Viol ordinaire : le coup du sleeping
Le dortoir collectif respire doucement. En entrant, j’ai d’abord cru qu’il était vide, que les autres sacs de couchage étaient gonflés de vide. Maintenant que je suis habituée à l’obscurité et au silence, j’entends quelques souffles tranquilles, aucun ronflement, juste la douceur d’un début de nuit à plusieurs. Le…