Dans son article Al Giordano décrit, depuis Tegucigalpa, l’ambiance des nuits du lundi 28 au mardi 29 septembre, peu après la publication du Décret levant les garanties constitutionnelles du Honduras.
Il y parle de la manière dont les putschistes font taire les médias, dont ils manipulent jusqu’à leur propre police, de la manière dont les soutiens à Micheletti se détachent peu à peu de lui, s’improvisent médiateurs et tentent par là même de réduire leur faute.
Il parle aussi du « Comité du Congrès (des États-Unis) pour l’appui du putsch » organisé par des républicains.
Il cite également « La Gringa », une blogueuse américaine (?) ayant lancé un appel au meurtre contre Zelaya et contre l’ambassadeur US au Honduras.
Bref toutes les petites choses dont on entend peu parler depuis l’Europe…