Réveil brusque pour ceux qui ne sont pas encore debout et contrôle d’identité pour tout le monde. Pour l’un d’entre nous, ce fut même l’interrogatoire au commissariat. À titre d’information, jusqu’à ce jour, le Refuge n’a connu aucune interpellation d’un de ses habitants. Sans rentrer dans les détails, il s’agissait seulement pour la police nationale d’éclaircir une bagarre entre cet habitant (français) et un demandeur d’asile (somalien) qui habitat le Refuge le 1er mois. Cependant, cette histoire était déjà résolut. Le soir même, par l’exclusion temporaire de ces 2 habitants puis, de fait, quand ils se sont revus et “entre-excusés” au Refuge, quelques jours plus tard.

En milieu de matinée, 2 agents du Service Départemental de l’Information Générale (SDIG) de Maine-et-Loire passe nous rendre visite afin de nous proposer une entretien avec le préfet de Maine-et-Loire, Richard Samuel.

À suivre…