nouvelle  » bavure  » des milices sarkosmeuses

Ou quand nos cher mèdiarques officiels nous couvre les  » bavures  » du sarkosme sècuritaire et de ses milices

personne n’en a parlè ni Rance 2 et encore moins Tf haine

Surtout pas de bruit même la nuit du 31 dècembre et surtout si vous habitez en face d’un poste de miliciens sarkosmeux

Collectif Anarcho Punks paris

Information a relayer partout

sources afp , ligue des droits de l’homme paris

Controverse autour d’un décès après une intervention policière à Paris

PARIS, 21 jan (AFP) 17h 00 – L’emploi de gaz lacrymogènes par la police, durant la nuit de la Saint-Sylvestre à Paris, est-il à l’origine du décès d’un sexagénaire suédois quelques heures plus tard ? Oui, assurent la Ligue des droits de l’Homme (LDH) et les Verts. Non, répond la préfecture de police.

Lors d’une conférence de presse, la LDH et les Verts du XVIIIe arrondissement ont dénoncé mercredi des « violences policières », commises durant cette nuit du 31 décembre dernier, marquées par l’envoi massif de gaz lacrymogènes à l’intérieur du bar-tabac de la Poste, 68 rue de Clignancourt.

Ces deux organisations ont lié le décès dans son immeuble de Gösta Claesson, 61 ans, quelques heures après l’intervention de la police, à ces gaz lacrymogènes, la victime étant présente, selon eux dans ce bar-tabac.

Selon elles, Mohand Amiar, propriétaire du bar-tabac fêtait le réveillon avec sa famille et des proches dans son établissement fermé au public. Vers 03h00, la police est intervenue, lançant des gaz lacrymogènes dans l’établissement où se trouvaient de jeunes enfants. Tous les occupants du bar-tabac sont alors sortis dans la rue et plusieurs personnes ont été blessées, interpellées et gardées à vue pendant 42 heures.

Dernier à sortir, Gösta Claesson a eu des difficultés à respirer, ont raconté des témoins lors de la conférence de presse. Il a ensuite regagné seul son domicile, à quelques centaines de mètres de là, où il a été découvert mort dans l’escalier de son immeuble le 1er janvier vers 10h00.

Selon Sylvain Garel, président du groupe des élus Verts du XVIIIe, « il est probable que l’intervention policière est à l’origine » de ce décès.

« Je défie quiconque de faire le lien » entre l’intervention de la police et le décès de M. Claessen, a déclaré à l’AFP, Alain Quéant, sous-directeur à la direction de la police urbaine de proximité (PUP) de la préfecture de police.

Ce responsable a ajouté que la police n’avait pas fait usage de gaz lacrymogènes dans le bar-tabac mais « trois mètres devant la porte » et que la victime, selon un voisin, se trouvait à son domicile au moment de l’intervention de la police à 03h40.

Les premières constatations d’un officier de police judiciaire sur le corps de la victime n’ont montré ni trace de coup ni odeur, a ajouté M. Quéant qui s’est déclaré « très tranquille et sans aucune inquiétude » sur cette affaire.

Dans un message lu lors de la conférence de presse, Me Julie Hollard, avocate de la famille de M. Claesson, a affirmé « qu’il n’est pas établi à ce jour que l’intervention de la police soit la cause directe et exclusive de la mort » mais a demandé que « toute la vérité puisse être faite ».

La LDH et les Verts ont par ailleurs protesté contre la condamnation à la suite de ces incidents à deux mois de prison avec sursis, le 2 janvier en comparution immédiate, pour « violences » contre des policiers, de Mohand Amiar et de l’un de ses frères Zoher etvdemandé la suspension de la fermeture administrative du bar-tabac, décidée pour une période de deux mois, par le préfet de police.