Les auteurs de cet infâme sabotage qui empêche les cadres préssés de pouvoir travailler en toute sérénité ne se sont pas révélés aux autorités, mais selon la police politique (comprenez la brigade anti-terroriste), il s’agirait une fois de plus des mêmes responsables qu’a chaque fois, la méthode étant la même: gouvernement et patronat qui, en libéralisant la SNCF, ont sabordé la qualité d’un service public-mais-pas-trop-quand-même (tous les publics ne sont pas bons à prendre).

L’enquête suit son cours, mais la brigade anti-tetrroriste a d’hors et déjà déclaré sa conclusion, selon les mots toujours si fins de son chef: “Ben on fera rien, c’est nos patrons”.

Affaire a suivre…