Iran la contestation gagne les facs et les universitès
Catégorie : Global
Thèmes : Répression
Iran mouvement de contestations dans les facs et universités
Un mouvement de colére s’est emparé des Fac s et universités iranienne il est en train de grandir dans tout le pays, on signale également de nombreux mouvements de grèves spontanés dans les entreprises,
Vagues de graffitis et de tags contre le régime sans précédent dans tout le pays
Le graffiti le plus populaire qui est inscrit sur plein de murs a travers le contre le régime de Ahmadinejad et Khamenei est « nous devons finir la révolution de 1979 et chasser le Dictateur ».
Les étudiant(e)s montrent constamment leur opposition et leur résistance par des graffitis sur les murs de l’université. La plupart des bassidji sont occupés à repeindre ou à nettoyer les murs pour effacer les slogans qui s’en prennent au “leader suprême Khamenei”. S’en prendre à Khamenei s’est s’en prendre au régime lui-même. Et les slogans contre lui fleurissent sur les murs, les chaises, dans les cabines téléphoniques et ailleurs.
Les billets de banques servent aussi a véhiculer la contestation :
Les Iranien(nes) qui sont trés inventif(ves) pour véhiculer sur tout les supports possibles ne ratent pas une occasion de protester contre le régime fasciste des mollahs. Une manière très originale consiste à utiliser les billets de banque pour faire passer des slogans. Les autorités prises de court et de panique par l’ampleur du mouvement n’ont rien trouvé de mieux que demander à la population de … ne plus utiliser ces billets que les commerçants dans leur majorité ne refusent jamais
De nouvelles mobilisations sont prévues a travers tout le pays a la fin du mois d’octobre et le 4 novembre
Téhéran les vidéos de télésurveillance dans les facs ne font plus effets
Protestation étudiante à la branche centrale de l’université Azad de Téhéran le 20 octobre : “les caméras de vidéosurveillances ne font plus effet”.
http://www.youtube.com/watch?v=d3xESw4v-sc
Protestation étudiante à l’université de Téhéran le 19 octobre. Alors que des représentants du régime doivent prendre la parole, ils sont accueillis par le slogan “meurtriers dehors !” visait une fois de plus les miliciens et les assassins Bassij’s en civil
http://www.youtube.com/watch?v=mEkyu9nu3j4
Vidéos des protestations étudiantes à Karaj
Premières vidéos des protestations étudiantes du 20 octobre à l’Université Azad de la ville de Karaj (30 kilomètres à l’Ouest de Téhéran) :
http://www.youtube.com/watch?v=UT9-oDZM9g
http://www.youtube.com/watch?v=kFLHNQciJv8
A propos des protestations étudiantes à Karaj 20 10 2009 Dans un communiqué daté du 20 octobre 2009, l’Organisation de la Jeunesse Communiste rapporte qu’au moins 2.000 étudiants ont protesté le 20 octobre à l’université Azad de Karaj avec des slogans comme “les prisonniers politiques doivent être libérés”, “mort au dictateur” et “les étudiants emprisonnés doivent être libérés”. Cette protestation a eu lieu malgré la présence des brutes et des mercenaires libanais du Hezbollah, d’agents en civil des bassij’s et d’autres forces de répression du régime
Message reçu par mail d’étudiant(es).
Aujourd’hui, 20 octobre 2009, plus d’un millier d’étudiant(e)s de l’université Azad de Karaj se sont rassemblés et scandent des slogans contre le gouvernement, dont “gouvernement de coup d’Etat, démission, démission” et “mort au dictateur”. A l’université Azad de Téhéran par contre, le nombre important de bassidj a essayé d’empêcher tout rassemblement des étudiant(e)s.
http://www.youtube.com/watch?v=rNfP9OKW-98
http://www.youtube.com/watch?v=Qq3eQjqyBc
Les manifestations du 13 octobre un prémice a la nouvelle vague de protestations et de démos qui se préparent pour la fin Octobre et le 4 novembre
Une grande manifestation de plusieurs milliers de personnes a eue contre le régime le 13 octobre a Téhéran les étudiants protestaient contre la répression et l’arrivée de deux bus de miliciens dans la faculté. Dès qu’ils pouvaient en tenir un, ils le poussaient vers la sortie, les hommes du régime ont fini par partir.
