Stratégie du chaos : quand les partisans de collon sèment le brun dans la cgt
Catégorie : Global
Thèmes : AntifascismeLogement/squatRacisme
Le propos de Michel Collon est classique, classique d’une certaine extrême-droite, qui s’est illustrée ces dernières années dans la défense des dictatures ou le soutien à la liberté d’expression des négationnistes, sous couvert de rébellion contre « la pensée unique » ou d’ « anti-impérialisme ». Collon s’auto-proclame journaliste, mais a surtout joué ces derniers temps les supplétifs des propagandistes du régime d’Assad ou de Kadhafi. On l’a trouvé dans des manifs prétendûment anti-guerre, aux côtés de négationnistes notoires
Voir ici :
michelcollon.info/Anti-guerre-manif-a-Paris-petition.html
comme les membres de l’association Entre La Plume et l’Enclume.
Evidemment nous avons été quelques-uns à tomber des nues et à chercher pendant plusieurs semaines comment la promotion d’un auteur tel que Collon avait pu se retrouver dans un journal syndical diffusé à des dizaines de milliers d’exemplaires.
La réponse est venue dans un compte-rendu de la dernière Commission exécutive de la Fédé en question, où l’on trouve l’intervention suivante de Christian Mathorel, responsable CGT à France Telecom, intervention qui n’a manifestement donné lieu à aucune réaction.
« Sur la guerre au Mali, je partage ce qui a été dit et je pense que l’on a besoin d’un éclairage pour nous et pour les salariés sur la réalité de la situation.
Il y a par exemple un livre que l’on a proposé dans le journal fédéral du mois dernier qu’il faut absolument que vous lisiez et qui peut aider à comprendre ce qui se passe. C’est « la stratégie du chaos » de Michel Collon (qui anime également un site internet très instructif « investig action ») et qui explique toute l’histoire et l’actualité de l’impérialisme, sa stratégie et sa logique au moyen Orient et en Afrique, le renforcement des tensions et des enjeux avec l’arrivée dans le jeu des acteurs (USA, France, Grande Bretagne) de La Chine….. Je pense qu’il faut lire ce livre qui commence d’ailleurs par : « Ce n’est pas à la télé que vous aurez les vrais informations qui vous permettrons de vous faire votre propre idée sur ce qui se passe réellement au Moyen Orient et en Afrique ».
Si la promotion du livre de Collon dans le journal de la Fédération est sans doute l’initiative donnant le plus large écho à un « homme passerelle » entre l’extrême-gauche et l’extrême-droite, la CGT en a connu d’autres. Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque était ainsi syndiqué de la Filpac, la Fédération du livre, jusqu’à son exclusion en juin 2011, soit plusieurs années après la dérive fasciste de Riposte Laïque, et même plus d’un an après sa participation officielle à l’Apéro Saucisson Pinard avec des organisations violentes d’extrême-droite comme le Bloc Identitaire.
La réaction de la direction de la CGT à l’époque aura été si lente que Pierre Cassen, aura pu, en janvier 2011, en mettant en avant son propre statut de militant de la CGT, donner la parole à Fabien Engelmann, secrétaire d’un syndicat d’employés de la fonction publique territoriale, candidat du FN et finalement exclu par sa fédération syndicale.
Faudra-t-il attendre que les militants diffusant la propagande de Collon au sein de leur syndicat s’affilient nommément à un parti fasciste pour que la CGT réagisse ? Faire la promotion d’un auteur qui défend Dieudonné, qui a participé avec des fascistes notoires comme Meyssan à l’Axis for Peace, qui a co-signé un livre (Israël , parlons-en) avec le biographe hagiographe de Faurisson , Paul-Eric Blanrue ne suffit-il pas ?
En tout cas, Christian Mathoret, figure médiatisée de la CGT du secteur Telecoms et candidat à la commission exécutive confédérale au prochain congrès de Toulouse, n’est pas le premier à mettre Michel Collon en avant.
On trouve des liens vers le blog de Michel Collon sur le site de l’Union syndicale de l’intérim, celui de l’UL de Tourcoing. Plusieurs UL du Pas de Calais invitaient fin 2011 à une conférence de Michel Collon à Isbergues, on trouve des reprises de texte de Michel Collon sur le site du syndicat CGT de l’Hôpital de Vienne ou de la CGT Randstad…
On trouve des militants CGT partageant ouvertement les positions de Michel Collon, c’est par exemple le cas de Jacques Lacaze, secrétaire de l’UL de Liévin, ex PCF et PRCF
Voir ici
jacques.tourtaux.over-blog.com.over-blog.com/article-jacques-lacaze-secretaire-de-l-union-locale-cgt-de-lievin-62-se-desolidarise-et-condamne-la-decla-99110190.html
Comment est-il possible que dans une confédération comme la CGT le journal officiel d’une fédération ou le site internet d’une union locale fasse la pub de ce type d’ouvrages ? Poser cette question revient à s’interroger sur les pratiques syndicales et les analyses qui les sous-tendent. Nul doute que des salariés, et parmi eux de nombreux syndiqués, trouveront matière à travailler aux réponses de manière plus précise et concrète. Cela dit, nous pouvons risquer quelques pistes, sans nier la complexité des racines d’un tel phénomène ou l’existence de plusieurs niveaux ou réseaux d’explications.
