Tribune collective : « quand nous disons “je”, c’est à nous tou-te-s que nous pensons »
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Nous assistons avec un triste amusement à la déchéance de rationalité d’un État en roue libre. Et avec lui, les hérauts d’une élite désuète qui, face à la remise en cause de ses privilèges, est prête à faire brûler la maison France qu’elle dit tant aimer.
Comme chaque jour apporte son lot de nouvelles polémiques autour de l’islam et des musulmans, des Noirs et des Arabes, des migrants et des Roms, hier pas plus que demain ne déroge à la règle.
Douce France, cher pays en pleine souffrance, que nous réserves-tu aujourd’hui ? Quel foulard, quelle barbe, quelle couleur, quelle culture te posera problème ? Quel sujet naitra, sinon de ton ennui, du moins de tes errances ou stratégies racialistes ?
Sur nos écrans s’affichent les tensions du jour qui, dans nos rues comme dans nos institutions, dans nos écoles comme dans nos entreprises, portent leurs fruits amers, construisant et légitimant le rejet de l’autre, son exclusion. La violence des mots, souvent. La violence des gestes, aussi.
Et face à cela, un État coupable de lui-même, non plus uniquement de ses renoncements face aux racismes, mais également de ses discours et de ses actions ; une puissance publique qui, plutôt que d’apporter la rationalité de l’analyse, l’humanisme de l’écoute et la fraternité dans l’action, est incapable d’offrir un autre visage que celui du mépris.
L’antiracisme d’État n’est et ne sera pas la grande force issue de tous les secteurs et de tous les paysages de la société française, permettant à chacun-e de ne plus faire face à l’exclusion de part sa couleur de peau, son origine ou sa religion supposée. Au contraire, il aura été l’obstruction des institutions, empêchant les premiers intéressés d’accéder aux moyens politiques et institutionnels de changer positivement leur condition. Il aura été la domination d’une élite, produisant un discours vertical descendant, à l’attention des populations cibles du racisme que l’on aura voulu « civiliser » et « pacifier », sans jamais dépasser ses réflexes post-coloniaux. Il aura été 30 ans de retard, en donnant à voir l’illusion d’une France fraternelle, signalant sur le plan du marketing ce que nous avons été incapables de faire vivre dans le réel de l’action institutionnelle. Une France pourtant rescapée, sauvée au quotidien par l’expérience humaine de gens qui veulent tout simplement vivre ensemble, bien loin des outrances politiques de ceux qui nous gouvernent. ??Au Président de la République comme au Premier Ministre, au Délégué interministériel prétendument contre le racisme et l’antisémitisme comme aux polémistes qui les soutiennent, aux videurs de l’antiracisme patenté comme aux racistes de tout poil qui se sentent soudainement pousser les ailes d’un républicanisme jacobin, à cette infime minorité qui truste l’espace médiatique névrosé tout en poussant des cris d’orfraie à chaque fois qu’on contredit leurs certitudes, nous disons simplement :
Votre antiracisme est un racisme, puisqu’il revient à nous imposer la manière dont nous devrions vivre et les mots que nous devrions choisir pour nous exprimer, juste par notre différence.
Votre féminisme est un sexisme, puisqu’il aboutit à dicter aux femmes ce qu’elles devraient ou non porter, tout en confisquant la parole des premières intéressées.
Votre progressisme est une régression, puisqu’il valide le passage de nouvelles lois qui, en son nom, viennent restreindre toujours plus les droits et les libertés de chacun-e.
Votre liberté d’expression est une censure, puisque asymétrique, elle vous permet d’insulter les autres tout en leur interdisant de vous répondre.
Fuyez donc les miroirs, vous risqueriez de vous y voir.
