier 1939, Barcelone est aux mains des fascistes,
le 9 février, la fin de la résistance en
Catalogne est effective. Les troupes nationalistes entrent
ensuite dans Madrid le 29 mars. La guerre est officiellement
terminée en Espagne le 1 avril 1939. C’est
le début d’un exode massif de républicains
vers la France ou le magreb et pour les moins chanceux
qui resteront en Espagne, le début d’assassinats
multiples par Franco voire l’entrée dans
une ère de délation et de soumission pendant
quarante ans.
Quelques portraits de combattants et de Brigadistes
Les espagnols fidèles à la république
sont nombreux à se battre. Les femmes aussi jouent
un rôle important. Dans cette guerre, elles s’impliquent
autant pour la libération de leur pays que pour
la libération de leur condition féminine.
La pasionaria Dolores Ibarruri, dirigeante communiste,
devient le symbole de toutes les femmes qui résistent.
Parmi les étrangers, les brigadistes internationaux
représentent en Espagne près de 35000 volontaires.
Ces soldats arrivent du monde entier par les circuits de
l’internationale communiste et du Komintern. Ils
sont souvent communistes, (exclus ou ouvriers). Ils arrivent
en masse à Albacete. A la fin de la guerre, ce sont
ces même brigadistes qui traversent la frontière
au milieu de 300 000 espagnols et fuient vers la France.
Ils seront emprisonnés dans la forteresse de Haut
Vernet. Un bon nombre d’entre eux se battront alors
en France contre les nazis avec leurs frères espagnols
(FTP-MOI ).(5)
Parmi les brigadistes célèbres citons l’écrivain
Américain Georges Orwell (6) engagé dans
les milices du POUM, de l’écrivain Arthur
Koestler, d’Ernest Hemingway, d’André Malraux…
Les principales brigades et leur intervention
en Espagne
Les brigades étrangères étaient les
11ème, 12ème, 13ème, 14ème
et 15ème brigades. A partir de 1937 elles comprennent
aussi des combattants espagnols (ils seront ensuite majoritaires).
Chaque brigade est constituée de plusieurs bataillons
eux même subdivisés en compagnie. Pendant
l’année 1937, les brigades sont homogénéisées
et nommées. On réunit les brigadistes de
même langue dans des brigades similaires (comme par
exemple la brigade Garibaldi essentiellement composée
d’Italiens).
Les brigades
• 11ème brigade
La Brigade Thaelmann (octobre 1936, Allemands)
Fronts:Madrid, Belchite, Teruel, Boadilla del Monte, Majadahonda;
Jarama, Brunete; Aragon , Ebro.
Commandant kleber (Manfred Stern, soviétique) puis
Richard Staimer (Allemand).
• 12ème brigade
Brigade Garibaldi (novembre 1936, Italiens)
Front:Elle intervient avec la Brigade Thaelmann ainsi qu’à Huesca.
Commandant Maté Zalka dit Paul Lukacs (Hongrois),
Randolfo Pacciardi puis Carlo Penchienati, Arturo Zanoni..
• 13ème brigade
Brigade Dombrowski (décembre 1936, Polonais)
Front:Teruel, Malaga, Pozoblanco, Brunete, Belchite, Sierras
quemadas, Aragon, Ebre.
Ils défendirent aussi la Catalogne.
Commandant Wilhelm Zaisser dit Gómez
• 14ème brigade
Brigade La Marseillaise (décembre 1936, Français)
Front:Lopera (Andalousie), Majadahonda, Jarama Cuesta de
la Reina, Aragon, Ebro.
Commandant Karl Swierczewski dit Walter (Polonais), Jules
Dumont puis Marcel Sagnier.
• 15ème brigade
Brigade
Abraham Lincoln (janvier 1937, Anglais et Américains)
Front:Jarama, Belchite, Teruel, Aragon, Ebro.
Commandant Wladimir Copic (Yougoslave), Klaus Becker (Allemand)
puis José Antonio Valledor
• 129 ème brigade
Autre brigade complémentaire (février 1938)
Front:Aragon, repli sur Valence et défense de la
Catalogne.
(5)Pourchassés aux Etats Unis
ou en Suisse les brigadistes se verront déchus de
leur nationalité aux pays bas..
(6) Lire son ouvrage intilulé Hommage à la
catalogne: un véritable document. La photo de couverture
représente un brigadiste Italien lors de la Despedida
de Barcelone à la fin de la guerre..
DISCOURS DE DOLORES IBARRURI…
« Ouvriers! paysans! antifascistes! espagnols patriotes!
Face au soulèvement militaire fasciste tous debout!
Défendons la République! Défendons
les libertés populaires et les conquêtes démocratiques
du peuple! (..)