Il y a d’abord la manière dont fonctionne la CGT et nombre de ses structures. Les décisions et informations restent très centralisées, en particulier dans les structures fédérales. Comme cette centralisation alourdit la charge de travail des dirigeants syndicaux, il y a une tendance à faire confiance sur certaines questions et tâches, souvent jugées moins importantes, à des militants sans forcément en savoir très long sur leurs convictions réelles, leurs pratiques, leurs engagements. Idem sur les candidatures à de hautes responsabilités : les délégués votent dans la majeure partie des cas pour des camarades dont ils ne connaissent rien ou pas grand-chose. On peut donc tomber sur le meilleur comme sur le pire. Les sites d’une union locale ou d’un syndicat ou sa page facebook d’ailleurs sont souvent animés par une seule personne, et personne d’autre n’a le temps ou ne voit l’importance d’une réflexion collective sur le contenu…
Bref, quelques militants bien formés et organisés en réseau n’auront guère de difficultés à imposer leurs thématiques et à faire la promotion d’une tendance politique ou d’une autre, surtout lorsqu’il s’agit du champ para-syndical, des questions sociétales ou internationales, que le salarié investi à fond sur les luttes de classe n’aura pas le temps de creuser. Et aujourd’hui, avec la montée en puissance d’une mouvance politique rouge-brune, il n’est au fond pas étonnant qu’une offensive de leur part touche la CGT.
Pourquoi ce discours rouge-brun passe ? On peut trouver des éléments de réponse dans la manière dont le fascisme est appréhendé par la CGT. Il est indéniable que la volonté existe de combattre l’extrême-droite, le racisme, les discriminations… Mais les impulsions données sont souvent très vagues, peu concrètes. Et autant la lutte contre le racisme, le sexisme et l’homophobie existe, du moins pour l’affichage de façade confédéral, autant la CGT est relativement muette sur l’antisémitisme, et peut publier dans son bimensuel un article sur Auschwitz sans écrire une seule fois les mots « Juifs » ou « antisémitisme »…
Sur l’histoire et la mémoire, du travail est fait, en particulier dans les instituts d’histoire sociale, mais les périodes peu glorieuses de la CGT ont tendance à ne pas être creusées. On met en avant la partie de la direction confédérale qui a résisté sous le régime de Vichy et l’Occupation, mais on se pose nettement moins la question de savoir comment un dirigeant CGT de premier plan est devenu Ministre du Travail de Pétain . On informe sur le 17 octobre 1961 ces dernières années (ce qui est une bonne chose), mais en passant plus que vite sur la faiblesse des réactions syndicales au lendemain de l’évènement. On trouve des responsables syndicaux démunis face à des militants faisant part d’opinions racistes, nationalistes, xénophobes ou antisémites… Ce n’est pas une généralité, ça dépend vraiment « sur qui on tombe », et de nombreux militants combattent au quotidien les manifestations du phénomène, mais souvent individuellement, sans vision d’ensemble ou sans pouvoir en débattre collectivement dans leurs structures.
La formation politique, autrefois bien souvent assurée, avec tous les défauts qu’on peut y trouver, par le PCF, est largement insuffisante aujourd’hui, pour ne pas dire parfois inexistante (manque de temps ou de moyens d’un côté, volonté de contrôle des bureaucraties à qui ça convient…). En conséquence, nombre d’infos et de débats n’atteignent pas l’ensemble des syndiqués ni mêmes des syndicats ou sections syndicales. Par ailleurs, la réflexion confédérale de la CGT (et la plupart des syndicats ne sont pas allés plus loin non plus) n’a porté que sur le FN, au moment de l’affaire Engelmann ou au moment d’élections politiques.
L’exclusion du leader de Riposte Laique est restée confidentielle et n’a été rendue publique par son syndicat qu’un an après, parce que Cassen se vantait (comme un syndicaliste de FO également militant de Riposte Laïque) d’avoir claqué la porte de lui-même. Et sur l’affaire Engelmann, l’analyse courante, c’est de voir ça comme un « noyautage » par le FN, donc comme la stratégie d’éléments extérieurs au syndicalisme, quant il s’agit au contraire du glissement de syndicalistes vers l’extrême-droite, glissement facilité par le nationalisme économique que portent une partie des dirigeants CGT (et de l’extrême-gauche en général) et par des visions et pratiques syndicales fréquemment en décalage avec les réalités sociales et économiques des dernières décennies.
