Sans la nommer…

En guise d’édito

« Les révolutions appartiennent au passé », voilà une idée plus que répétée, y compris dans la gauche « radicale ». Une idée qui a pour seul défaut d’être une négation de la réalité contemporaine. Il est toujours extrêmement désobligeant de voir les affirmations les plus solidement établies démenties sous les coups des peuples. Le CCR se construit sur le constat que le capitalisme est plus fragile qu’il ne le donne à penser. Son histoire a prouvé qu’il ne se réformait – sous pression – que pour mieux restaurer l’injustice et la guerre. Être communiste et révolutionnaire c’est donc pour nous être cohérent et conséquent.

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Quatorze thèses sur le printemps arabe

A la mémoire des milliers de manifestantes et manifestants tombés sous les coups de la répression et de l’impérialisme depuis le début du printemps arabe et à celle de Juliano Mer-Khamis et de Vittorio Arigoni, combattants de la libération de la Palestine, assassinés en avril 2011 à Jenine et à Gaza.: http://www.ccr4.org/Quatorze-theses-sur-le-printemps

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Dossier Precarité: http://www.ccr4.org/-Dossier-Precarite-

Lutte victorieuse des travailleuses et travailleurs de la cantine et du ménage à l’École Normale Supérieure de Paris

Au cœur du 5ème arrondissement de Paris et de la méritocratie républicaine française, se trouve l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm (ENS). Si Lénine affirmait que l’Université est « un miroir dans lequel se reflètent toutes les contradictions de la société », l’ENS reflète et concentre en elle toutes les contradictions de l’Université de classe. Que ce soit dans la hiérarchie entre élèves et étudiants (les uns salariés et les autres non, pourtant étudiant dans les mêmes conditions) dans l’absence criante de fils de classes populaires, d’élèves ou étudiants noirs ou arabes dans ses salles de cours, dans les conditions d’exploitation des travailleurs de la cuisine et du ménage et enfin, dans l’idéologie méritocratique ambiante qui alimente cette institution et sa Direction.: http://www.ccr4.org/lutte-victorieuse-des

Ferrocarril Roca, Argentine :http://www.ccr4.org/1500-travailleurs-titularises

1500 travailleurs titularisés Retour sur une grande victoire contre la précarité

Le chemin de fer Roca traverse la banlieue Sud de Buenos Aires. Les différentes lignes relient de grandes villes comme La Plata, capitale de la province de Buenos Aires, à la Capitale Fédérale de l’Argentine. « El Roca » comme on l’appelle, c’est la ligne de chemin de fer la plus importante d’Amérique latine, centrale pour l’économie, permettant à prés d’un million de travailleurs de se rendre quotidiennement sur leur lieu de travail. :http://www.ccr4.org/1500-travailleurs-titularises

La révolte des femmes de ménage balaie la poussière de la fin de l’histoire->http://www.ccr4.org/La-revolte-des-femmes-de-menage

Grande a été la surprise de la bureaucratie universitaire et du gouvernement face à la « révolte des balais » et riche d’enseignements est la lutte des travailleurs précaires de la société União, à l’Université de São Paulo (Brésil). Cette lutte restera gravée dans les cœurs et les esprits, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’Université.: http://www.ccr4.org/La-revolte-des-femmes-de-menage

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Critique Littéraire

Emmanuel Barot,

Marx au pays des soviets ou les deux visages du communisme

Pour comprendre l’ouvrage d’Emmanuel Barot, il convient peut être de faire les hypothèses suivantes. Première hypothèse : le marxisme, du point de vue théorique, a pratiquement disparu de la vie concrète du mouvement ouvrier et s’est retiré (dans le meilleur des cas) dans les milieux universitaires. On y trouve une attitude commune – malgré la diversité des analyses – Marx est pensé en réaction à l’expérience de l’URSS. :http://www.ccr4.org/Marx-au-pays-des-soviets-ou-les

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