Appel au boycott des produits Doux et Bosch contre le chantage a l’emploi

Comme vous le savez
Le Groupe Doux est le 4ème intervenant de la filière volaille au niveaumondial et le 1er producteur européen. Réalisant un Chiffre d’Affaires de 1,6 Milliards d ‘Euros par an, il emploie plus de 15 000 personnes dans le monde. Donc un groupe qui est loin d’être  » déficitaire  » comme le clament chez les médiarques ses patrons et actionnaires

Comme vous le savez malgré tout cela ce groupe a l’instar du  » modèle  » soit disant  » social ‘ allemand des Bosch et Siemens ce groupe s’apprête a pratiquer sur ces salarié(es) le même genre de chantage que celui du patronat allemand , en les menaçant de délocalisations et de licenciement s’ils ne renoncent pas a certains acquis sociaux , portant notamment sur les 35 heures

Or si tout le monde n’a pas forcément les moyens financiers , de manger du poulet  » bio  » d’être ou de vouloir être végétarien , en tant que  » consommateurs  » puisque dans cette société selon nos  » politiques  » et nos médiarques et autres chantres de la dictature publicitaire , il n’y aurait point de  » salut  » sans la con – sommation nous disposons pourtant d’une arme très simple et qui s’est avérée très efficace dans le passé [ entre autres pour mac cradonald ]pour faire plier et reculer les nuisibles Medefeux

LE BOYCOTT PUR ET SIMPLE DES PRODUITS ; DE CES SOCIETES ET ENTREPRISES QUI PRATIQUERAIENT DE NOUVEAU CE GENRE DE CHANTAGE A L’EMPLOI . ET CETTE FORME MODERNE DE HARCELEMENT MORAL SUR LA PERSONNES DE LEURS SALARIE (ES)

Aussi face a ces nouvelles attaques patronales nous appelons au BOYCOTT immédiat et Total de tout les produits et  » dérivés  » des sociétés du groupe Bosch et de l »empire agro alimentaire du Groupe Doux .

Nous appelons tout(es) les militant(es) syndicalistes de la base , les salarié(es) de ces entreprises qui on étés victimes de la part des leurs  » patrons  » de cette forme de chantage a l’emploi , les associations , les organisations politiques  » alter  » ou anti mondialisation libérale , a s’organiser tout l’été , et a relayer le plus largement possibles des appels aux BOYCOTT ou a des actions locales ou globales contre les produits et  » dérivés  » des sociétés Bosch et Doux

A VOUS TOUS ET TOUTES LE BAL DES IDEES ET ACTIONS CONTRE CES CHANTAGES EST OUVERT

Tout leur produits n’étant pas des produits vitaux ou indispensables loin s’en faut

FACE AUX ATTAQUES PATRONALE ORGANISONS LA GREVE ANTI CON – SOMMATION

Mais naturellement nous appelons aussi le plus vigoureusement AU BOYCOTT TOTAL de toutes les autres entreprises , et contre tout(es) les autres sbires du patronat et du Medef qui seraient tenté(es) de pratiquer ces mêmes chantages a l’emploi , et ces mêmes harcèlements moraux , une pratique des plus immondes qui risque bien de faire tache d’huile dans les mois a venir

Quelque exemple du pouvoir de nuisance de la société Doux trouvés de ci de la sur internet [ les sources sont affichées et les liens aussi ]

Les groupes Doux et Bosch se foutent pertinemment de l’écologie et de l’environnement ce n’est un secret pour personne

car hormis le fait de faire son chantage a ses salarié(es) ce groupe se fout évidement comme de l’an quarante des règles les plus élémentaires de l’environnement , polluant partout sans vergogne a chaque endroit ou il installe ses abattoirs industriels

NOTONS AUSSI que par la politique de Dumping et les subventions aux exportations issues des Dictats commerciaux et politiques de l’ O.m.c , du Fmi , de l’Ocde le groupe Doux comme hélas d’autres géants de l’agro alimentaire états uniens ou européens , ont mis littéralement sur la paille de nombreux agriculteurs et de petits producteurs de pays du tiers citons les tristes exemples de pays comme le Sénégal , l’inde ou ces paysans et agriculteurs n’arrivent plus a vivre de leurs productions , ou le brésil ou ce même groupe Doux est implanté

Voir de nombreux articles a ce sujet sur les sites de Via campesina , du monde solidaire , ou de la confédération paysanne , et ceux de nombreuses O.n.g

Quelques articles

POLLUTION DES RIVIERES BRETONNES

Cette décision de justice est devenue définitive : le pourvoi a été rejeté le 16 octobre 1998 par la Cour de cassation.

M. Charles DOUX est le PDG du groupe industriel qui porte son nom, leader européen de production avicole. Les activités de cet empire industriel génèrent d’importants risques de nuisances sur l’environnement, directement par les activités d’abattage et de transformation, et indirectement par les appuis (techniques et financiers) importants donnés aux agriculteurs, incités à se lancer dans cette production.

