Samedi après-midi (11/12/04), des camarades ont déployé une banderole : JUSTICE À 2 VITESSES, JUSTICE DE CLASSE-LIBÉRATION IMMÉDIATE DES MILITANTS D’ACTION DIRECTE, au-dessus de la D118 entre Carcassonne et Quillan (route de Perpignan), sur un pont métalique de la voie de chemin de fer. Les gendarmes se sont déplacés en nombre (pour ici), une camionette et un fourgon, mais la hauteur de l’édifice et la difficulté les ont momentanément découragés.

Signer la pétition pour la liberation immédiates des militantes et militants d’Action Directe : http://nlpf.samizdat.net

Plus d’infos sur les prisonniers révolutionnaires en France, en Europe et dans le monde : http://apa.online.free.fr

Campagne internationale pour la libération des militantes et militants d’Action directe : http://www.action-directe.net

Un communiqué de la CNT avait déjà été adressé à la presse locale ces derniers jours.

communiqué de l’UL Limoux sur A.D.
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Limoux, le 29/11/02004

COMMUNIQUÉ À LA PRESSE

LIBERTÉ POUR NATHALIE MÉNIGON ! LIBERTÉ POUR ACTION DIRECTE !

Depuis maintenant 20 ans pour Régis Schleicher, et 17 ans pour Nathalie Ménigon, Joan-Marc Rouillan et Georges Cipriani, les militants d’Action Directe croupissent dans les geôles de l’État français. Leur faute ? Avoir porté très haut leur idéal révolutionnaire en mettant hors d’état de nuire un patron licencieur en série et un trafiquant d’armes ! Aujourd’hui, ces résistants subissent les vexations quotidiennes de l’administration pénitentiaire et les foudres d’une  » justice de classe  » qui leur reproche de n’avoir jamais renié leur engagement !

Au-delà du débat sur les méthodes, l’Union Locale CNT de Limoux partage avec ces authentiques militants communistes, un idéal commun, aussi exige-t-elle la libération immédiate de ces prisonniers politiques !

Dénoncez l’État voyou !

Confédération Nationale du Travail – Union Locale de Limoux (11) Le presbytère, 11300 Roquetaillade