http://www.youtube.com/watch?v=IBmaFNW_SdE
Le milicien Bassi’j qu’on aperçoit quelques seconde sur la vidéo est connu dans tout Téhéran pour sa violence sa cruauté
Des nouvelles de la répression et de la barbarie du régime qui continue de s’abattre sur tout le Pays
Un universitaire condamné à douze ans de prison :
Kitan Tajbakhsh, un universitaire américano-iranien arrêté en Iran après la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad, en juin, a été condamné à plus de 12 ans de prison, rapporte mardi l’agence de presse Irna. “Tout ce que je peux dire, c’est que (la peine) est supérieure à 12 ans”, a déclaré à l’agence l’avocat Houshang Azhari, ajoutant que son client ferait appel. L’universitaire, jugé aux côtés d’une centaine de prévenus dans le cadre des procès collectifs entamés en août, était poursuivi pour espionnage et atteinte à la sûreté de l’État. Arrêté une première fois pour espionnage en mai 2007, il a été relâché après quatre mois de détention. Les Etats-Unis ont demandé sa libération en juillet.
Deux mères dans les couloirs de la mort :
Deux mères, condamnées à mort, attendent leur exécution dans les couloirs de la mort de la République Islamique d’Iran.
L’ordre d’exécution de Mohabat Mahmoudi (en haut) a été confirmé. Mohabat, 37 ans, est une villageoise mère de cinq enfants. Elle est depuis neuf ans en prison, condamnée à mort pour avoir tué un homme qui avait tenté de la violer.
Akram Mahdavi (âgée de 34 ans, est la mère d’une fille. Elle a passée ces quatre dernières années en prison, condamnée à mort pour le meurtre de son mari, âgé de 50 ans de plus qu’elle, et qui la violentait et la battait voir son histoire
L’histoire d’Akram Mahdavi est une condamnation de la situation des femmes en Iran
De nombreuses personnes ont récemment entendu parler d’Akram Mahdavi qui passe les derniers moments de sa vie à la prison Evin en Iran. Sa fille est sous le choc et désespérée, tremblante, et espère que sa mère ne sera pas exécutée.
Qui est Akram et pourquoi le régime islamique veut-il l’exécuter le dimanche 11 octobre, un jour seulement après la journée mondiale contre la peine de mort ?
Akram est née en 1975 et lorsqu’elle n’avait que 13 ans, elle fut forcée d’épouser son cousin. Ce mariage d’où est né son seul enfant se termine par un divorce prononcé par son mari qui veut épouser une autre femme. Son second mariage a lieu avec un homme qui a 50 ans de plus qu’elle, déjà marié à deux femmes, et qui est extrêmement violent avec elle. Ces huit ans de mariage ne sont que des coups, des humiliations et des agressions à son encontre. Comme les autres femmes d’Iran, elle n’a pas le droit de demander le divorce et tout ce qu’elle peut faire c’est de continuer à subir une telle situation. Elle fait appel aux fonctionnaires concernés et au tribunal familial pour obtenir de l’aide à propos de sa situation matrimoniale, mais elle n’obtient que d’être “conseillée” d’être obéissante et soumise vis-à-vis de son mari. Malheureusement, dans un tel contexte de désespoir et de souffrance extrêmes, elle tue son mari âgé de 74 ans avec l’aide d’un jeune homme qu’elle a connu.
Le régime islamique d’Iran l’a accusée de meurtre et se prépare à l’exécuter avec Behnood Shojaii et quelques autres le dimanche 11 octobre. Cette exécution serait l’exécution d’une femme qui est la victime d’un régime misogyne, une femme qui a été poussée au meurtre de par sa situation.
Le Comité International contre les Exécutions appelle à agir pour mettre fin à la barbarie de la peine de mort en Iran et partout dans le monde. Nous demandons aux peuples du monde d’agir pour stopper l’exécution de la jeune Akram et de toute autre personne en Iran.
