L’essence de la révolte
« Le patronat et l’Etat ne peuvent et ne veulent plus payer. Personne ne pense à l’idée qu’ils peuvent disparaître. Les enfants des cités, ces palestiniens du spectacle triomphant, savent, eux, qu’ils n’ont rien à perdre ni rien à espérer du monde tel qu’il devient. » Avant-propos à la réédition…