Ufed : standard de l’investigation
Publié le , Mis à jour le
Catégorie : Global
Thèmes : InformatiqueRépression
Cellebrite est le leader mondial en matière d’investigation numérique des téléphones mobiles, avec la proposition d’un équipement devenu l’outil indispensable des polices et gendarmeries du monde entier (154 pays)
Son produit phare est le UFED (Universal Forensic Extraction Device), un dispositif complexe qui parvient à pénétrer près de 17000 terminaux mobiles différents, qu’il s’agisse de smartphones, tablettes ou également de GPS.
Il y a encore une dizaine d’années, la recherche de traces numériques se concentrait principalement sur les Personal Computer. Aujourd’hui, c’est le smartphone qui est devenu l’essentiel terrain d’investigation des détectives, enquêteurs, espions, hackers, …
L’entreprise affirme dans ses conditions générales d’utilisation et de vente, « que sa technologie n’est qu’à l’usage de la loi » ; Celles-ci ne sachant pas être vérifiables, « Cellebrite » est régulièrement cité par des ONG et ou des journaux d’informations pour l’utilisation de ses outils à des fins de répression dans des pays comme le Venezuela, l’Arabie Saoudite, l’Indonésie, Chine (Hong-Kong), Biélorussie, …
Son matériel est aussi tout simplement en vente sur des sites à cet effet.
Cette rédaction est une courte synthèse de divers articles de journaux informationnels
Les activités des services renseignement et de sécurité européens s’intéressent à trois phénomènes en priorité et relatif à l’extrême droite :
– L’activisme anti-asile, anti-immigration et anti-islam
– Les groupes d’action nationalistes
– Les mouvements néo-nazis et skinhead potentiellement violents
Extrême gauche :
La « menace » qui émane actuellement des groupes extrémistes de gauche est très limitée.
Les groupes « politico-idéologiques » de gauche sont suivis dans le contexte de « l’extrémisme » et non du « terrorisme ». Les mouvements de protestation axés sur des thèmes plus généraux tels que l’anti-militarisme, les droits des animaux, l’environnement, le soutien aux personnes sans-papiers ne sont d’ailleurs pas suivis en tant que tel.
Leur surveillances est aussi relatives aux tentatives d’infiltration de ces mouvements par des éléments d’extrêmes droites.