Mais les tuniques bleues risquent fort de se venger.
En refusant de se soumettre désormais au contrôle judiciaire, nos camarades s’exposent à retourner derrière les barreaux.
Un mouvement de soutien aussi fort que celui qui s’était levé après le 11 novembre 2008 ne sera pas de trop pour contrer l’acharnement de la triste clique MAMiste et bauérienne à sauver son plan média ainsi que la guéguerre personnelle que les sbires de la SDAT mènent contre les « dix de Tarnac ». Défendre nos camarades, c’est nous défendre tous contre la terrorisation étatique. La laisser s’appliquer à eux aujourd’hui, c’est prendre le risque qu’elle soit employée demain contre tous les opposants d’une société qui, à force de marchandiser et de contrôler tout ce qui vit, fait partout triompher la mort.