Quand des ministres s’érigent en défenseur des droits tout en convoquant, comme l’a fait Mme Rossignol, la mémoire de l’esclavage pour mieux ostraciser les Noir-e-s et les femmes musulmanes, sans qu’aucun responsable politique de premier plan ne la condamne mais plutôt la défende, on prend la mesure de l’ancrage raciste dans notre société. ??Quand un premier ministre en exercice se sert, une fois de plus, des femmes musulmanes comme bouc émissaire de ses échecs, couvrant le trou béant du chômage et les échecs de l’anti-terrorisme par des déclarations toujours plus abjectes, on a envie de lui rappeler que le premier « asservissement » que les premières intéressées dénoncent est celui de leur exclusion de l’éducation et du travail, auquel Manuel Valls a si ardemment participé.
Et lorsque le directeur d’un journal dit de Gauche, comme Laurent Joffrin, prend la plume pour donner des leçons sur la manière de bien lutter contre un racisme qu’il n’a lui-même jamais vécu, en s’arrogeant le droit de dicter qui sont les bons et les mauvais, on serait presque tentés de rire si la situation n’était pas si grave, pour finalement lui dire :
Promis, à la minute où on aura besoin de la permission de qui que ce soit pour savoir comment lutter contre les problèmes qui NOUS affectent, on vous fera signe. D’ici là, vous pouvez prendre un ticket et rejoindre la chorale de ceux qui, dans leur long sanglot, pleurent un antiracisme jusque là garant de leurs privilèges.
De la même manière, si on a besoin de conseils sémantiques pour savoir comment qualifier la négrophobie, l’islamophobie ou le racisme dont NOUS sommes la cible, nous saurons que nous pouvons compter sur des experts en linguistique sélective qui ont a cœur de préserver la pureté et la conformité d’une langue qui, républicaine ironie, est la nôtre tout autant que la leur.
D’ici là, nous continuerons notre travail.
Nous continuerons à dénoncer le racisme là où il se trouve, comme un système et non un accident, sans hésiter à parler de la responsabilité de l’État dans son institutionnalisation, au travers des discriminations, des pratiques policières abusives ou encore de l’accès aux services publics.
Nous continuerons à nous organiser en toute indépendance et à choisir nos mots, nos moyens, nos causes, nos stratégies autonomes pour préserver nos droits à tou-te-s.
Et si votre dernière défense est de nous accuser de communautarisme, quand vous avez été le groupe de reproduction sociologique des élites le plus stable de notre histoire, c’est que vous ne concevez d’égalité que soumise à vous :
Quand vous dites « nous », c’est à vous seuls que vous songez. ?Quand nous disons « je », c’est à nous tou-te-s que nous pensons. Comme vos discours, votre universalisme est en perpétuelle rotation, autour de votre nombril.
Nous sommes libres, comme des êtres humains dans toute leur dignité.
Et si cela vous pose problème, c’est qu’il vous faudra apprendre à vivre avec vous-mêmes, de vos indignations sélectives à votre égalité incantatoire, de votre vision civilisatrice et raciste à votre cécité lorsqu’il s’agit de faire face à vos propres biais et mécanismes d’exclusion. Atteints d’une fracture de l’œil à la vue d’un foulard ou d’une femme noire s’exprimant librement, menacés par une barbe ou un turban troublant votre aseptisé paysage, traumatisés par la mémoire d’un pain au chocolat arraché à votre enfance, vous pourrez trouver une oreille attentive et réconfortante auprès de ceux qui pensent comme vous. Si seuls, vous pourrez vous tenir chaud et évoquer les souvenirs d’antan… vestiges révolus d’un temps où vous pouviez encore nous dominer.
Mais comme nous ne vous ressemblons pas, nous n’avons pas de revanche à prendre ni de souffrance à projeter sur les autres. C’est pourquoi notre lutte sera toujours et uniquement celle de la justice et de la dignité, pour tou-te-s. Accrochez-vous bien.