Au cri de « le fascisme ne passera pas, les bourreaux
d’octobre ne passeront pas! », les ouvriers
et les paysans de diverses provinces s’associent à la
lutte contre les ennemis de la République. Les communistes,
les socialistes et les anarchistes, les républicains
démocrates, les soldats et les forces demeurées
loyales à la République ont infligé les
premières défaites aux factieux qui traînent
dans la boue de la trahison l’honneur militaire dont
ils se glorifiaient tant.
Tout le pays vibre d’indignation devant ces misérables
qui veulent plonger l’Espagne démocratique
et populaire dans un enfer de terreur et de mort.Mais ils
ne passeront pas!
L’Espagne toute entière s’apprête
au combat. A Madrid, le peuple est dans la rue, soutenant
le gouvernement et le stimulant avec son énergie
et son esprit de lutte, pour que les militaires et les
fascistes insurgés soient totalement écrasés.
(…)
Que personne n’hésite! Soyez tous prêts à l’action!
Chaque ouvrier, chaque antifasciste doit se considéerer
comme un soldat en arme. Peuples de Catalogne, du Pays
Basque et de Galice! Espagnols! Vous tous!Défendons
la République démocratique, consolidons la
victoire obtenue par le peuple, le 16 février. Le
parti communiste vous appelle à lutter. Il appelle
spécialement les ouvriers, les paysans, les intellectuels à occuper
un poste de combat pour écraser définitivement
les ennemis de la République et des libertés
populaires. Vive le front populaire! Vive l’union
de tous les antifasistes! Vive la République du
peuple! Les fascistes ne passeront pas! Ils ne passeront
pas! »
Discours de Dolores Ibárruri dite la Pasionaria
Au nom du parti communiste depuis le balcon du ministère
de l’intérieur à Madrid,
le 19 juillet 1936
Bibliographie non exhaustive
La guerre civile espagnole (1936-1939)
Les brigades internationales
Les brigades internationales
Jacques Delpierre de Bayac
Editions Fayard, 1966, 466p.
Les poètes de la guerre d’Espagne
Claude Dupont, Genviève Legrand
CEL, mai 1976 (revue BT2 n°78, mai 1976), 48p.
Les grandes photos de la guerre d’Espagne
Robert Capa, David Seymour-Chim
Textes de Georges Soria, Jannink Ed., 1980, 176p.
Le labyrinthe espagnol : origines sociales et politiques
de la guerre civile
Gerald Brenan
Ed Champs libres, 1984, 466p.
Dialogue avec la mort : un testament espagnol
Arthur Koestler
Ed Albin Michel, 1993, 257p.
L’espoir
André Malraux
Ed Gallimard, 1987, 592p.
Durruti: un anarchiste espagnol
Abel Paz
Ed. Quai Voltaire, 1993, 498 p.
Carnets de la guerre d’Espagne
Mar Low et Juan Brea
Ed. Verticales, 1997, 180p.
L’exil des républicains espagnols
en France
De la guerre civile à la mort de Franco
Geneviève Dreyfus-Armand
Ed Albin Michel, 1999, 475p.
La guerre d’Espagne
Abel Paz
Hazan, cop, 1997, 197p.
La guerre d’Espagne: 1936-1939
Pierre Vilar
Que sais-je? n°2338
PUF, 125p.
La guerre d’Espagne: revolución y
guerra civil
Francis Pallares Aran
PEMF, 2000, 63p.
Hommage à la Catalogne: 1936-1937
Georges Orwell
Paris, Collection 10/18, 2000, 294p.
Malraux en Espagne
Paul Nothomb
Ed Phébus, 2000, 158p.
VIDEOGRAMMES
Mourir à Madrid : 1936-1939
Documentaire de Frédéric Rossif
EM 1962
85mn
Guernica
Documentaire de JC Dassier et G Delannoy
Gaumont 1988
58 mn
Land and Freedom
Fiction de Ken Loach
TF1 video
95 mn
Bibliographie non exhaustive
Sur la guerre d’Espagne
• La guerre d’Espagne.
Abel Paz
Sur les brigades internationales
• Hommages à la Catalogne
de Georges Orwell
L’éxil
• L’éxil des républicains Espagnols en France.
De la guerre civile à la mort de Franco.
Geneviève Dreyfus-Armand. Albin Michel. Paris 1999.475
pages.
Paris 09.06.2003
Alicia Merino
Collectif Bellaciao
A croire que les communistes ont tous fait dans cette guerre. Juste une petite mention des anars, rien sur la collone de Durutty… On dirait presque de la reecriture de l histoire comme pourrait le faire les tenants/es du pouvoir…
Pourtant l histoire des communistes dans cette lutte ci n est pas aussi joli qu on tente de le faire croire…