Cette années la jeunesse Iranienne avait prévenu, les mollahs le dictateur Khameinei et son homme de paille Ahmadinejad , que la fête du feu 15 mars 2011 ou fête de Tchahar Chanbé souri en persan allait être très chaude, la fête du feu, est une fête d’origine zoroastrienne que les mollahs et les bassidj’is considére comme « païenne et sataniste » mais qu’il n’ont pourtant jamais pu empêcher, malgré 32 ans de dictature sanguinaire.

De nouveaux incidents violents on éclatés a Téheran aux cris de « Mort au Dictateur », « A bas Khamenei » « Moubarak est parti a ton tour Ali Khamenei » Premier rapport des incidents et des affrontement entre le peuple et les forces répressives, qui nous parviennent de Téhéran :

Malgré un déploiement de troupes anti émeutes doublé par rapport aux derniéres manifs sauvages du 14 février, 1er et 8 mars 2011 les jeunes ont attaqués les forces répressives a coup de pétards et de petites grenades artisanales :

– A Pardisan Park et au bord de l’autoroute Hemmat des centaines de manifestants ont scandé « Je vais tuer ceux qui ont tué mon frère » Allusion a Khamenei. Toujours sur place des jeunes ont mis le feu aux portraits de Khomeiny et Khamenei en criant des slogans comme « A bas le principe du velayat-e faqih » ou (principe du guide suprême) , un peu plus loin, sur le Boulevard Abouzar, un véhicule des forces répressives, a été attaqué par les jeunes a coups de pétards

– Dans l’avenue Jeihoon une foule nombreuse s’était rassemblée qui scandait « A bas le dictateur » en faisant exploser des pétards, sur les Avenues Karoon, Azerbaïdjan et Sattarkhan Behboudi Avenue, la jeunesse a utilisé des pétards et des matières inflammables , pour attaquer les forces de la milice Bassidj’is à cheval et en moto qui avaient l’intention de disperser la foule. Les affrontements se sont poursuivis entre les manifestants et les forces répressives dans les rues adjacentes.

– Dans le quartier Salsalbil, les forces répressives ont utilisé des gaz lacrymogènes pour faire face aux manifestants. Dans les quartier de Mehrabad et sur Sabalan Intersection les jeunes se sont affrontés avec les agents du Bassidj’s les forçant à battre en retraite. Avant la nuit les forces de répression s’étaient concentrées principalement , dans les quartiers prés de Téhéran Pars et sur la place Mohseni , Tôt dans l’après midi les forces répressives avaient commencées à confisquer les motos (le régime déteste les motards de Téhéran ,car a chaque manifs sauvage, ils tournent, observent et renseignent les manifestants sur les mouvement des troupes anti émeutes et sur les concentrations de bassidj’is en civil ou en uniformes)

– Dans dans le quartier de Shahrak-e Ekbatan à Téhéran, les jeunes scandaient « Mort à Khamenei », en faisant exploser des pétards et des grenades artisanales , toujours sur Téhéran Pars , un jeune homme a détruit de grandes affiches de Khamenei.

– Dans les quartiers de Khazaneh, Javadieh et nazi Abad, au sud de Téhéran (les quartiers populaires et pauvre, les jeunes ont montré leur haine envers le régime des mollahs en éteignant les lumières et les lampadaires publics

– Dans les quartier Varamin et Saadat-Abad, les sons des pétards, des grenades sonores et des slogans anti-gouvernement ont duré jusqu’à tard dans la soirée. D’autres rapports indiquent que les forces répressives ne s’attendaient pas a une telle participation

Les hélicoptères appartenant à l’Etat la Force de sécurité (SSF) on ensuite tenter de créer une atmosphère de peur en survolant les zones de rassemblement de personnes.

Le régime avait mis en place des postes de contrôle très lourds et des sortes de checks points de contrôle très stricts, depuis la nuit dernière dans divers quartier de Téhéran tels que Afsarieh, Téhéran-Pars, Ressalat, place de l’imam Hossein carrés ; toute la journée les force répressive on doublé le contrôle des véhicules. S’en prenant très énervés, aux vitres s de nombreux véhicules ont été brisées par des agents de répression quand ils n’obéissaient pas assez vite. De nombreuses arrestations dont certaine très violentent ont eues lieues,
– On signale d’autres affrontements, dont certains très violent avec les forces répressives du régime, dans les villes de Shiraz, Isfahan , Najaf Abad, Rasht,hamedan, Sanandaj, Borujerd et a Ahvaz, la grande ville pétroliére au sud du pays.

