PSYCHO
16 membres du personnel de l’UFR de Psychologie, en signant la présente motion,
·Dénoncent l’instauration, sous le nom de « Contrat Première Embauche », d’une nouvelle précarité qui atteint directement la jeunesse et qui va, par effet domino faire régresser les droits de tous les salariés.
·Expriment leur solidarité aux étudiants engagés dans la lutte pour se défendre contre ce CPE.
·Appellent les personnels de leur UFR à participer à des actions organisées le mardi 7 mars (grève ou assemblées générales ou manifestations …).
·S’engagent à adapter les conditions de validation du second semestre afin de ne pas pénaliser les étudiants de Psychologie qui participent à cette lutte.

INFO COM
Suite au mouvement de grève qui paralyse maintenant
l’Université, nous tenons à préciser les points suivants :
1.Les enseignants permanents du Département Info com
– partagent pleinement les préoccupations et inquiétudes liées à la mise en place du CPE et informent les étudiants de leur soutien au mouvement de contestation
– s’associent à la journée de mobilisation générale du mardi 7 mars.
2. Bien entendu, l’ensemble de l’équipe pédagogique tiendra compte de cette situation dans l’organisation des enseignements et des validations du second semestre.
L’équipe pédagogique du département Info Com.

ANGLAIS
MOTION VOTEE PAR LE DEPARTEMENT D’ANGLAIS

(23 présents : 19 POUR ; 1 CONTRE ; 3 ABSTENTIONS/BULLETINS BLANCS
Le Département d’Anglais de l’UFR de Langues, réuni en assemblée générale le 6 mars 2006, comprend l’inquiétude tout à fait légitime des étudiants et s’associe pleinement à la motion suivante du Conseil d’Administration, approuvée le 27 janvier :
Le Conseil d’Administration de l’Université de Nantes est préoccupé par la création du Contrat Première Embauche, annoncée le 16 janvier dernier. En tant qu’établissement public dont l’une des missions est l’enseignement supérieur, l’Université de Nantes est particulièrement attentive au devenir et à l’insertion professionnelle des jeunes qu’elle accueille dans ses formations. Le Conseil d’Administration de l’Université de Nantes s’inquiète de l’instauration d’un tel contrat qui placera en situation deprécarité les jeunes jusqu’à 26 ans, et pèsera sur leurs possibilités d’insertion durable après cet âge.