Dans cette affaire, une information judiciaire était ouverte en 1991 sur plainte de l’association « Eau & Rivières de Bretagne » suite à une pollution de l’Aulne ayant entraîné la mortalité de plusieurs tonnes de poissons. L’enquête concluait à la responsabilité de l’abattoir de poulets DOUX de Châteaulin (Finistère). L’affaire, jugée six ans plus tard, s’est terminée par la relaxe du P.-D.G. Charles DOUX : seul le directeur de l’usine aurait pu être condamné, mais il était décédé trois semaines avant le prononcé du jugement.

Dans le même temps, le P.-D.G. Charles DOUX était poursuivi pour avoir agrandi sans autorisation ce même abattoir de poulets. L’association « Eau & Rivières de Bretagne » avait en effet constaté que le dysfonctionnement de la station d’épuration de l’abattoir (à l’origine de la pollution massive de l’Aulne) résultait de l’extension clandestine de la production de cet abattoir. L’information judiciaire ouverte à l’initiative de l’association concluait que le permis d’exploiter nécessaire n’aurait été accordé que moyennant le renforcement important et préalable de la station d’épuration de l’abattoir, laquelle était manifestement incapable de traiter correctement tout flux supplémentaire d’effluents industriels.

Charles DOUX tentait d’échapper à toute condamnation personnelle, en faisant peser la responsabilité de cette situation infractionnelle sur le seul directeur de l’abattoir (décédé dans l’intervalle).

Cette manoeuvre est restée sans résultats, le développement de l’abattoir pouvant difficilement relever des compétences exclusives d’un subordonné.

Cette affaire est exemplaire des libertés prises au nom du développement économique par les leaders de l’industrie agro-alimentaire bretonne, avec toutes les conséquences qui en découlent pour l’environnement.

sources associations des eaux et rivières bretonnes

http://assoc.wanadoo.fr/erb/pretoires.htm

Quand Doux empoche les subventions et les primes diverses mais délocalise quand même

Doux délocalise a tout va et continue cependant d’être subventionnée par le Conseil Régional

Lettre adressée aux organisations syndicales – 12 février 2004

Chers amis,
Lors de la réunion de la Commission Permanente du Conseil Régional de Bretagne du lundi 9 février 2004, en tant qu’élu TEAG ( » Tous ensemble à Gauche « ), je me suis opposé au versement d’une subvention de 199 500 euros à la société DOUX SA accordée sans la moindre contrepartie en terme d’engagement au maintien de l’emploi en Bretagne ou d’amélioration des salaires. Cette aide publique s’inscrivait dans le programme 1004 : « Filières agricoles Investissements: soutien aux investissements de l’activité de produits congelés de la société DOUX SA « (cf le rapport de présentation du projet en annexe)

La société DOUX va ainsi recevoir comme aides publiques par rapport au montant de son projet d’adaptation de son activité produits congelés :
7% dans le cadre du Plan d’Adaptation de la Filière Volaille (Plan Gaymard)

5% de L’Etat (Prime d’Orientation Agricole : POA)
15% de L’Union Européenne (FEOGA)
7% dans le cadre de l’aide OFIVAL versée à parité par le Département du Finistère et par la Région Bretagne (soit 3,5% chacune)

C’est donc au total 34% d’aides publiques sur un montant total de 1 938 000 euros qui vont être accordées à la société DOUX SA. Ces aides ne servent en aucune manière à préserver les emplois chez Doux en Bretagne (l’activité congelés concerne aussi le Brésil), ou à améliorer les salaires et les conditions de travail qui en ont pourtant bien besoin. Elle ne servent qu’à encourager une stratégie financière qui consiste à délocaliser la production, pour diminuer les coûts, et cela dans un seul but : améliorer le taux de profit et les dividendes pour les actionnaires.

En raison de l’obligation dictée à l’U.E, par l’O.M.C, d’importer au moins 5% de sa consommation intérieure, des entreprises de l’industrie agroalimentaire choisissent tout simplement de délocaliser une partie de leur production, pour l’importer ensuite. La société DOUX a ainsi transféré des unités de production vers le Brésil après avoir acheté en 1998 la société FRANGOSUL qui exporte près de la moitié de sa production , DOUX est alors devenu le troisième exportateur de poulets congelés du Brésil. Ce poulet brésilien a un coût de production inférieur de 33% à celui produit en Bretagne. Doux délocalise une partie croissante de sa production et actuellement plus de la moitié des salariés de cette entreprise travaillent en dehors de l’U.E. (7 500 salariés). Les importations à bas prix réalisées par DOUX accentuent la baisse des cours et la crise de la filière avicole bretonne. Face à la compétitivité de sa filiale brésilienne le groupe DOUX impose en Bretagne à ses éleveurs intégrés une révision à la baisse des contrats annuels qui fixent la marge de leur rémunération.

