Ça n’a échappé à personne: le nucléaire montre encore son potentiel mortifère. Depuis ce week-end la centrale nucléaire Japonaise de Fukushima refile à la planète entière ses substances cancérigènes et ce malgré les appels rassurants des gouvernements de tous bords (tous unis dans la connerie nucléaire!) qui nous appellent à accepter de crever de notre cancer de la thyroïde sans ouvrir notre gueule.


Si aujourd’hui les médias et les nucléocrates ne cachent plus l’inquiétude que leur procure le monstre qu’ils ont crée c’est parce qu’ils sentent la situation leur échapper techniquement. Cette technique qu’on nous a si souvent loué comme infaillible et sans risque… Parce que maintenant ils auront du mal à nous faire croire qu’il y a que dans les états communistes dégénérés que ça peut arriver! Ici c’est le Japon, troisième puissance mondiale, au sommet des technologie de pointe, pays modèle de l’économie mondialisé qui est touché de plein fouet, par le nucléaire (civil cette fois, ça leur fait une belle jambe de savoir que c’était pas exprès).
Désormais c’est clair. Il ne s’agit pas d’un incident, mais bien d’une catastrophe de la même ampleur que Tchernobyl (et attendez c’est pas fini!).

S’opposer à ce qui se passe au Japon c’est s’opposer également à la politique française en matière d’énergie, les contrats juteux d’Areva dans le monde entier (ceux qui se font à coup de massacres et de pot de vins), l’aspect antidémocratique par essence de cette production d’énergie (on entend encore les « spécialistes » nous clamer qu’un referendum n’est pas possible, la population n’étant pas « formé »).

Pour le nucléaire, ici comme ailleurs, demain comme hier, pas d’échappatoire, pas d’alternative :

Arrêt immédiat!

Divers rassemblements par chez nous :

Nantes : dimanche 20 mars à 15h en face de la préfecture
Rennes : jeudi 17 mars à 18h place de la Mairie