eudi 09 Novembre 2006
LE CLAN DE GEORGES BUSH JOUE A QUI PERD GAGNE!
LE CLAN DE GEORGES BUSH JOUE A QUI PERD GAGNE!

Voici un bel exemple dialectique du jeu en question ! Le clan du « boucher de Washingtown » véritable vainqueur des élections perdues au bénéfice apparent des Démocrates qui n’en voulaient pas!

Il fallait y aller, mais tous s’y ruèrent « à reculons »; chacun souhaitait la victoire de l’autre camp en prévision des prochaines présidentielles.

« …Où l’on voit le soldat puni parcequ’il sortait  » à reculons de la caserne » pour faire croire qu’il y entrait… »

En effet, les « Démocrates » n’entendaient pas gagner « prématurément » ces élections et se voir obligés de gérer aux côtés de l’administration Bush, en place pour deux années encore, les conséquences de la guerre en Irak et réveller ainsi la part réelle prise conjointement par ces deux olligarchies politiciennes dans l’orchestration d’un massacre programmé compromettant radicalement toutes les initiatives visant à la transformation du Monde et toutes les formes de résistance par la généralisation de conflits parcellaires éloignés des perspectives (qu’elles contenaient en filigrannes) d’affranchissement révolutionnaire de l’économie, des religions en les radicalisant jusqu’à l’extrême dangerosité, de la société marchande, des divisions artificielles entre les peuples sous-tendues par le principe sacro-saint: « DIVISER POUR REGNER! »
Les rapports « Est-Ouest », puis « Nord-Sud » conçus et forgés lors de la prétendue « Guerre froide » ont dans ce domaine constitué un excellent laboratoire de « domestication marchande généralisée » du monde au cours de laquelle « deux visions du Monde » semblaient s’affronter bien que l’une comme l’autre ne poursuivaient que des objectifs semblables spectaculairement contradictoires mais profondément unies et complémentaires: aucune d’elles n’aurait pu s’imposer sans le concours apporté par l’existence de son « pendant contradictoire » cyniquement affirmé.
De son côté, l’administration Bush ne pouvait courir le rique de continuer à assumer seule les conséquences planétaires d’un chaos dans lequel elle se trouve enlisée « seule » soit disant…
Il lui fallait mettre « au pied du mur », le « nez dans la merde » ses complices Démocrades  » dissimulés derrière les « joyeuses facéties » de  » l’alternance politique »:
plus c’est gros, plus ça passe!

Ces enfoirés, qui ne pouvaient alors cautionner l’envoi des troupes en Irak ou en Afghanistan dans la perspective de la reconquête tendentielle du pouvoir, ne peuvent aujourd’hui en préconiser le retrait sans contribuer à l’anéantissement des objectifs d’hégémonie américaine sur le monde au moyen d’une maitrise des conflits, réels ou virtuels, présents ou à venir.
Et, en l’espèce, les considérations budgétaires invoquées ici et là, douces élucubrations d’imbéciles aux ordres de tout ce qui bouge, (devrions nous dire: « de tout ce qui Bush? », ne représentent rien en regard des visées initiales incluant au delà du contrôle des peuples, la main mise sur les energies fossiles, gisements financiers à long terme, l’eau, l’air, qui sont autant de secteurs constituant LA MARCHANDISE ET LES NOUVELLES CHAINES de demain qui seront indisutablement les « nouveaux fers » dans lesquels seront tenues les générations nouvelles!
Compte tenu des nouvelles orientations politiques en Amérique du Sud, et les espoirs qu’elles font naître de par le monde qui les observe avec une « certaine distance critique » mais avec une « indulgence prudente », il convient à la Maison Blanche, quels qu’en soient les « locataires », de mettre les « bushées » doubles en prévision de…
Si l’échéance des prochaines présidentielles est de quelque importance pour l’administration actuelle, elle n’en constitue pas la vérité intrinqèque, tout au plus une question de « confort » qui se rejouera au tour suivant selon les regles de l’alternance; bien sûr le mieux serait de « durer encore un peu », mais c’est tout de même asseez relatif, l’essentiel étant encore et toujours de « couillonner » le plus grand nombre! le pire: c’est que ça marche, et à l’echelle planétaire!
Voila, les deux camps voulaient perdre ses élections (il suffit de voir avec quelle molesse et quelle surprenante absence de moyens ont été entreprises ses campagnes d’ordinaire plus agitées et plus financièrement équipées, mais il fallait bien un « gagnant malheureux » , ce sont les « Démocrades » qui s’y collent cette fois et compromettent ainsi leur ascension vers la « Maison Blanche »…
La suite à revoir au prochain tour!
Stephane Kerfanto pour:
http://nosotros.incontrolados.over-blog.com