Comité International Contre les Exécutions, octobre 2009
Pour plus d’informations sur l’histoire d’Akram (en anglais).
http://www.savedelara.com/Akram+Mahdavi.html
D’autres bréves de la répression :
-Les forces de sécurité le 13 octobre ont abattu Mohammad Mohebbi un jeune de 19 ans dans la rue Zartocht de Téhéran.
Dans la province de Lorestan dans l’ouest de l’Iran, ils ont condamné à mort un prisonnier, Babakhan Lo’ipour.
-Dans la section 1 de la prison de Gohardacht, un jeune s’est suicidé à la suite des tortures et de pressions incessantes dont il faisait l’objet. Il s’agit de Reza Reza’i, âgé de 24 ans. Cela faisait quatre ans qu’il endurait un calvaire aux mains de ses bourreaux. Il ne lui restait que quelques mois à purger. Le régime avait exécuté son frère deux mois auparavant.
Majid Dari, étudiant à la faculté Alameh Tabataba’i de Téhéran est toujours incarcéré à la prison d’Evine, soumis à des pressions et des tortures. Il avait été interdit de faculté quelques temps avant l’élection présidentielle truquée et arrêté chez sa sœur à Ghazvine à l’ouest de Téhéran.
-Les étudiants de la faculté des sciences et de l’industrie de Téhéran font circuler une pétition exigeant le retour de leurs camarades interdits d’études.
Il s’agit notamment de Milad Ebrahimi, Ali Assadolahi, Sadjad Hosseini Fakhr, Sadjad Darvich, Pouya Charifi et Hamid-Reza Sahara’i.
-Le lundi, 19 octobre 2009 Le régime des mollahs a condamné cinq ouvriers de l’usine de canne à sucre Haft-tapeh dans la province de Khouzistan (sud-ouest) à un an de prison. Reza Rokhchan, membre du syndicat de l’usine a précisé que ces peines étaient en relation avec les protestations et les grèves menées en 2007. « Les ouvriers de Haft-Tapeh, sont obligés de subir depuis deux ans les préjudices de la mauvaise gestion de l’usine et leurs salaires sont toujours versés avec autant de retard. Il y a deux jours à peine, les ouvriers protestaient encore contre cette situation. »
Le parc Laleh de Téhéran point de rassemblement des mères de martyrs malgré la pression et les descentes musclée de Bassij’s
– La tradition en Iran veut que les « tulipes poussent arrosées du sang des jeunes du pays ». Aussi depuis le soulèvement de juin, chaque samedi, le parc accueille-t-il des cortèges de douleur et de protestation. Ce sont des mères de martyrs et de prisonniers politiques. Courageusement, elles tracent leur chemin de croix, parcourent leur calvaire. Chaque jour devant la prison d’Evin, puis le tribunal et tous les samedis, malgré les graves risques d’arrestation, les coups et les insultes, elles se retrouvent fois au Parc Laleh, où elles égrènent leur colère, leur espoir, leurs protestations.
Ce 17 octobre, elles y étaient plus de 200. Elles avaient allumées des bougies en mémoire de leurs enfants assassinés par les gardiens de la révolution et autres miliciens. Elles ont toutes observé une minute de silence, puis se sont mises à scander « Allah-o-Akbar » pour demander la libération des prisonniers politiques, et afficher leur moral d’acier en faisant un « V » de la victoire.
Très vite des jeunes et des passants sont venus grossir leur groupe, rejoints par des artistes.
Les agents en civil ont cherché une parade pour bloquer le mouvement. Ils n’ont rien trouvé d’autre que de prendre des films et des photos pour créer un climat de peur, promettant de convoquer les manifestants identifiés. Et puis pour finir, ils n’ont pu s’empêcher de tirer des gaz lacrymogène pour disperser le cortège.
Nouvelles « restructuration » des forces de répression du régime :
Iran : Les changements au sein du corps des gardiens de la « révolution islamique
Le mois d’octobre a vu des changements dans la structure et l’organigramme du corps des gardiens de la révolution (CGR) en Iran, abordés dans un article précédent. Nous allons ici nous attacher à cinq changements plus en profondeur intervenus depuis deux ans sur ordre de Khamenei, le guide suprême des mollahs.