Sihame Assbague, activiste et journaliste par obligation
Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des Indigènes de la République
Ismahane Chouder, membre du Collectif des Féministes Pour l’Égalité
Nabil Ennasri, essayiste et président du Collectif des Musulmans de France
Amadou Ka, président des Indivisibles
Leyla Larbi, membre du Labo Décolonial
Marwan Muhammad, directeur exécutif du Collectif Contre l’Islamophobie en France
Fania Noël, militante afroféministe
C’est sûr qu’ils vont éradiquer le racisme avec leur “nous et vous” … on appelle ça l’ethnodifférencialisme, c’est le dada de la Nouvelle droite…
Les universitaires ne savent plus quoi faire pour se faire remarquer .. Lordon qui joue la super star à la Nuit debout, et cette bande de condescendants racistes qui passent leur temps à écrire des tribunes et à étaler leur connerie sur des plateaux télés, à parler des banlieues alors que la majorité d’entre eux vivent dans des beaux appartements bourgeois dans des quartiers bobos, et ont des postes que n’importe quel prolo (peu importe la pigmentation de sa peau) envierait. Mais ils n’ont pas honte en plus de ça, ils n’ont pas honte de parler à la place des autres. Mais qui sont-ils pour se permettre d’accaparer une parole qui n’est pas la leur, qui sont-ils ces bourgeois pour parler des problèmes que vivent ceux qui n’ont pas leur statut social de privilégiés ??
La réponse suprémaciste est tellement caricaturale qu’on pourrait juste déplacer quelques termes pour démontrer leur racisme avant-gardiste :
« cette bande de condescendants racistes qui passent leur temps à écrire des tribunes et à étaler leur connerie sur les médias alter, à parler des banlieues alors que la majorité d’entre eux vivent dans des quartiers bobos, et ont des statuts sociaux que n’importe quel prolo (peu importe la pigmentation de sa peau) envierait. Mais ils n’ont pas honte en plus de ça, ils n’ont pas honte DE PARLER À LA PLACE DES AUTRES. Mais qui sont-ils pour se permettre d’accaparer une parole qui n’est pas la leur, qui sont-ils ces pseudo-révolutionnaires pour parler des problèmes que vivent ceux qui n’ont pas leur statut social de privilégiés non racialisés ? »
Mais en fait la réponse est déjà dans le texte, qu’ils n’ont évidemment pas lu, comme d’habitude.
« Et si cela vous pose problème, c’est qu’il vous faudra apprendre à vivre avec vous-mêmes, de vos indignations sélectives à votre égalité incantatoire, de votre vision civilisatrice et raciste à votre cécité lorsqu’il s’agit de faire face à vos propres biais et mécanismes d’exclusion. Atteints d’une fracture de l’œil à la vue d’un foulard ou d’une femme noire s’exprimant librement, menacés par une barbe ou un turban troublant votre aseptisé paysage, traumatisés par la mémoire d’un pain au chocolat arraché à votre enfance, vous pourrez trouver une oreille attentive et réconfortante auprès de ceux qui pensent comme vous. Si seuls, vous pourrez vous tenir chaud et évoquer les souvenirs d’antan… vestiges révolus d’un temps où vous pouviez encore nous dominer.
Mais comme nous ne vous ressemblons pas, nous n’avons pas de revanche à prendre ni de souffrance à projeter sur les autres. C’est pourquoi notre lutte sera toujours et uniquement celle de la justice et de la dignité, pour tou-te-s. Accrochez-vous bien. »
Et, comme d’habitude, seul-e-s les racialisé-e-s sont l’objet de vos indignations sélectives, toujours rien sur les récupérateurs de votre bord, les Finkielkraut, Onfray, Joffrin, Fourest, Coleman ou Guillon…
Comment voulez-vous que des gens honnêtes vous prennent au sérieux ?
Dans le cadre du processus de #LiberAction visant à corriger les erreurs factuelles, les déformations et insinuations douteuses du dernier dossier « antiracisme » de Libération, nous avons décidé de réécrire tous les articles. L’édito de Laurent Joffrin ( http://www.liberation.fr/france/2016/04/03/piege-grossier_1443734 ), paru dans le dossier du 4 avril 2016, a ici été retravaillé.
L’exercice de style consistant à garder la structure et la ligne directrice du premier article, le choix a simplement été fait d’inverser le paradigme. Nous laissons aux frères et sœurs de lutte le soin de déconstruire le communautarisme blanc de l’éditorialiste dont le billet a clairement démontré qu’il défendait « les siens ».