Il existe donc des syndiqués de base tout comme des dirigeants qui adhèrent à des thèses d’extrême-droite. On le dit peu mais il n’y a pas que la section syndicale de Fabien Engelmann qui penchait ou penche toujours pour le FN.
De plus, il ne suffit pas d’afficher son opposition au FN ou aux fascistes en général, encore faut-il aussi combattre les idées de cette extrême-droite MEME quand elles n’émanent pas de ce qui est déjà étiqueté extrême-droite officielle.
Car des militants comme Collon savent bien utiliser les failles du corpus idéologique de la gauche et de l’extrême-gauche. Malheureusement, il suffit souvent de mettre en avant quelques concepts bien vus et jamais questionnés pour faire passer la pire propagande fasciste.
Ainsi, il suffit d’en appeler à l’ « anti-impérialisme » et à la lutte « contre les guerres occidentales », pour faire passer un appel à une manifestation où seront présents les soutiens des dictatures et des négationnistes. Or l’anti-impérialisme en France, depuis des années n’est le plus souvent que l’autre nom du soutien aux pires régimes autoritaires. Ainsi, il suffit de taper sur Israel et de se déclarer « antisioniste » pour avoir un succès fou chez les lecteurs de gauche avec un bouquin où l’on a va entre autres donner de la place à un Paul Eric Blanrue, hagiographe du négationniste Faurisson et par ailleurs lié à l’extrême-droite depuis sa prime jeunesse.Or l’ « antisionisme » en France depuis des années n’est que l’autre nom de l’antisémitisme, utilisé par des tendances politiques qui n’ont jamais aucun problème avec les autres nationalismes, bien au contraire
Ainsi il n’est pas très compliqué de faire passer les pires discours nationalistes et chauvins sous couvert de la défense de « nos » emplois et de « nos » entreprises face à la vilaine mondialisation. Ainsi, le corporatisme, au sens d’identité des intérêts du patronat et des salariés, se fraye un chemin au travers du discours sur les petites entreprises, où le patron « travaillerait » autant que ses employés et serait lui aussi victime des grosses entreprises.
L’égalité est une valeur progressiste de base, on le voit a contrario à la vigueur des mobilisations réactionnaires ou fascistes contre le mariage pour tous ou le droit de vote des étrangers. Mais l’égalité et la solidarité de classe sont une bataille exigeante au quotidien, et elle n’est pas toujours menée : des syndicats refusent l’adhésion de sous-traitants ou ignorent les précaires présents en nombre conséquent, depuis des années et de manière permanente dans l’entreprise. Les « blagues » ou lieux communs à fond raciste, antisémite, sexiste ou homophobe sont loin d’être relevés systématiquement.
Trop souvent, l’activité syndicale se résume à deux champs complètement séparés : d’un côté la défense des droits au quotidien, et l’activité de lutte de classe qui absorbe évidemment le temps et l’énergie de beaucoup de militants. De l’autre côté, l’activité d’ « élargissement » sur des questions de fond plus globales, qui se résume bien souvent au vote de motions de « soutien » à telle ou telle position politique sur tel ou tel sujet d’actualité, à l’investissement dans une publication syndicale ou dans telle association dépendant de l’organisation syndicale.
Bien souvent, ces activités là sont squattées par des militants politiques dont l’investissement dans la CGT est avant tout conçu comme un moyen d’influencer le syndicat dans le sens des positions spécifiques de leurs organisations. Ils utilisent tous les outils possibles à cet effet (sites internet, journaux, listes mails), puisqu’ils ont le temps de le faire, ces militants étant rarement investis en même temps sur le champ des luttes dans sa boite ou son quartier.
Les militants du PRCF et de toutes les autres petites boutiques par ailleurs liées aux fascistes comme Collon ou Jean Bricmont sont bien dans cette logique mûrie et réfléchie depuis de longues années. Ils savent au mieux profiter des moyens de la CGT.
Mais leur exclusion, nécessaire si l’on a un minimum de cohérence politique, ne suffira pas à régler le problème.
A un moment donné, c’est à chaque syndicaliste, à chaque structure de base de comprendre que des luttes comme l’antifascisme ou la solidarité internationale, sont des points d’appui très forts pour aller vers cette « transformation sociale » que revendique officiellement la CGT.
Mais l’antifascisme et la solidarité internationale ne se font pas, dans le syndicat, par des déclarations de principe, mais par des actions concrètes et des discours clairs qui permettent à chacun de se saisir des enjeux et qui n’offrent pas de prise aux idées fascistes.
Ainsi sur le Mali, rien n’interdit aux syndicats qui se sentent concernés d’agir concrètement notamment en soutenant la lutte des travailleurs sans papiers présents ici, en relayant les mouvements sociaux importants de ces derniers mois, notamment dans l’enseignement, ou en lançant des campagnes de pressions sur nos gouvernements pour obtenir que des fonds soient enfin débloqués pour faire barrage à la famine qui ravage le Sahel aussi gravement que les groupes intégristes.
