On arrête tout, on fait un pas de côté et c’est pas triste… Gébé est mort. L’an 01, c’était lui. L’anarchie douce, la révolte, la rêverie, le refus de la connerie, des contremaîtres et des assomoirs de toute obédience, c’était lui… Non, on ne fera pas une minute de silence, mais toute une vie de chômage à tout casser, à tout réinventer. Merci Gébé.