Voir :
http://contre-attaques.org/magazine/article/piege-grossier
cet article est sous copyright de contreattaque(s) (©Contre-attaque(s) 2015-2016) – http://contre-attaques.org/magazine/article/tribune
Quizz :
laquelle / lequel/lesquel-le-s de ces signataires est/sont membre(s) d’un mouvement islamiste réactionnaire ?
laquelle / lequel/lesquel-le-s a/ont participé aux “manifs pour tous” avec les homophobes, les racistes, les royalistes, les sexistes et autres fachos d’extrême droite ?
laquelle / lequel/lesquel-le-s sont mal placé-e-s pour donner leur avis ici ?
attention plusieurs réponses possibles
Rafik Chekkat :
« En surinvestissant l’histoire coloniale tout en se désintéressant du sort des pays anciennement colonisés, “Les Blancs, les Juifs et nous” montre les limites du projet « décolonial » proposé par le PIR. Un projet dans lequel l’histoire coloniale ne semble être mobilisée qu’aux fins de tirer quelques maigres avantages (symboliques, en termes de visibilité médiatique, de carrières politiques, etc[9].) au profit d’une élite intellectuelle « indigène ».
En se limitant à un discours de principe, le PIR ( Parti des Indigènes de la République ) peine ainsi à articuler un programme idéologique à long terme. »
La garde rapprochée des Joffrin, Onfray, Finkielkraut et autres communautaristes blancs s’est déployée comme d’habitude pour défendre ses valeurs, mais surtout pour essayer de faire supprimer les commentaires ou mettre en modération a priori, ce qui revient à peu près au même. Ça a marché quelques fois, mais peut-être pas à tous les coups.
Il me semble que l’article est explicite et dit bien ce qu’il veut dire sans qu’on fasse semblant de ne pas l’avoir lu et qu’on réponde à côté. C’est bel et bien le contenu qui dérange, et c’est grave dans un média alter. Où s’arrêtera la chasse aux soi-disant racialistes, mais en réalité racialisé-e-s ? Aux Nubiens ?
Association des Nubiens de France : la mobilisation continue après une expulsion jugée arbitraire :
« L’Association Nubienne en France existe depuis 1986. Elle s’est installée dans notre ville en 2004. C’est la seule association de la diaspora Nubienne en France. Ils proposent des activités culturelles autour de l’Histoire millénaire de la Nubie ouvertes à tous sur la ville. En mars 2014, l’ancien maire de la ville leur accorde un local ; malgré l’état délabré de ce local, les Nubiens l’acceptent et prennent en charge les 50 000 euros de travaux nécessaires. En septembre 2014, un groupuscule habitant le quartier, qui anime un blog islamophobe, demande au nouveau maire socialiste de la ville d’expulser l’association nubienne pour récupérer le local…local qui n’avait jamais intéressé personne jusque-là. Ce groupuscule souhaite s’y installer à la place des Nubiens pour, prétendent-ils, faire une « maison de quartier ». Pour obtenir l’expulsion de l’association nubienne, ils vont entretenir les amalgames et monter une campagne islamophobe contre les Nubiens. Ils vont les accuser du classique « communautarisme », de « mouvement politique islamiste », et tous les arguments habituels utilisés par un groupe qui n’est lui composé que des classes moyennes blanches typiques de la petite périphérie de Paris. L’objectif réel est de gentrifier ce quartier pavillonnaire où est situé le local des Nubiens en orchestrant une campagne sur le danger « islamiste ». Qu’à cela ne tienne, le Maire de la ville s’est exécuté et il a attaqué l’association en justice pour l’expulser ! »
Voir l’article :
http://contre-attaques.org/magazine/article/association
Il va falloir créer une rubrique « Lu ailleurs » sur Indymedia qui permettrait à des personnes particulièrement pauvres en inspiration d’envoyer leurs articles et commentaires sur plusieurs Indymedia à la fois en échappant à leur propre copyright :-))))
Mais, sur le même sujet, on peut trouver « ailleurs » des analyses totalement différentes :
http://www.ujfp.org/spip.php?article4779
http://la-feuille-de-chou.fr/archives/86842
http://indigenes-republique.fr/les-blancs-les-juifs-et-nous-vers-une-politique-de-lamour-revolutionnaire/
http://lelieudit.com/Rencontre-avec-Houria-Bouteldja-en-presence-de-son-editeur-Eric-Hazan-autour-de
– Les racialisé-e-s sont les seul-e-s à décider de leurs luttes, sans professionnels autoproclamés pour leur dicter leur conduite.
