En cette période mouvementée, on n’entend trop peu de personne mettre en cause de l’idéologie Travailliste. Un dogmatisme qui s’étant aussi bien de la droite fasciste à la gauche révolutionnaire. Contrairement à ce qu’avance cette pensée, le travail n’est pas une VALEUR ! Le travail, c’est simplement l’énergie, les moyens personnels, que l’on met en oeuvre en vue d’obtenir une fin.
C’est dans l’univers dit du « Travail », que se cultive cette idéologie que je qualifierais de nauséabonde, car elle a des relents de peste brune. Elle accentue haine et incompréhension entre collègues, entre employé-e-s et sans emplois, mépris, délations, collaborations carriéristes, étouffement des solidarités, abrutissement des réflexions sociales. C’est une vrai censure de la pensée!
Plusieurs fois, j’ai constaté avec un-e collègue l’inutilité d’une chaîne de travail, qui ne produisait que pollutions et ravages culturels, pour finir par m’entendre dire, « Oui, mais il faut bien travailler ! ». Cette manière de fausser ses résonnements, me rappel dangereusement la pensée qu’on put avoir collaborationnistes, kapos…. L’idéologie travailliste est une cible à abattre. Un nid où l’on cultive l’autoritarisme. En effet, cela revient à une soumission, où l’autonomie et la responsabilité des actes de chacun (sauf vis à vis de la production) sont bannîtes. « C’est pas ma faute, c’est comme ça ! Je ne peux rien y faire ! Et puis au fond, y’en a qui …, et y’en a qu’ont… . Alors, faut pas s’étonner ! ».
Notre liberté passe par une critique sociale brisant les carcans du travaillisme.
Mon travail est-il nécessaire ? N’en fais-je pas trop ? Ai-je vraiment choisis de le faire ? Pourquoi ne pas s’attaquer à construire autre chose ?