sur la revue « la mort de l’art » (deux numéros) est partie en vacances, ne sachant plus très bien que dire du « monde » et de sa « réalité », et comment se situer entre la critique révolutionnaire lourde du « spectacle » (la réalité ne serait qu’une « réalité falsifiée » atttendant la révolution pour être rétabli dans sa vérité, tiens donc…) et la critique de la « vérité sociale » comme invention et de l' »apparente réalité » comme réalité à part entière.

Toujours est-il que ces questions n’enlèvent pas le besoin de cracher sur l’Art et son monde, institutions et galeries, avec leur promotion du business, des pouvoirs publics (donc le droit et la police qui le fait respecter) et de l’esthétique comme finalité.

Ici en plus de cracher la dessus, des pratiques différentes sont proposées: Don A l’Etalage entre autres. Alors faites votre choix et vive la mort de l’Art.