Un jeune homme vivant partiellement à Londres, et partiellement en Tchéquie, voudrait informer la communauté anglophone de la vie (et la mort) des squats français. Comme je ne peux pas être au courant de tout, et que je ne veux pas être seule à faire ça, je voudrais que tous ceux qui auraient des informations, des histoires à raconter, des photos, des films à faire connaître, à propos des squats français, me les transmettent.
Bien entendu sont les bienvenus aussi tous les documents qui concernent l’empiètement sur la « sphère publique », c’est- à- dire la réappropriation de la rue et du bruit.