Journée de solidarité avec les prisonniers palestiniens
Catégorie : Local
Thèmes : Archives
SAMEDI 4 SEPTEMBRE
Rassemblement à Nantes
Place du Change à partir de 15h00
Rappel:
Le comité de l’ONU qui défend les droits inaliénables du peuple palestinien a récemment lancé un cri d’alarme sur les « graves violations systématiques des droits de l’homme dont sont victimes des détenus palestiniens dans les prisons, centres d’interrogation et de détention israéliens. »
Plus de 7 000 Palestiniens du territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, sont détenus pour des raisons politiques par la police ou l’armée israélienne, a indiqué le Bureau du Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien, dans un communiqué.
Parmi eux, a-t-il ajouté, figurent plus de 100 femmes et 300 enfants. Les prisonniers sont systématiquement soumis à des conditions d’incarcération inhumaines.
Enfin, des militants de retour de Jénine témoigneront
Même heure, même jour que le rassemblement pour François Thonier…
Surement la crainte qu’il y ait trop de monde…
Bien sur que les enfants palestiniens souffrent peut etre moins qu’en Tchetchenie dont vous ne parlez jamais (250 000 morts en tchtchenie en 7 ans pour 25 000 morts en Israel/Palestine en 50 ans …) voilà donc le retour des obsedés de la Palestine …mais vous savez que la France n’est pas terrible non plus de ce coté… Il ne suffit pas de tirer sur des enfant ado pour etre un salop (quoi que ceci arrive aussi en France assé fréquament en banlieu -merci la police-), les laissé crever dans des cité et aussi une apartheid a combattre !!!
Infos | 1.000.000 d´enfants sous le seuil de pauvreté en France en 98/99
Source : http://www.bouclier.org/article/1570.html
29 avril 2003
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PARIS – Un million d´enfants vivaient en dessous du seuil de pauvreté en France entre 1998 et 1999, selon une étude de l´Insee publiée mardi.
L´Insee souligne que la proportion d´enfants pauvres augmente avec l´âge et que « les prestations sociales bénéficient davantage aux enfants les plus jeunes ».
En moyenne entre 1998 et 1999, l´Institut a recensé un million d´enfants qui vivaient dans des familles dont les ressources étaient inférieures au seuil conventionnel de la pauvreté, soit 50% du niveau de vie médian en France.
Ce seuil correspond à 552 euros pour une personne seule et 828 euros pour un couple, à quoi s´ajoutent 166 euros par enfant de moins de 14 ans et 276 euros par enfant de 14 ans ou plus.
« La moitié des enfants pauvres vit avec des parents sans emploi », indique l´Insee, alors que c´est le cas d´à peine 10% des autres enfants.
« Inversement, un peu plus de 10% des enfants pauvres cohabitent avec deux parents qui travaillent, contre la moitié des enfants non pauvres. »
Deuxième facteur déterminant, la composition de la famille. « Un enfant pauvre sur quatre vit avec un seul parent alors que ce n´est le cas que d´un enfant non pauvre sur huit », relève l´Insee.
Le niveau d´études des parents s´avère aussi un facteur « très discriminant » : 16% d´enfants pauvres ont des parents qui n´ont pas fait d´études.
LE TAUX DE PAUVRETÉ AUGMENTE AVEC L´ÂGE
En outre, les enfants de parents non-ressortissants de l´Union européenne « ont un risque de pauvreté important ». Près d´un sur trois est pauvre et ces enfants représentent un quart de la population des enfants pauvres.
Enfin, les prestations sociales contribuent surtout à réduire la pauvreté des enfants les plus jeunes, selon l´Insee.
Le taux de pauvreté des enfants augmente avec leur âge: de 5% à 6% avant 14 ans à plus de 10% après 13 ans.
« Or la proportion d´enfants dont le revenu déclaré est inférieur au seuil de pauvreté est sensiblement la même quel que soit l´âge: environ 25% », note l´Insee, qui ajoute: « Par conséquent, l´augmentation du taux de pauvreté avec l´âge est liée à la structure des prestations sociales ».
En complément, l´Insee a par ailleurs analysé la pauvreté sous l´angle des conditions de vie, c´est-à-dire « comme un manque global d´éléments de bien-être matériel » (sanitaires, eau chaude courante, téléviseur, lave-linge, automobile, vêtements neufs ou d´occasion, qualité nutritionnelle de la nourriture, vacances, cadeaux, etc.).
Le recouvrement entre les deux formes de pauvreté (monétaire et en conditions de vie) permet, selon l´expression de l´Insee, de définir un « noyau dur » de 6% d´enfants pauvres selon les deux approches.