Appel à témoignages des clients des urgences vétérinaires de l’école véto de Nantes

Nous savons tous que la médecine n’est pas une science exacte, si bien que dans la maladie, nous prenons le risque de les faire soigner. Pour le service des urgences de l’e.n.v.n., comme peut-être dans tous les commerces médicaux : « Il y a obligation de moyens mais pas obligation de résultats » affirme le juriste de l’école. Bien sûr, ce n’est pas affiché à la porte de ce commerce de santé, car les clients seraient moins disposés à s’en remettre aux mains des jeunes vétérinaires … C’est ainsi que mon chat a été opéré, alors que j’ai compris plus tard grâce à un autre vétérinaire que l’opération (Lourde et risquée) était superflue, puisque mon chat risquait la mort par blocage des fonctions urinaires par calculs, et que maintenant il risque la mort par infection rénale. Le problème de mon chat était alimentaire, mais le diagnostique qu’il m’ont donné pour charcuter mon chat, était « idiopathique », pour les vétérinaires inexpérimentés. (« Idiopathie » signifie cause inconnue) De plus, En effet, depuis l’opération, son problème s’est déplacé contre la somme de 700 euros. Loin de reconnaître que l’urétrostomie qu’il a subi s’est mal passée, les cliniciens des urgences se sont targués d’avoir sauvé mon chat ( !) et ont refusé de s’occuper plus de mon chat comprenant que mon porte-monnaie était vide. S’adressant à ma personne comme à une intouchable d’Inde … Feignant une allergie à ma personne pour ne plus soigner le chat d’un pauvre …

Alors je veux savoir : combien d’urétrostomie abusives ont été pratiquées par les urgences de l’école vétérinaire, les chances de survie de mon chat et, en annexe, de combien leur chiffre d’affaire a augmenté ces dernières années. Je veux savoir dans quelles proportions le chantage à la santé, l’arrogance et le complexe de supériorité des jeunes vétérinaires fait souffrir d’animaux pour mieux arnaquer les amis des animaux. Je veux prévenir les amis des animaux du cas de mon chat qui n’est sûrement pas un cas isolé.

En vous remerciant de votre attention et en vous conseillant d’éviter les urgences de l’e.n.v.n. à part peut-être pour les petits bobos, pour préférer les vétérinaires beaucoup plus aptes à exercer leur métier.