Une dernière chose : nous savons d’emblée que des camarades nous reprocheront à la fois d’avoir mis ce débat sur la place publique et de rester anonymes.
Sur le premier point, les affaires Cassen et Engelmann et la manière dont elles ont été traitées nous a suffisamment instruits : nous savons bien qu’en vertu d’une certaine culture du consensus, jointe à la peur de « créer du conflit et d’affaiblir nos structures alors qu’il y a des priorités », la passivité reste malheureusement de rigueur tant qu’il n’y a pas le feu au lac, c’est à dire tant que les débats ne sortent pas du niveau interne.
Sur le second point, malheureusement, nous sommes aussi très réalistes sur le rapport de forces entre nous et la tendance rouge-brune au sein de la CGT : nous savons que nous nous attaquons à des militants organisés, avec des moyens de nuisance nombreux et bien installés dans la structure syndicale. Nous savons aussi que ces militants se moquent éperdument de la lutte des classes, du quotidien syndical et seront prêts à tout mettre en œuvre pour écraser les salariés syndiqués qui se mettent en face d’eux, sans évidemment tenir aucun compte de l’importance de leur activité de lutte quotidienne. Or nous ne sommes « que » cela, des militants syndicaux ayant fait le choix de rester des salariés comme les autres.
La CGT n’hésite pas à revendiquer les responsabilités particulières que lui confère sa place de 1ère organisation syndicale. Nous verrons comment elle les assume face à la montée de l’extrême-droite et à la contamination et la propagande en son sein d’idéologies fascistes.
Des salariés syndiqués CGT
http://operationpoulpe.blogspot.fr/2013/02/strategie-du….html
Les copiés/collés d’articles sous copyright ne sont pas publiés sur indymedia, même sous forme de commentaire.
Très complet :
http://paris.indymedia.org/spip.php?article12792
ben, non, Collon n’est pas d’extrême droite
Que certains ne l’aiment pas, c’est leur problème….
Mais oui, les militants CGT qui relaient Collon sont très très nombreux
Je revendique en faire partie, et même de ceux qui aident à organiser des conférences, telle celle de Lille où les « antifas » n’ont pas montré le bout de leur nez, après avoir essayé -virtuellement- de mettre le bordel
Tiens, au passage, une attaque en règle contre la CGT, au moment où les luttes sociales s’intensifient
certainement la mouvance habituelle : article11, indymédia Paris, Marie-jeanne Boutolleau / Ornella Guyet
ça parait quand les mouvements sociaux s’accélèrent, en parallèle avec l’offensive CF(d)T
Le hasard fait bien les choses…
à propos de signature, quand j’écris contre des positions de ma centrale syndicale (ça m’arrive régulièrement) , non seulement je signe, mais je le fais avec mon identité, pas avec un pseudo, et encore moins en prétendant être une « bande à moi tout seul »
qui ne savent même pas comment fonctionne la CGT…. ni ne savent un minimum de base sur le fédéralisme syndical
c’est assez cocasse, et des faux nez, à ne pas douter
Manifestement, ils ne connaissent rien de la CGT, n’ont même pas suivi le stage de base organisé par les unions locales….
Ni la conf’, ni une FD, ni UD, ni UL n’ont le pouvoir d’exclure un syndiqué
Seul le syndicat de base peut le faire, avec un certain formalisme….
C’est d’ailleurs pour cette raison statutaire que ni Pierre Cassen, ni Engelmann ne pouvaient être exclus par les structures
Dans le cas d’Engelmann, c’est le syndicat de base qui a été dissous….
A mourir de rire, pour qui connait un peu l’histoire de la CGT « On met en avant la partie de la direction confédérale qui a résisté sous le régime de Vichy et l’Occupation, mais on se pose nettement moins la question de savoir comment un dirigeant CGT de premier plan est devenu Ministre du Travail de Pétain »
C’est Belin, de l’ex CGT Jouheaux (la tendance qui approuvait la guerre 14/18), qui rejoindra d’ailleurs FO
On va tout de même pas « encenser » ceux qui sont partis à FO, financés par la CIA….
« Les sites d’une union locale ou d’un syndicat ou sa page facebook d’ailleurs sont souvent animés par une seule personne, et personne d’autre n’a le temps ou ne voit l’importance d’une réflexion collective sur le contenu… » là, on peut rire à nouveau ! comment sauraient-ils qui anime le site d’un syndicat ? ou de surcroit d’une Union Locale ?
Pour la gouverne de ces rigolos, c’est commission exécutive de l’UL…..
» Ce n’est pas une généralité, ça dépend vraiment « sur qui on tombe », et de nombreux militants combattent au quotidien les manifestations du phénomène, mais souvent individuellement, sans vision d’ensemble ou sans pouvoir en débattre collectivement dans leurs structures. »
de quoi rire, une fois de plus, vu le nombre de formations et/ou de débats sur ce sujet dans la CGT, à tout niveau….
