Projection débat sur la répression policière avec deux courts-métrage de thiery kruger
Catégorie : Local
Thèmes : Répression
Lieux : Nantes
Vendredi 16 mai 20h30 à B17
avec la projection de deux courts-métrages de Thierry Kruger sur la soirée nantaise qui a suivi l’élection du sarkosy le 6 mai 2007 et la répression du mouvement étudiant anti-LRU (autonomie des universités) au rectorat de Nantes le 17 novembre dernier où une personne a été gravement blessé par une balle de flash-ball.
20h30 – Entrée Libre
B17: 17 rue Paul Bellamy.
pour archive : le 10 avril 2018 le dénommé « Thierry Kruger », a été refusé sur la ZAD (barricade du sud grée)
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lui qui interviewe « Alain Soral » et participe ainsi au confusionnisme fasciste
quand tu cherches des infos sur le confusioniste kruger et que tu vois cet article « mis en avant » par indymedia… Les temps changent :D
A l’époque cette personne était juste un des ces relous cheper qui trainait autour des mouvements sociaux. C’était bien avant qu’il commence à faire des trucs craignos en interviewant des conspis ou des fafs. Il participait aux luttes étudiantes (à l’époque CPE et LRUs). Y’avait pas grand monde qui le suportait, mais il arrivait à s’incruster un peu. Ajourd’hui ce genre de chose est plus possible, et de fait on le croise quasi plus.
A la ZAD il y avait au moins deux indics disait un flic à une journaliste d’un journal capitaliste de marché « On leur donne un billet de 50 et ça suffisait ».
Il faut être paranoïaque pour croire qu’en interviewant un fasciste on devient fasciste. J’ai fais EXPRES d’interviewer Soral, à la demande d’une amie proche qui voulait rencontrer ‘le monstre’. J’ai trouvé un névrosé en souffrance narcissique.
Sur la barricade de la ZAD, j’ai trouvé un autre être en souffrance qui confond paranoïa et politique.
Je reste et mourrait en putain d’anarchiste, et j’en ai rien à foutre des alliés objectifs des flics et des minables délateurs anonymes en mode stal ou gestapo.
Je n’ai perdu aucun ami anarchiste dans mon entourage. Ils savent que je préfère continuer à vivre dans la pauvreté (disons modestie) matérielle que de me renier.
PS : Avec un jeune antifa communiste et une amie psy nous sommes allé voir, en terrain neutre, le groupe néo-nazis nanto-angevin qui avait agressé violemment deux jeunes antifas à Nantes, en représaille au tabassage d’un journaliste de TV Breiz.
Je leur ai dis : je sais que c’est vous, cessons l’escalade. Puis j’ai fais mon rapport à Nantes Révoltée (un gars, une fille) puis un journaliste des Inrock’ (le journal du capitaliste Pierre Bergé) m’a interviewé. Je lui dis que c’est le GUD les coupable, j’ai reconnu leur méthode.
Le GUD, via mon contact, s’affole, me demande que me déjuger. Puis les flics les arrêtes. En emprisonne deux, les libère vite.
Il y a un mois, leur chef, fils d’un officier de l’armée de bonne famille, se suicide. Il a dit quelques jours avant que j’étais le responsable, que c’est à cause de moi que les flics l’on arrêté.
J’ai donc tué mon fasciste apparemment.
Alors avant d’aller baver sur 0,01 % de ma vie dont vous ne savez à peu près RIEN, en prenant une infime faction, que vous déformez, pour nier toute mon existence, chers pseudo- révolutionnaire d’internet en trouble identitaire, on juge un arbre à ses fruits, un humain à ce qu’il a fait.
Je pense, rêve et agis en anarchiste, ne reconnais plus AUCUN pouvoir autre que celui de la chose sue. Qu’avez vous à m’apprendre les trois auxiliaires objectifs de la police pour que je vous respectent ?
La Révolution, c’est pas une affaire de détraqué.
Cela fait des morts.