Bon deux trois photos vite fait d’une manif dont la moyenne d’age devait avoisiner les 50 ans et dont le nombre n’a pas permis de cacher un certain flou des revendications. Entre les précaires ou les lycéenNEs et les retraitéEs de la fonction publique, assez peu de liens ou cortèges communs.

Des revendications qui oscillent entre le refus du travail comme valeur et l’envie de meilleurs salaires.

Définitivement ce sont des mécontentEs très corporatistes et diviséEs qui étaient dans la rue. Le corporatisme syndical (-« c’est où la CGT? » -« heuuu, quelle section tu cherches? ») conbiné aux évidents écarts de mode de vie dans cette manif ne risquent pas d’ébranler le boulevard que l’Europe et le gouvernement laissent à la libéralisation du travail.