« La formation politique, autrefois bien souvent assurée, avec tous les défauts qu’on peut y trouver, par le PCF » : ben non, la formation CGT a toujours été CGT….
» Par ailleurs, la réflexion confédérale de la CGT (et la plupart des syndicats ne sont pas allés plus loin non plus) n’a porté que sur le FN, au moment de l’affaire Engelmann ou au moment d’élections politiques. » ça, c’est savoureux, voila des « syndiqués » qui ne lisent ni « Le Peuple », ni la Vie Ouvrière, ni le magazine Ensemble !
« nationalisme économique que portent une partie des dirigeants CGT (et de l’extrême-gauche en général) et par des visions et pratiques syndicales fréquemment en décalage avec les réalités sociales et économiques des dernières décennies. » n’en jetez plus, ça devient hilarant ! c’est quoi les réalités ?
« Bien souvent, ces activités là sont squattées par des militants politiques dont l’investissement dans la CGT est avant tout conçu comme un moyen d’influencer le syndicat dans le sens des positions spécifiques de leurs organisations. Ils utilisent tous les outils possibles à cet effet (sites internet, journaux, listes mails), puisqu’ils ont le temps de le faire, ces militants étant rarement investis en même temps sur le champ des luttes dans sa boite ou son quartier. »
« Nous savons aussi que ces militants se moquent éperdument de la lutte des classes, du quotidien syndical et seront prêts à tout mettre en œuvre pour écraser les salariés syndiqués qui se mettent en face d’eux, sans évidemment tenir aucun compte de l’importance de leur activité de lutte quotidienne »
Bien tiens, il faudra dire ça aux camarades de l’UL de Liévin, des UL du béthunois, de Tourcoing, qu’ils ne sont pas dans les luttes
Bof…. bof…. bof…… mais oui, on est opposés aux guerres impérialistes : Libye, Syrie, Côte d’Ivoire; Mali, Iran…..
L’ancien titre a été changé quand des lecteurs ont fait remarquer à Billy Boxon que les « anarchistes » qui signaient les articles de calomnies et de délation n’avaient d’anarchiste que la signature qu’ils s’inventaient. C’est toujours la même bande qui signe tantôt « des anarchistes », « des anarchistes en colère », « des anarchistes antifascistes [sic] », « des syndicalistes CGT », etc., selon les besoins du moment et leur occasion de nuisance. Ce n’est pas Le Grand Soir qui « déteste les anars », c’est nos trolls qui détestent tout le monde et qui se collent des étiquettes anar, CGT, CNT… qui ne trompent plus personne. Si Luftmenschen, Non Fides ou Indy Paris étaient anars, ça se saurait, mais après tout il y en a bien qui trouvent que Val, Fourest ou Cohn-Bendit sont anars, alors tout est possible.
A leur manière ils complètent super bien l’info. L’un voit dans ce texte « une attaque en règle contre la CGT », l’autre « toujours la même bande qui signe tantôt » et blablabla et blablabla. C’est plus madame irma chez es soviets c’est carrément David Vincent les a vu.
Pas besoin d’examiner leur petit doigt, il suffit de regarder leur signature. « Des salariés syndiqués CGT » ha, ha ! Ça ne s’invente pas !
Des extraterrestres intelligents n’iraient pas s’en prendre à Collon, mais plutôt à ceux qui dominent le monde. C’est drôle comme les fier-à-bras qui veulent virer Collon (sans prendre beaucoup de risques) se retrouvent dans le service d’ordre pour protéger la raciste notoire Caroline Fourest contre ses contradicteurs.
http://nantes.indymedia.org/article/25118
Les envahisseurs doivent être morts de rire.
CAROLINE FOUREST ATTAQUE TOUS AZIMUTS : SOLIDARITÉ AVEC NORDINE SAÏDI
COMMUNIQUE DE PRESSE de Nordine Saïdi, porte-parole du parti belge ÉGALITÉ, inculpé à la suite d’une plainte de la journaliste Caroline Fourest et appel à soutien.
COMMUNIQUE DE PRESSE
« Caroline Fourest n’a visiblement pas digéré le chahut auquel elle a eu droit lors de sa visite le 7 février 2012 à l’ULB (Université Libre de Bruxelles). En effet, tout le monde aura entendu parler de l’affaire « Burqa bla bla » ; ce chahut s’est fait entendre jusque dans certains partis.
Une véritable chasse aux responsables du chahut s’est ouverte depuis. Pour Caroline Fourest, le professeur Souhail Chichah en porte la responsabilité académique parce qu’il était membre du personnel de l’ULB. Mais pour ce qui est de la responsabilité politique, elle revient, – toujours selon elle -, au parti ÉGALITÉ et à son porte-parole, Nordine Saïdi. Ce dernier a en effet participé de manière active à ce chahut, destiné à dénoncer les propos islamophobes de Madame Fourest. Suite à la « Burqa bla bla », Souhail Chicha a perdu son emploi à l’université. La vengeance se tourne maintenant contre Nordine Saïd.