1- Modification de la structure militaire et politique
Le premier changement a touché la structure militaire et politique du CGR dans chaque province qui a été dotée d’un corps indépendant. La capitale s’est vu attribuer un corps spécial, distinct de celui du secteur du Grand Téhéran. En tout, on dénombre 31 CGR provinciaux.
2 – Une cyber-armée avec la complicitè de Nokia et Siemens
Voulant réagir à une « attaque de l’étranger » qui cherche à instiguer une « révolution de velours » par les réseaux téléphoniques et internet, le régime a créé un « commandement de cyber défense des gardiens de la révolution » avec la complicité des sociétés Nokia et Siemens qui ont livré au régimes des logiciels des serveurs, des infrastructures et des moyens de filtrage énorme pour tenter de censurer le net iranien
-en 2007 ce service est chargé d’évaluer les délit organisé en termes de terrorisme, d’espionnage, économiques et sociaux sur la toile » en Iran comme dans le monde, en coopération avec la batterie d’organes de renseignement et de contrôle qui prolifèrent sous ce régime. L’existence de ce centre a été rendue publique le 19 mars 2009 avec l’annonce d’ «arrestations massives et exceptionnelles de membres du plus grand site de diffusion de corruption comme cadeau de Nouvel an (le 21 mars en Iran) ». L’Agence officielle Irna ajoutait le 8 octobre dernier que plusieurs « autres groupes qui portaient atteintes aux valeurs du système et diffusaient des idées et menaient des activités déviantes vis-à-vis de la révolution » ont été arrêtés et condamnés.
3- Impliquer la milice du Bassidj dans la lutte contre les nouvelles menaces
4- Charger le CGR de la sécurité du Golfe Persique et l’implanter dans le Golfe d’Aden.
Dès septembre 2008, le Golfe persique est entré dans le cadre des missions des forces navales du CGR. Le 17 septembre 2008, son commandant en chef l’amiral Safar déclarait, que le bilan de l’année précédente avait poussé l’état-major général des formes armées à confier aux forces navales la sécurité du détroit d’Hormouz et du nord du Golfe persique. Jusque là elles disposaient de 3 régions navales du Hormozgan, Bouchehr et Mahchar. Une quatrième base Sarolah à été créée à Ossoulieh pour un quatrième secteur qui surveille 350 km de frontières maritimes de l’île de Kish dans la province du Hormozgan jusqu’à Bouchehr. En septembre 2009, le commandant en chef du CGR, Ja’afari a déclaré que désormais « la principale zone d’action de la marine du CGR était le Golfe persique et le détroit d’Hormouz et pour lutter contre la piraterie, elle a dû étendre ses activités au golfe d’Aden. »
5- Les derniers changements
Le passage de la sous-direction du renseignement en « organisation du renseignement » ainsi que le changement de nom et de missions des forces aériennes en forces aérospatiales du CGR, qui s’occupent désormais des missiles balistiques, des fusées et des satellites
D’autres nouvelles de la courageuse lutte du peuple Iranien contre la dictute très bientôt
Solidaritè avec la lutte et la résistance du peuple Iranien
MARG BAR DIKTATOR
MARG BAR AHMADINEJAD
MARG BAR KHAMENEI
vite! on a libéré l’Irak , libérons pareil l’Iran
En tous cas c’est la meme campagne aujourd’hui contre l’Iran que hier avant l’invasion de l’Irak …. un génocide ne leur suffit pas … vite continuons
http://www.youtube.com/watch?v=diNO0in4m_M&feature=Play…ex=77
http://news.sky.com/skynews/Home/World-News/Sky-News-Re…f=rss
ET PLUS :
http://tunisitri.wordpress.com/2009/10/11/fallujah-lura…e-526
VOIR LES SITES RÉFÉRENCÉS A LA FIN DE L’ARTICLE mis en ligne ci-dessus (VIDEO)
comme tu semble obtus borné et bouchè on va te remettre ici ce qu’on t’avait déja dis sur indymedia suisse romande
« ça suffit … on sait qui vous etes et pour quel Netanyaou vous »
roulez
Vu comment tu eructe et tu parle on sait aussi pour qui tu roule on te rappelle juste que tu est ici sur un site indymedia et pas sur les sites et les forums de fachos ou tu doit dégueuler ta haine d’habitude
