Maintenant de bonne relations avec les USA, Zelaya répond néanmoins à la « grossièreté » de l’ambassadeur intérimaire américain à l’OEA, Lewis Amselem qui avait cru bon de traiter M. Zelaya d’irresponsable. Dans le pays la répression féroce continue, et les jugements iniques se poursuivrent dans les tribunaux. De son côté le gouvernement de facto tente de redorer son blason aux USA en achetant les services de lobbyistes pour près de 290 000 dollars, campagne qui parait mal engagée vu l’évolution de la situation. De leurs côtés les entrepreneurs qui avaient soutenu le putsch tentent de sauver leurs meubles et leur argent en proposant un plan pour le moins empoisonné pour le Honduras