Parce que le mur (public) de son profil Facebook a accueilli une vidéo intitulée « Breivik : le terroriste préféré de l’islamophobe Caroline Fourest »[1], diffusée à l’origine via YouTube, et dont il n’est absolument pas l’auteur, Nordine Saïdi a fait l’objet d’une plainte avec constitution de partie civile de la part de Caroline Fourest. Celle-ci a réussi à le faire inculper par le juge d’instruction Olivier Leroux pour calomnie et diffamation !
Considérant la plainte de Caroline Fourest comme une tentative d’intimidation à son égard, Nordine Saïdi s’en servira pour exposer à la justice pourquoi il considère Madame Fourest comme coutumière de propos islamophobes, tout en contestant être l’auteur ou le diffuseur de la vidéo incriminée.
L’avocat de Caroline Fourest sera Marc Uyttendaele. La défense de Nordine a été conférée à Maître Jean-Marie Dermagne, porte-parole du Syndicat des avocats pour la démocratie. […]
http://www.europalestine.com/spip.php?article8049
Il nous propose des lectures sous forme de liens Voyons voir … Outre Investig’action, de son vrai nom Michelcollon.info (sic) il y a surtout le Réseau Voltaire de Thierry Meyssan. Et ça si c’est pas du rouge brun, mon cul c’est du poulet.
http://contresubversion.files.wordpress.com/2011/09/syr…l.jpg
Y a aussi le site d’une autre obsédé du complot (Chossudovsky ) : Mondialisation.ca. Mais ça c’est presque accéssoire. Parce qu’on y trouve les mêmes auteurs que sur RV et chez Collon. On y trouve des rouges certes, quoique bien barrés, comme Lacroix-ritz, mais aussi du bien brun comme Louis d’Enghein rédacteur en chef d’info Syrie et dont le proprio n’est autre que le célèbre Chatillon (déjà sur la photo du dessus), ex-Gud mais toujoirs pote avec Dieudo et quelques autres
http://www.rue89.com/2012/07/29/syrie-quand-le-general-…34235
Excusez du peu !
je vous suggère d’en parler à Jacques Lacaze : m’est avis qu’il saura vous répondre
Ni le réseau voltaire, ni mondialisation ne sont ma tasse de thé, mais j’y lis parfois certains auteurs
Ceux qui ne me conviennent pas, je les ignore
J’en fais autant avec d’autres sites, par exemple celui de Coleman, ou ArticleXI
Mais je ne m’étonne pas de cette attaque contre la CGT, puisque c’était bien l’objet de l’article qui vient à point nommé….Allez, dans votre « combat », vous êtes bien accompagnés
Tiens, il semblerait que Ghislaine Dumesnil soit aussi de vos « amis »…. Je vous la laisse à vos combats communs
J’ai caché des commentaires : Indymedia n’est très certainement pas le lieu pour défendre des positions comme celle de Collon/Fourest/riposte laique et compagnie… Il y a les médias mainstream pour ça.
Je ne valide pas non plus les liens vers ces sites la (donc désolé pour le commentaire d’aide à modération).
Si ça continue je vais locker les commentaires vu la teneur du débat et des commentaires postés! Sérieusement l’auto-modération vous connaissez?! Ou il faut qu’on soit toujours derrière votre dos à vous rappeler qu’ici on publie pas n’importe quoi, on ne trolle pas, on réfléchit deux minutes avant de poster. C’est vraiment si compliqué?
… mais puisque on nous bassine avec un communiqué de la très louche Europalestine
http://nantes.indymedia.org/article/19592
au sujet dun événement qui, bien qu’ayant eu lieu en Belgique, est a priori sans rapport direct avec Collon et qui date en outre de plusieurs mois (pris comme un tout ça fait quand même beaucoup pour un complément d’info), il est peut-être bon de signaler ce texte de l’union des Progressistes Juifs de Belgique. On remarquera que sans provennir d’un média mainstream le son de cloche est quelque peu différent
http://www.upjb.be/spip.php?article377
NB : l’UPJB peut être considérée l’équivalent belge de l’UJFP
http://fr.wikipedia.org/wiki/Juifs_européens_pour_une_p…juste
Encore un commentaire pile dans le sujet. Les trolls continuent leur travail de sape. Si Indymedia n’est pas le lieu des querelles de clocher, alors il ne faut pas publier ce genre d’article. De même que Collon a son site pour exposer ses arguments, les inquisiteurs ont les leurs pour déverser leurs calomnies. On ne voit pas pourquoi dans un média indépendant et alter on serait obligé d’avoir une complaisance particulière pour des gens qui prétendent qu’il faut « supprimer la liberté d’expression ».