on attend d’autres rapports sur les actions dans d’autres villes mais il parviennent difficilement du fait, du ralentissement du net orchestrés par les techniciens du ministére du renseignement

http://www.freedomessenger.com/?p=25181

– A Rasht ou la féte du feu s’est tout de suite transformée en manif sauvage, les forces répressives s’en sont prises avec une violence inouie, à tous les automobilistes qui klaxonnaient en solidarité avec les manifestants, on déplore environ a peu prés une centaines d’arrestations, et de nombreux blessés parmi les manifestants

A suivre car d’autres protestations devraient suivre dans les semaines à venir, pour les fêtes jour de l’an Iranien

D’autres informations en français sur l’Iran

Iran en lutte

http://www.iranenlutte.wordpress.com/

Soliran paris

http://www.soliranparis.wordpress.com/

Solidarité socialiste avec les travailleurs en Iran

http://www.iran-echo.com/

Le site Solidarité socialiste avec les travailleurs en Iran, vient de publier une terrible liste de 183 prisonniers condamnés dans les mois a venir a la peine de mort, pour vous joindre a leur nouvelle campagne de protestation, n’hésitez pas a les contacter

Iran : Les noms de 183 condamnés à la peine capitale dont 88 mineurs

http://www.iran-echo.com/liste_executions.html

14 Mars 2011 :

Depuis le début de l’année, plus de 110 personnes ont été pendues en Iran. Des centaines autres ‎sont dans les couloirs de la mort. Nous avons arrivé de se procurer les noms de 183 condamnés à la ‎peine capitale dont 87 les mineurs‎ L’article 37(a) de la Convention relative aux droits de l’enfant (CDE) stipule que : « ni la peine ‎capitale ni l’emprisonnement à vie sans possibilité de libération ne doivent être prononcés pour les ‎infractions commises par des personnes âgées de moins de dix-huit ans ». ‎

L’article 6.5 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) déclare : ‎ »Une sentence de mort ne peut être imposée pour des crimes commis par des personnes âgées de ‎moins de 18 ans ».

Plusieurs autres traités internationaux relatifs aux droits humains interdisent d’appliquer la peine ‎capitale à toute personne âgée de moins de dix-huit ans au moment des faits qui lui sont reprochés : ‎cette interdiction est aussi inscrite dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ‎la Convention américaine relative aux droits de l’Homme et la Charte africaine pour les droits et le ‎bien-être de l’Enfant. ‎

En tant qu’Etat signataire, le gouvernement iranien est soumis à l’obligation internationale de ‎respecter ces deux articles. Malgré cela, Amnesty International a rapporté l’exécution de 21 ‎délinquants juvéniles en Iran depuis 1990. Dans de nombreux cas, ces mineurs ont été maintenus en ‎détention jusqu’à l’âge de 18 ans avant d’être exécutés.

‎ En janvier 2005, le Comité des droits de l’enfant de l’ONU, qui contrôle le respect de la CDE par ‎les Etats, a instamment prié l’Iran de surseoir immédiatement à toutes les exécutions de délinquants ‎juvéniles et d’abolir l’usage de la peine de mort pour ces cas. Durant l’été 2006, le parlement iranien ‎aurait voté un projet de loi établissant des tribunaux spéciaux pour les enfants et les adolescents, ‎mais celui-ci n’a pas encore été approuvé par le Conseil des Gardiens, qui supervise la législation ‎de l’Iran afin d’en garantir la conformité avec les principes islamiques. Pendant ces quatre dernières ‎années, les autorités iraniennes auraient étudié une législation prohibant la peine de mort pour les ‎délinquants juvéniles. Les récentes déclarations d’un porte-parole judiciaire laissent entendre que la ‎proposition de loi n’interdirait la peine de mort que pour certains crimes, et non pour tous les crimes ‎commis par des enfants. ‎ En dépit de ces efforts, le nombre de délinquants juvéniles exécutés en Iran a augmenté au cours ‎des deux dernières années. Au mois de mars 2007, au moins 25 délinquants juvéniles se trouvent ‎encore dans les couloirs de la mort en Iran. Voici la liste de leurs noms et de leurs âges au moment ‎des crimes qui leur sont reprochés (pour ceux pour lesquels ces informations sont connues) :‎ ‎

http://www.iran-echo.com/liste_executions.html

L’Iran est le seul pays ayant ratifié la Convention à reconnaître la tenue d’exécutions de mineurs