Nous n’oublions pas que la Loi Macron va engraisser des patrons qui déjà se goinfrent pendant que les retraité-e-s, les chômeu-r-se-s, les étudiant-e-s, tou-te-s les précaires survivent exploité-e-s.

Nous n’oublions pas qu’aujourd’hui l’État installe un système de surveillance généralisée et tente de faire de ceux/celles qui résistent des terroristes à abattre.

Nous n’oublions pas qu’à Nantes la police mutile et la justice relaxe, que partout les crimes policiers sont légion mais que des femmes et des hommes déterminé-e-s luttent contre les violences policières.

Nous n’oublions pas que les résistances se multiplient sur les ZAD, lieux de luttes contre le bétonnage de nos terres.

Nous n’oublions pas que partout les idées racistes, sexistes, homophobes s’insinuent dans les discours et les actes.

Nous n’oublions pas l’Europe qui laisse mourir en méditerranée les Damnés de la terre.

Nous n’oublions pas Rémi, Zyed, Bouna, Wissam et tous ceux que l’État assassine. Nous n’oublions pas Quentin, Damien, Nassuir, Ayoub ou Yann qui ont été mutilé à Nantes,Toulouse, Montbéliard ou Mayotte.

Pour que le 1er mai redevienne synonyme de peur pour l’État et le patronat, pour montrer que nous résisterons à leurs politiques mortifères, prenons la rue vendredi 1er mai.

Rejoignez le cortège contre le capitalisme et la surveillance du 1er Mai.

Vendredi 1er mai à 10h30 à Commerce