Il y a des sites spécialisés dans la dénonciation de Collon, Europalestine, Le Grand Soir, Bellaciao, l’UJFP, lmsi, mais ce n’est pas la vocation d’Indymedia, sauf à prouver que ce sont des sites fascistes, et il y a du boulot pour ça…
Le but de cette campagne contre la liberté d’expression (liberté bourgeoise ! ! ! !) est précisément de s’attaquer à certaines personnes non pas dans ces sites spécialisés, mais sur Indymedia, tout en les accusant de trollage s’ils ont l’impertinence d’y répondre.
Et cette limite c’est le réel. Vous l’avez trouvé où votre « supprimer la liberté d’expression » ? Sûrement pas ici ! Quant à LMSI et l’UJFP il.elle.s ne vous ont rien demandé. Donc vous pourvez les ranger avec Collon et le Grandsoir si ça vous chante, mais c’est pas sûr qu’il;elle.s s’y retrouvent
http://la-feuille-de-chou.fr/archives/38022
http://la-feuille-de-chou.fr/archives/21884
http://histoireetsociete.wordpress.com/2012/06/20/jai-h…rach/
http://histoireetsociete.wordpress.com/2013/01/25/a-pro…rach/
Une fois encore, le nombre de « commentaires » explose avec des trucs parfois incompréhensibles tellement vous réglez des comptes entre vous.
Doit-on vous rappeler que nous ne sommes pas dans vos têtes ? Que nous ne maitrisons pas tous les sujets ? Que nous ne sommes pas des ordinateurs et donc n’avons pas connaissance de la teneur de tous les liens que vous publiez ? Que vous n’êtes pas dans un bac à sable ?
Je recopie un commentaire laissé par la ailleurs et vous demande de le lire attentivement (et d’en profiter pour respirer calmement) :
« Si vous faites un passage par l’onglet « vie du collectif », il fourmille d’informations et de détails sur le fonctionnement, depuis la fondation d’indymedia à l’indépendence de chaque collectif et les principes d’unité qui relient l’ensemble.
Quand on rejoint l’équipe de modération d’indymedia, c’est ce qu’on regarde. Et la CHARTE, avant tout. On se base là dessus.
Indymedia nantes est un site d’open publishing fait pour permettre aux luttes émancipatrices de s’exprimer puisqu’elles n’ont guère de place ailleurs.
N’y sont pas bienvenus le racisme, le sexisme et tous les courant qui cherchent à dominer.
Et personna non gratta les trolls, bien sur.
Dans le cadre des articles, ce qui contreviennent à la charte (il faut y rajouter les copiés-collés de mainstream ou copyright, et quelques autres subtilités destinées à réguler des groupes qui sur-publient) sont simplement refusés. Inutile de crier à la censure, il n’y en a pas, ils restent visibles pour celles et ceux qui souhaitent se faire leur propre opinion.
Pour les commentaires, il est demandé qu’ils ne soient QUE des compléments d’information. Indymedia n’a pas pour vocation d’être un foirum. Mais l’équipe de modération intervient le moins possible, partant du principe que l’idéal est quand les contributeur-ice-s s’auto-gèrent.
Comme il n’est pas possible de pratiquer la même chose que pour les articles, les commentaires qui débordent sont rendus invisibles. Et tout ce qui troll, ou qui mène à une querelle de clocher, est considéré comme inaproprié. Il est tout a fait possible de ne pas être d’accord avec un article, une pensée, mais ça s’exprime, ça ne se gueule pas, c’est inutile d’être insultant, sarcastique…. Et un lien tout seul ne suffit pas à expliquer une pensée.
S’il y a des problemes avec les moderateur-ice-s, il faut en parler sur la liste de modération. Même si nous ne répondons pas toujours, nous lisons.
Voilà, en gros, le fonctionnement d’indymedia. Il est clair. Et simple en fait. Je rajouterai que si vous pouviez penser réflexion au lieu de réaction et explication au lieu de suspition, ça changerait pas mal la donne déjà, je crois.
En mettant les pieds ici pour publier ou commenter, on le sait. C’est donc sciemment qu’on le respecte ou non. Et c’est inutile de jouer avec. Certains groupes actuellement utilisent indymedia comme champ de bataille, pour se démonter entre eux ou pour démonter indymedia. C’est inutile.
Juste fatiguant pour tout le monde.
Mais on reste là et on lâche rien.
