Nous avons besoin des « extérieurs » que le nouveau comme l’ancien « président » désignent comme des « agresseur-euse-s ». La tentation est grande de chercher responsabilité et boucs émissaires à l’extérieur lorsque l’on est part du problème. C’est une tradition séculière qu’est la chasse aux déviances!

La répression et l’intimidation qui s’exerce au sein de l’université de Rennes comme dans chaque université fRançaise empêche les prises de paroles libres et sincères de ses « membres ». Les moyens de rétorsion sont connus et se masquent avec le temps sous les prétextes les plus diverses dont la sélection est la plus évidente. Vous, oui vous ! Vous pensez que les notes obtenues lors des examens d’université correspondent à l’intelligence des élèves ? Sortez la tête des illusions méritocratiques !

Qui d’autre pour parler librement lors des assemblée générales, qui pour s’opposer sans risquer de représailles ? Nous laissons aux naïf-ve-s les pétitions, et le système soit disant démocratique.

Rappelons que si depuis mai 1968 l’université et une putain bourgeoise; les vigiles sont assurément la tentative de nous remettre de force sur le trottoir de la société marchande …

Pour des universités de savoirs réellement ouvertes sur la cité et le monde, intégrées dans leurs environnements; accessibles à tous et toutes !