Ce n’est pas la première fois que je m’aperçois que les avocat-e-s ont des relations bizarres avec la « justice », en particulier les procureurs et les juges, et après moults péripéties « judiciaires » où j’ai décrit par le détail les magouilles qui existaient dans le dos des prévenus et justiciables, me voilà confronté à une autre forme particulière de mise à l’index, par certains « collectifs » qui préfèrent rester naïfs et croire dans un système pourri jusqu’à la moelle. La vérité dérange, surtout quand elle peut s’afficher librement tant sur internet que sur les murs de la ville (à l’exemple du journal mural des vélorutionnaires toulousain-e-s), alors je remets à nouveau le couvert et les deux pieds dans le plat, quitte à déranger tant les ordures magistrales que leurs lèche-bottes spécialisés dans le racket de l’aide « juridictionnelle », autrement dit les baveux. L’article « Outreau ou pas assez » décrivait les magouilles dont peut être victime un prévenu (en l’occurence moi-même) : dissimulation des preuves, transformation de ces dernières, dissimulation du dossier d’accusation -tant du fait des soi-disant-e-s avocat-e-s que des autres fonctionnaires de « justice »-, sans compter la mise à l’index par l’ensemble des avocat-e-s du barreau de toulouse voire d’ailleurs à force de révéler tous les détails. En juin et juillet dernier j’apprenais qu’une dénommée VIALLA ainsi que les dénommés PETREQUIN et CHAMBARET (mais la liste ne s’arrête probablement pas là) faisaient passer à leurs « clients » (eh oui la « justice est aussi un commerce qui profite à certain-e-s) un drôle de message : si on me voyait de près ou de loin dans un quelconque lieu squatté sur Toulouse, si j’apparaissais dans une quelconque affaire il fallait absolument me gicler, la lâcheté de cette méthode consiste à faire exécuter ces basses oeuvres de vengeances minables par les prévenus ou justiciables eux-mêmes. Que certain-e-s marchent dans cette combine par peur, ignorance ou naïveté ne m’étonne pas tant ce système est capable de faire pression sur les personnes au point de leur faire renier les principes de bases du droit : présomption d’innocence, charge de la preuve, etc., tout comme d’autres principes plus humanistes qu’on appelle généralement solidarité, fraternité, etc. je ne citerai pas ces personnes qui sont elles aussi victimes de ce système de « justice » et de mise à l’index digne d’un état fasciste manipulant l’information et la peur pour servir ses intérêts pourris. Néammoins je cite les noms des avocat-e-s en connaissance de cause puisque ils m’ont été cité et que j’ai pu vérifier plusieurs fois ces informations. Si parmis celles et ceux qui naviguent sur le net et me lisent pour la première ou énième fois, il y avait des personnes qui diffusaient cet article au delà de ce que je peux faire ce serait vraiment sympa car me battre seul (ou presque) est quand même un sacré boulot alors que par ailleurs je fais fonctionner à plein régime une association toulousaine dénommée Vélorution !, bien différente des collectifs bobos écolos qu’on trouve sous le même nom dans la plupart des villes de fRANCE. Ce qui me fait à ce point réagir aujourd’hui, et enclenche par la même occasion une chasse aux pourritures baveuses pré-citées (vive les fruits et légumes pourris, sans oublier les yaourts…), c’est le fait de cette mise à l’index qui se poursuit, des 13 mois ferme que j’ai pris dans des procès iniques et truqués commis par les ordures magistrales qu’on appelle « juges » et qui ne sont que les chiens de garde de cette prétendue « démocratie », de ce pays où les « droits de l’homme » sont chaque jour bafoués par les autorités en place et les minables qui espèrent prendre leur place un jour. A bon entendeur,

Sous-Olivier, commandant des vélorutionnaires toulousain-e-s
pour tout contact : velorutiontoulouse@no-log.org