1: Ou a tu vu un seul commentaire et un seul propos sur cet article sur l’iran qui disait qu’il approuvait la présence de l’empire u.s en Irak
2: ou a tu vu dans cet article un seul mot approuvant la politique colonialiste israelienne en Palestine
3: on te rappellera juste que Rafsjandani le « guide supréme » de « ta révolution islamique » chérie s’engraisse depuis des années ( 1979 pour être précis) via la société nucléaire francaise Areva et que sa participation a 40 pour cent dans la gestion de a centrale nucléaire du Tricastin via une holding franco-iranienne nommée Eurodif
une petite collobaration de Rafsjandani avec la f-Rance qui lui rapporte lui est son clan la bagatelle de 400 millions d’euros annuels
Que l’un des ayatollahs les plus réactionaires d’iran celui de la ville de Mashed a accumulé une scandaleuse fortune en faisant des affaires avec… Halliburton présidée par qui Halliburton on te laisse deviner
4/ Pas un mot de ta part bien sur sur les massacres commis dans les années 1979-1980 par la « révolution islamique » au kurdistan iranien ( plus de 2000 morts )avec des armes achetées par Khomeini a…. israel; pas un mot de ta part sur les viols la torture les assassinats et les « disparitions » pratiquées contre les manifestant-es qui se battent depuis juin contre le régime; pas un mot de ta part sur les pendaisons de jeunes mineurs, de femmes « adultéres » et d’homosexuel-les par le régime FASCISTE de Ahmadinejad et Khamenei; Pas un mot de ta part bien sur contre les exactions des miliciens Bassij’s et les Pasdarans qui durent depuis 1979 en Iran
5: visiblement tu ne connait pas un seul mot de ce qui se passe en Iran et de qui tire les ficelles
Et comme le disent nos camarades iranien-nes dans toutes les manifs depuis Juin
MARG BAR DIKTATOR
ce qui veut dire en persan
MORT AU DICTATEUR
MARG BAR AHMADINEJAD
ce qui veut dire en persan
MORT A AHMADINEJAD
MARG BAR KHAMENEI
ce qui veut dire en persan
MORT A KHAMENEI
http://www.mediapart.fr/contenu/torture-made-usa-une-en…usive
AU SUIVANT :IRAN?
Et que tu semble c..n a manger du foin
comme je l’ai dis déja dis sur indy sr
ton lien ramene vers un site de m… crée par celui que le journal satirique francais le Plan B surnomme le téleachat moustachu
http://www.leplanb.org/
http://www.leplanb.org/Annuaire-de-la-corruption.html
allez le dictature fan club relis aussi la charte d’imc nantes avant de nous ressortir tes c…..ries
alias Edwy Pleinel ex suce micro de LCI chaine de soit disant « infos » sucursalle de TF1 appartenant a Bouygues le roi du béton français , grand pote de Sarkozy grand cons, Pleinel fut egalement Redac chef et un ex scribouillard pousse stylo du « monde » un journal on ne peut plus Bushiste
Pleinel qui a découvert que les yankees torturaient en Irak ca ne l’a jamais pourtant éffleuré d’exrire un seul article la dessus a lépoque ou il pantouflait au « monde »
dis donc le Ahmadinejad fan club tu devrait verifier tes sources et tes liens parce que plus neocons et bushiste que « mediapart » ( en plus leurs articles sont payant) a part le « monde » il n’y a pas
http://www.leplanb.org/Des-journalistes-mentent-aussi-s….html
Rue89, Mediapart, Nonfiction : les sites d’information en ligne fascinent les journalistes. Ils nous préparent une avalanche de faux scoops et de vraies connivences.
Fondateur du site Mediapart, qu’il destine à la « création d’une information contributive, d’excellence, de qualité, comme un club » (BFM, 4.12.07), Edwy Plenel eut l’occasion de mettre en œuvre sa conception du journalisme au cours d’un règne de dix ans à la tête de la rédaction du Monde : ce fut une procession de couvertures racoleuses et de faux scoops. Directeur adjoint de la rédaction de Libération en 2006, Pierre Haski usa de sa liberté pour propager de fausses rumeurs sur l’antisémitisme (imaginaire) du président vénézuélien Hugo Chávez (Libération, 9 et 20.1.06) avant de créer avec son collègue Pascal Riché le site Rue89. Par quel miracle l’un et l’autre réussiraient-ils à produire sur Internet ce qu’ils ne parvenaient pas à coucher sur papier journal : une information fiable et indépendante ?
