Laisser faire cette intervention militaire, c’est laisser les pays impérialistes reprendre en main des révolutions populaires qui leur échappaient ; c’est aussi laisser nos dirigeants poser en humanistes, alors même qu’ici les plans d’austérité se mettent en place, et que les politiques sécuritaires se multiplient.

Les informations sur la situation libyenne sont peu nombreuses, et souvent peu pertinentes. Nous proposons, au cours de ces réunions publiques, de partager le fruit d’un travail de contre-information et de revue de presse que nous menons depuis plusieurs semaines déjà. Ce travail, nous l’avons fait en tant qu’individus alarmés par la guerre en cours : toutes les organisations politiques soutiennent l’intervention militaire, qui a été décidée sans la concertation du peuple.

Après une présentation des informations que nous avons pu récupérer, un débat suivra à partir duquel nous pourrons tenter de trouver une façon d’empêcher que cette guerre se poursuive, ainsi que de soutenir le peuple libyen dans sa lutte pour la liberté.

Le mercredi 20 mars, à 18h au café Le Delta, rue Legraverend