Les cassettes enregistrés de conversations entre les deux policiers et leur commissariat, tenues par le prosecuteur, prouvent que le meurtre était planifié, ordonné et exécuté. Il s’agit d’une sorte de crime qu’on a jamais eu l’occasion de traiter à fond devant la justice.
C’est un crime social, duquel les conséquences sont mesurés, planifiés, manipulés et exploités. Pour l’instant les violences continuent, ainsi que les attaques avec lacrymo, et autres armes chimiques. Les jeunes qui font leur service militaire ont reçus des balles en plastique et sont en alarme jaune. Avec des ordres de tiré sur le corps, si des manifestants approchent.
Korkoneas, issu d’une famille de militaires coopérateurs des Nazis, impliqués aux gangs criminels pendant la guerre civile, il faisait anciennement partie du nucleus à Kalamata, de l’organisation fasciste-naziste « Aube Dorée », qui est en train de violenter les manifestants et les civiles. Il detenait aussi des relations avec un mafieux de la grande région du Pirée.
Un effort de collectionner de l’évidence contre les organisations para-étatiques et les méthodes dictatorials et mafieuses des gouvernements grecs est faite. La lutte pour la démocratie et la transparence continue.