salut,
vous avez probablement déjà reçu cela:

>> URGENT !
>>
>> Notre brave premier ministre doit courant juin envoyer aux 26 millions
>> d’électeurs hexagonaux un « explicatif « sur sa réforme sur les retraites.
>> Deux cas se présentent:
>> A/ Vous êtes d’accord , en ce cas n’allez pas plus loin, vous perdriez
>> votre temps.
>> B/ Vous n’êtes pas d’accord: en ce cas n’ouvrez pas la précieuse missive
>> gouvernementale, barrez de la couleur que vous voulez votre adresse
>> inscrite sur l’enveloppe et écrivez dessus, lisiblement: « refusé, retour à
>> l’envoyeur ».
>> Remettez le courrier ainsi traité dans une boîte aux lettres de la Poste.
>> Diffusez abondamment ce message autour de vous par e-mail, « voie orale »
>> ou écrite, etc…

J’ai récupéré cela d’un copain de Toulouse que je vous transmets afin que ce retour à l’envoyeur parvienne effectivement à l’intéressé Chirac :

En fait, si l’on suit cette méthode, les lettres seront simplement détruites
à la poste. Voici ce qu’en disent les gens de la Poste :

Solution de renvoi de cette lettre validée par des syndicalistes de la Poste
:

La lettre est envoyée comme une publicité, ce qu’elle est d’ailleurs. Un
retour avec comme seule mention « refusé » ou « n’habite pas à l’adresse … »
conduira tout droit ces retours au pilon étant donné qu’il n’y a pas
d’adressage nominatif sur l’enveloppe.

Un renvoi GRATUIT peut-être fait au Président de la République, pour cela il
faut :

1 – placer l’enveloppe reçue dans une autre enveloppe
2 – l’adresser au président de la république :
Monsieur le Président de la République
Palais de l’Elysée
55, rue du faubourg Saint-Honoré
75008 Paris
3 – NE PAS METTRE DE TIMBRE (l’acheminement d’un courrier destiné au
Président est gratuit)
4 – Et bien sûr glisser cette enveloppe dans une boîte aux lettres de La
Poste.

Peut-être se trouvera-t-il un journaliste pour s’inquiéter auprès de
l’Elysée du nombre de lettres renvoyées ?
M. Chirac en tous cas devra bien s’interroger sur son avenir, en particulier
judiciaire, s’il reçoit quelques millions de retours qui pourraient bien
compromettre son propre retour à l’Elysée.