– L’antiracisme d’Etat, repris par certains gauchistes, est un obstacle à l’antiracisme.
– Nous n’avons que faire des modèles occidentaux, des modèles autoritaires dont on a vu dans quel état ils ont réduit le monde dans lequel on vit.
– Personne n’a le droit d’imposer les modes vestimentaires, culturelles, alimentaires occidentales à qui que ce soit, ni imposer un féminisme à la Fourest à des femmes que vous considérez comme inférieures et incapables d’avoir le moindre choix.
– Si vous n’avez RIEN à dire sur le scandale que représentent les déclarations des Finkielkraut, Onfray, Rossignol, Joffrin, Guénolé ou Fourest, AU MOINS ayez la décence de vous TAIRE AUSSI sur celles et ceux qui mènent une lutte antiraciste que vous avez abandonnée depuis longtemps.
Les racialisé-e-s sont divers-e-s politiquement dans leurs luttes, sans leaders ou parti autoproclamés pour récupérer leurs vies. Ce coup de force est particulièrement insupportable …
– L’antiracisme racialiste des gauchistes, est un obstacle à l’antiracisme mais plus encore à l’émancipation humaines.
– Nous n’avons que faire des modèles autoritaires dont on a vu dans quel état ils ont réduit le monde dans lequel on vit. Nique les autoritaires même musulman-e-s ou racisé-e-s !
– Personne n’a le droit d’imposer les modes vestimentaires, culturelles, alimentaires, sexuelles occidentales ou orientales ou septentrionales à qui que ce soit, ni imposer un féminisme religieux communautariste à des femmes que vous considérez comme traîtresse à leur “race” (lire les articles sur le site du PIR). Personne n’a le droit d’insulter les femmes non voilées de “mauvaise-musulmanes”.
– Si vous n’avez RIEN à dire sur le scandale que représentent les déclarations homophobes, sexiste, religieuse ou antimétissage du PIR et des autres identitaires communautariste : Fermez là et retournez sur les plateau de télé …
-Du coté de l’intersectionnalité
– Nique les moralistes autoritaires
On comprend pourquoi votre unique rôle consiste à empêcher les personnes que vous calomniez de s’exprimer, par des spams ou le pourrissement des commentaires.
Quand elles le font, vous n’avez strictement rien à répondre. Vous n’arrivez pas tout le temps à exercer votre censure :
https://nantes.indymedia.org/articles/34134
https://nantes.indymedia.org/articles/34095
https://nantes.indymedia.org/articles/33987
https://nantes.indymedia.org/articles/33962
https://nantes.indymedia.org/articles/33936
Les réponses aux calomnies sont là, bonne lecture !
Bien bien bien, une fois de plus après 2 ou 3 commentaires réellement liés à l’article ça part en mode “je te colle un lien vers mon article qui a tout compris” (note: faire un lien vers un article n’est pas une entorse au copyright, c’est vraiment tout naze comme argument)
Bref entre radotage et trollage vous squattez une fois de plus notre temps, non que cette lutte ne soit pas importante, MAIS ELLE NE L’EST PAS PLUS QUE D’AUTRES!
Bref la suite des commentaires passe en modération à priori, ce qui n’a rien à voir avec la censure, vous pouvez continuer à débattre, juste ça va vous forcer à prendre votre temps plutôt que faire que de la réaction d’automates (et curieusement, dans ces cas là, ça commente plus beaucoup, étonnant non comme le temps permet de relativiser !)