L’entreprise DOUX peut ainsi jouer sur deux tableaux car elle touche d’un côté, ne l’oublions pas, des restitutions européennes lorsque les exportations sont destinées à des pays hors U.E. et de l’autre côté, elle bénéficie d’aides directes et de cette obligation de 5% d’importations pour pénétrer le marché européen avec sa production délocalisée. Cette stratégie est en partie la cause de la crise de surproduction dans le secteur de la volaille avec pour conséquence la fermeture de nombreuses exploitations avicoles en Bretagne.

Continuer de subventionner avec des fonds publics une firme multinationale de l’agroalimentaire qui base sa stratégie sur les volumes et la baisse, par tous les moyens, des coûts de production, c’est poursuivre la mise en péril de la filière avicole bretonne avec toutes les conséquences économiques et sociales auxquelles nous sommes déjà confrontés. Les consommateurs français et européens sont de plus en plus demandeurs de volailles de qualité et les aides publiques devraient prendre en compte cette nouvelle exigence plutôt que de continuer de financer, à perte, des volumes. La qualité procure une valeur ajoutée plus forte et s’inscrit dans une logique d’agriculture durable plus respectueuse de l’environnement.

Tous les groupes politiques étaient représentés, sauf le MNR, lors de cette Commission Permanente ( FN, UMP, PS, VERTS, PC, TEAG/LO ). J’ai, après le débat, maintenu mon opposition et le représentant du PC s’est abstenu. Tous les autres membres de cette instance ont donc approuvé le versement de cette subvention à la société DOUX, dont, encore une fois, les salariés de Doux en Bretagne ne toucheront pas un centime, puisqu’elle va encourager encore plus la délocalisation, dans le cadre de la mondialisation libérale.

Toutes les aides publiques perçues par la société DOUX depuis des années n’ont pas amené cette entreprise à renoncer à fermer des sites en Bretagne et ainsi à interrompre les délocalisations.

Attaché à la transparence, je tenais à vous apporter toutes ces informations car il est de mon devoir d’élu de vous rendre compte du versement des subventions à certaines entreprises. Les intérêts du patronat de l’agro-alimentaire sont une chose, ceux des salariés en sont une autre. En ce qui me concerne, ce sont ces intérêts des travailleurs qui guident mes choix politiques. Je reste à la disposition des organisations syndicales qui souhaiteraient en discuter et je vous adresse mes salutations cordiales et solidaires.

sources

http://www.teagauche.org/teag/region_bretagne/2004/agriculture/doux.htm

Quand Doux malgré ses promesses de sauver les emplois par son chantage au 35 heures s’apprête visiblement à faire le contraire [ avec quelques notes personnelles ]

L’actu des entreprises Doux annonce une vaste restructuration

Premier producteur et exportateur de poulets en Europe, le groupe Doux devait annoncer hier, lors d’un comité central d’entreprise, un plan de restructuration, sur fond de crise de la filière avicole. Ce plan aurait des conséquences à la fois sur les aviculteurs et sur les salariés du groupe. Au total, 620 000 m2 de poulaillers industriels pourraient être supprimés en France, dont 536 000 pour la seule Bretagne. Fin avril, 500 aviculteurs dont 390 en Bretagne ont déposé un dossier de cessation d’activité. Alors que Doux emploie 14 000 salariés en Europe dont 6 000 en France, les syndicats estiment que la restructuration pourrait menacer 3 000 emplois dans l’ouest du pays. Selon le délégué CFDT [ majoritaire au sein du groupe volailler Doux ce qui nous fait craindre le pire quand a l’avenir des salarié(es) du groupe Doux ] , des fermetures d’abattoirs pourraient être annoncées. Le groupe, qui concentre deux tiers des exportations françaises de volaille, réagit à la réduction des aides communautaires à l’exportation, alors que la filière avicole française est en surproduction. Le délégué CFDT pointe là aussi la concurrence du poulet thaïlandais et brésilien, beaucoup moins cher mais ne présentant pas les mêmes garanties sanitaires. De son côté, la FDSEA [ qui pourtant est loin d’être une organisation  » alter – mondialiste  » ] et la confédération paysanne du Finistère dénoncent ces  » grands groupes et géant de l’agro alimentaires qui préfèrent se délocaliser et renforcer leur présence au Brésil, en Thaïlande ou en Europe de l’Est « , allusion au rachat par Doux en 1998 d’un concurrent direct du Brésil, Frangosul, employant 7 000 salariés .

sources l’humanité et divers articles de ce journal

Enfin si vous voulez bombardez d’emails de protestations contre la politique  » sociale  » de régression et de harcèlement moral caractérisé de chantage a l’emploi du groupe avicole Doux et celui de Bosh France surtout ne vous gênez pas , ces adresses n’ont rien de confidentielles et sont facilement consultable et accessibles via les moteurs de recherches habituels

Voici l’adresse des sites de ces agents du Medef

http://www.doux.com/

Et celui du groupe Bosch en France

http://www.bosch.fr/content/language1/html/index.htm

A bas la  » république  » de Medef

Mieux vaux être encore sous terre mais libre Que sous le joug du Medef

Mieux vaut être encore sous terre mais libre Que sous le joug de la cfdt et des Jaunes de tout bords

Enragé(es) Enragés paris