On les a trahis, floués, exclus. Le chantier naval a fermé, les laissant à la rue ou dans les bars… Ce film de combat dénonce avant tout les licenciements cruels et tragiques, qui plongent les êtres dans le dénuement et le désespoir.
Fernando Léon de Aranoa peint des hommes à terre, dont certains tentent de se relever.