Caresses publicitaires
Réponse : par la magie du copinage. Disposer d’une carte de presse et d’une longue liste de services rendus suffit à garantir au créateur d’un blog anorexique une promotion médiatique digne de BHL. « Nous nous sommes lancés le 1er octobre et notre dossier de presse a déjà fière allure », brame Frédéric Martel (Stratégies, 24.1.08). Signataire de la pétition en faveur du plan Juppé en 1995, ce godelureau mondain dirige Nonfiction, un site qui encense les livres balladuriens et réfléchit au meilleur moyen de faire parler de lui-même. Même Bakchich.info, héritier d’une presse alternative à la tonalité plus critique, vogue sur le flot d’articles louangeurs consacrés aux « mutants du Net » au motif qu’un ancien journaliste du Canard enchaîné, Nicolas Beau, anime une équipe renforcée d’anciens du Point (Vincent Nouzille et Laurent Léger) et du Monde (Philippe Labarde). Parce qu’ils sont issus de journaux installés, « leur information est respectée par les autres médias, elle est donc abondamment reprise », note Le Nouvel Économiste (10.1.08.) Le paradoxe est savoureux : ces sites d’informations doivent leur notoriété à une presse qu’ils entendent « révolutionner » tant elle serait nulle…
Tous le savent : la « révolution » passe par la case euros. Pour les accumuler, Rue89 cherche l’investisseur qui le rachètera et amadoue les publicitaires : « La Rue est à vendre », implore une vignette sur la page d’accueil du site. Pierre-Louis Rozynès, ex-rédacteur en chef ultra-connivent du magazine professionnel Livres hebdo, a fondé Desourcesure : « Le site espère monétiser son audience (400 000 visiteurs uniques en décembre) auprès des annonceurs à partir de 2008 » (Les Échos, 4-5.1.08). Bakchich a débusqué un mécène belge. Plenel a investi une fraction (550 000 euros) de ses plantureuses indemnités de licenciement et convaincu trois industriels de lui donner de l’or (Presse News, 3.1.08). Il compte boucler un budget de 4 millions d’euros grâce aux dispositions du paquet fiscal de Sarkozy, qui pourraient galvaniser les donateurs assujettis à l’ISF (lire Le Plan B n° 11, décembre 2007).
La valeur de l’indépendance
« On est des chercheurs de scoops », explique Riché. Et quels scoops ! Pour Noël, Rue89 offre l’analyse baroque de « l’érotique du pouvoir selon Sarkozy » par Philippe Corcuff. Lequel disserte sur la « belle phénoménologie de la caresse » du philosophe Lévinas, « plus proche de Cécilia que de Nicolas », tandis que l’écrivaine Yasmina Reza serait à coup sûr une « midinette heideggérienne » (Rue89.com, 23.12.07). L’information tomba à plat. Pour qu’ils retentissent, les scoops doivent exciter la curiosité des confrères. En révélant que Cécilia Sarkozy n’avait pas voté au second tour de l’élection présidentielle en 2007, Rue89 ne visait pas le prix Albert-Londres mais une quantité maximale de « reprises ». Telle était aussi l’ambition d’Edwy Plenel lorsque son site Mediapart annonça que le gouvernement s’apprêtait à vendre les antennes locales de France 3 à la presse régionale (mediapart.fr, 25 et 27.1.08). Comme nombre d’enquêtes moustachues diligentées par Plenel, celle-ci fit l’objet d’un démenti « catégorique » de l’Élysée. Depuis, Edwy se dit persécuté par le monde entier.
L’équipe de Mediapart se compose de plénelophiles chassés du Monde (François Bonnet, Laurent Mauduit, Erich Inciyan), d’exilés de Libération (Gérard Desportes, Sophie Dufau, David Dufresne), de débris de L’Équipe, de France soir, de 20 Minutes. Sans compter deux personnages de bande dessinée exfiltrés de l’hebdomadaire bobo Les Inrockuptibles, Jade Lindgaard et Sylvain Bourmeau (Laisse d’or de PLPL), chargés de mettre en musique les « logiques de niche, des logiques d’exigence, des logiques d’excellence, de services ajoutés, des logiques de club » exigées par leur nouveau patron (BFM, 4.12.07).