Cet outil doit rester ce pour quoi il a été fait. Si vous cherchez autre choses, il y a l’embaras du choix… ailleurs. «
Votre charte c’est pas d’intox, pas de fachos et pas de trolls. C’est tout con au boulot !
schlomo n’est pas l’UJFP….où les opinions sont loin d’être unanimes sur le sujet évoqué, si tant est qu’il soit évoqué ( aucun débat à ma connaissance, sauf entre quelques personnes dont j’étais)
Danielle n’engage qu’elle même : elle n’est ni à l’UJFP, ni n’écrit dans LMSI
Apparemment, on peut donner ici des ordres à la modération et c’est les autres qui sont censurés ! « Votre charte c’est pas d’intox, pas de fachos et pas de trolls. C’est tout con au boulot ! » C’est clair et net ! Qui sont ces gens qui décident qui est troll ou facho et qui fait de l’intox ? Et qui obtiennent le privilège de n’avoir pas à redouter la moindre réponse ?
Les citations dans le but de trollage sont donc de nouveau autorisées ? Mais apparemment pas pour tout le monde. Le summum de l’hypocrisie est atteint à 15:47.
Il faut être gonflé pour oser faire référence à la feuille de chou, à LMSI ou à l’UJFP quand on sait que TOUS sont ostracisés par les « anticonspis ». C’est pas moi qui l’invente :
http://paris.indymedia.org/spip.php?article12889
http://paris.indymedia.org/spip.php?article12886
http://paris.indymedia.org/spip.php?article12698
http://paris.indymedia.org/spip.php?article12888
Quant à Danielle Bleitrach, on peut se permettre de donner certains liens soigneusement choisis, mais pas d’autres, où elle dit bien pire que ce que Collon a jamais osé dire et qui l’a fait traiter d’antisémite par ceux-là mêmes qui l’instrumentalisent aujourd’hui ?
http://www.legrandsoir.info/Auschwitz-Gaza.html
http://www.legrandsoir.info/Il-faut-en-finir-avec-l-Eta….html
Si ce commentaire doit disparaître encore une fois, merci de donner au moins une explication.
Ceux qui s’intéressent à Danielle Bleitrach et à ce qu’elle écrit devraient se demander pourquoi elle a quitté « le grand soir ».
Maintenant, elle écrit sur ce blog : histoire et société, rubrique extrême droite
http://histoireetsociete.wordpress.com/category/extreme…oite/
Faire référence sans arrêt à ses anciens articles est méprisable. Chacun a le droit d’évoluer, même Chouard, de passer de la gauche à l’extrême droite, comme dieudo et autres, justement relevés par Bleitrach, ce qu’elle ne pouvait sans doute pas faire sur LGS
« Qui sont ces gens qui décident qui est troll ou facho et qui fait de l’intox ? »
Les gens du collectif de modération.
Super fastoche comme question. T’en as une autre ?
Fastoche comme question, c’est ceux qui parlent aussi au nom des antifascistes pour imposer leurs dogmes et leurs exclusions. Et occasionnellement à la place de Danielle Bleitrach en décidant quels sont ses articles qu’on peut publier et ceux qu’on doit cacher.
Cette dame a le droit de changer d’opinion, comme tout le monde, mais je ne vois pas bien comment à partir de désaccords avec certaines personnes on peut changer totalement d’idées politiques en même temps qu’on change de relations. Sinon, un engagement politique tient vraiment à peu de chose…
Ils étaient où les antifas soi-disant pourfendeurs de fascistes, quand les fascistes véritables paradaient en plein Paris, devant les caméras, protégés par les flics et lançant des appels à la haine ?
Ils étaient trop occupés à lancer leurs fatwas contre Collon et à entretenir la confusion sur leurs buts véritables : détourner l’attention des militants sur les vrais fachos pour la reporter sur leurs ennemis personnels. Pour ces individus, la LDJ est évidemment moins dangereuse que Michel Collon pour notre « démocratie ».
En cela, ils ne sont guère différents de ceux qui nous gouvernent. Les fachos et le pouvoir doivent être morts de rire, ils n’ont plus besoin de prendre de gants pour afficher leur complicité. La LDJ peut même se payer le luxe de se féliciter de son invitation à l’Assemblée nationale !
http://oumma.com/15808/extremistes-juifs-paradent-a-par…-yeux
http://oumma.com/15825/ldj-invitee-assemblee-nationale
C’est fou ce qu’un valet du pouvoir et de la pensée dominante comme Patrick Cohen peut avoir de points communs avec les chasseurs de sorcières.
La censure et l’exclusion sont les armes principales de ceux qui ne peuvent pas compter sur la moindre argumentation pour imposer leurs diktats.
Patrick Cohen à Frédéric Taddeï : « Vous donnez la parole à des cerveaux malades. »
http://lejournaldusiecle.com/2013/03/13/patrick-cohen-a…ades/
Réponse de Taddéi aux attaques de Patrick Cohen : « J’anime une émission du service public, si j’étais sur Fox News, je ferais comme vous, je déciderais que les gens qui nous regardent doivent entendre un certain son de cloche. » La comparaison entre cette chaîne américaine outrageusement conservatrice et France Inter, plutôt marquée à gauche, n’a pas beaucoup plu à l’animateur de la matinale. »