REPONSE DE NOSOTROS.INCONTROLADOS A ERIC FREIDHE

Nous avons peut-être naïvement commis l’erreur de solliciter un « post » sur ton site, en dépit de divergences théoriques et pratiques pourtant évidentes;NOUS ASSUMONS!
Naturellement, nous te remercions pour tes protestations « affectueuses » (et pourquoi pas « amoureuses et érotiques tant que nous y sommes!) dont nous ne saurions avoir un quelconque usage pratique…
Bien dommage tout de même mais au combien amusant!
Il est assez singulier de lire tes félicitations concernant notre initiative de rééditer « De la misère en milieu étudiant… » A bonne lecture de ce manifeste tu ne me sembles pas à l’abri d’un coup de pied.
Bon et bien voici, comment aurions nous pu en douter, que tu dévoiles publiquement ton goût immodéré pour la censure, ta haine et tes trouilles des émeutes, des insurrections et pourquoi pas des révolutions elles-même… Là dessus il te faut évoquer un age qui te rendrait « frileux », nous, nous évoquerions plutôt le notre pour souligner ce qu’il y a de ludique, passionnant et subversif dans les émois sociaux urbains et dans la critique qu’ils recèlent deux même, implicitement, dans la beauté nerveuse qui partout les anime!
En particulier nous soulignerons à l’instar des Situationnistes que ces insurrections , émeutes et autres révolution contiennent « liminairement » les bases théoriques de « la critique de la vie quotidienne » et consequement la critique de toutes les entraves!
Donc, comme tu ne veux pas nous reconnaître comme partie intégrante des luttes contre ce monde, nous comprenons mieux maintenant comment tu le défends en feignant de le combattre.
Et nous revoici confrontés au banalités marxistes léninistes vieillies arc-boutées sur de vieilles stalinardises banalisées auxquelles plus personne n’accorde la moindre crédibilité. En affichant ainsi tes orientations de censeurs enrichies de tes incapacités à « comprendre » ce qui nous oppose à indymédia concernant la censure, tu laisses à chacun l’éblouissance de tes considérations liberticides. Ca va, on te fait confiance: nous en avons fini avec toi!
stephane kerfanto pour:

http://nosotros.incontrolados.over-blog.com
Il ne s’agit pas « d’aimer » ou pas les émeutes mais bien plutôt de leur reconnaitre ce que manifestement tu ne sais voir.