L’étonnant, avec Plenel, est qu’aucun de ses amis ne l’ait supplié, même à genoux, de renoncer au journalisme. Depuis son éviction du Monde, journal qu’il livra aux crocs de Lagardère et de Maurice Lévy, Edwy gémit sur les maux dont il a vénéré les causes. Il a édifié un groupe de presse avec les amis de Sarkozy ? Il dénonce « l’anormale situation de dépendance, économique et politique, de nos médias envers une oligarchie financière imbriquée à l’actuel pouvoir présidentiel » (message à Rue89, 14.12.07). « L’indépendance a de la valeur » (BFM, 4.12.07), pétarade le journaliste qui a relayé nombre de fax policiers. Mais, à peine la création du site Internet annoncée, Ségolène Royal demande par écrit à tous les adhérents de son club, Désirs d’avenir, de soutenir Mediapart « en [s’]abonnant. Merci de ce geste militant qui s’inscrit dans la logique de la démocratie participative. Ségolène . »
En matière d’indépendance, on pouvait imaginer meilleur départ. Comme l’un des fondateurs de Mediapart fut responsable de la campagne Internet de Royal, Edwy n’a qu’une idée : gratter le soutien de personnalités d’horizons divers. Bayrou, Goulard, mais aussi Besancenot et Bové ont obtempéré à la sommation, chacun expliquant dans une séquence vidéo « Pourquoi je soutiens ». Le témoignage de la psychanalyste Lydia Flem, fervente de Mediapart, a ému Le Plan B : « Alors voilà, moi je pense que c’est important d’être contemporain de son époque. La presse papier pose beaucoup de problèmes aujourd’hui, aussi parce qu’elle n’est pas sur un écran. »
Plenel en pleine forme
Coutumier d’accès de démence qui inquiètent ses créanciers mais nous le rendent sympathique, Edwy Plenel s’est à nouveau illustré sur France Culture (13.12.07). Il s’évertuait à y promouvoir Mediapart.fr. Or l’animateur Ali Baddou partage avec Plenel un don de bateleur d’estrade.Plenel : … S’abonner dès maintenant !Baddou : … Et s’abonner dès maintenant ! Abonnement et souscriptions ouverts, donc, au public. Ça coûte entre 5 et 9 euros ! Enhardi par ce prélude, Plenel dénonce à l’antenne « l’oligarchie financière » qui tient les médias et dont Alain Minc serait l’incarnation. L’animateur remarque que Plenel a travaillé dix ans main dans la main avec Minc. « Je n’ai pas travaillé avec lui !, hurle Plenel. Alain Minc, l’univers qu’il représente, a pour moi toujours été non pas un partenaire mais un adversaire potentiel qu’il fallait tenir en marge. »Monde« Alain Minc est devenu un ami, et je suis fier d’être son ami », ronronnait-il sur France 2 (6.3.03).Convaincu que chacun avait oublié cet épisode, Plenel détailla à Baddou les circonstances de son éviction du Monde : « Je savais bien que je faisais le bouclier pour tout le monde et y compris pour mes deux acolytes du moment [Minc et Colombani] », pleurnicha-t-il. Et soudain, le drame : « Le bouclier, je vais faire du Lacan, c’est un bouc lié. Le bouclier est devenu un bouc émissaire. Le bouc émissaire, c’est un bouc qu’on ne sacrifie pas, qu’on envoie dans le désert. Et s’il s’en sort, du désert, et s’il survit, c’est un bouc délié. Un bouc libéré. Eh bien voilà, c’est celui-là que vous avez devant vous aujourd’hui. » Stupeur dans le studio. Miséricordieux, Olivier Duhamel mit fin à ce grand moment de solitude : « J’ai pas bien saisi l’analyse du bouc libéré… » Quatre ans plus tôt, le directeur de la rédaction du tenait un discours un peu différent.