Publier des nouvelles de la zad
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Category: Local
Themes: ArtZad
On a toujours été clair qu’on sert à diffuser vers l’extérieurs des textes issus du mouvement d’occupation. Ce site n’est pas celui d’un groupe, d’une pensée politique, on veut continuer ce qui fait son identité depuis sa création : être le porte parole DES voix de la zad, qu’il serve à monter la complexité et la richesse de ce qui s’y vit.
De quelle manière? Pour rappel on n’est pas un réseau social, une maison d’édition ou indymédia (on ne veut pas faire d’open-publishing, c’est à dire publier tout ce qu’on nous envoie) : on est un auto-média. On assume de prendre le temps, si besoin, avant de publier un texte, de se questionner… et éventuellement de ne pas publier. On ne veut pas servir de « crachoir à chaud » pour des gens qui ne se seraient pas capables de se parler directement !
On va republier régulièrement des articles. N’hésitez pas à visiter régulièrement le site et à consulter son agenda.
Enfin,on vous rappelle que la meilleure manière de prendre des nouvelles de la zad sera toujours d’y passer. Plusieurs lieux continuent à faire de l’accueil si voulez venir quelques heures ou quelques jours. Les Rouges et noires font toujours un chantier de maraichage tous les mercredi, de 10 à 18h dans le champ entre les Fosses Noires et les Vraies Rouges, le Taslu, l’Ambazada et la wardine continuent à organiser quantités d’évements, rencontres, etc.
On organise des portes grandes ouvertes le 26 avril prochain, réservez la date! Plus d’infos à venir.
Des textes issus du mouvement d’occupation ?
Il y a un “mouvement d’occupation” sur les terres de l’ex-Zad ? Ah ?! Où ça ?
En vrai, il y a un mouvement d’appropriation, pour le bien commun, pour la révoluton à venir, ou pour planter des choux, ça dépend des sensibilité. Bref, si toi aussi tu veux nous voir occuper nos maisons et nos terres, envoie la maille au fonds de dotation. On fera des banquets pour dire merci.
Ici : “Un fonds de dotation pour acquérir d’urgence les bâtis, terres et forêts sur la zad de Nddl” : https://zad.nadir.org/spip.php?article6260
le travail degueu c’est vous qui le faites sur l’ex zad
vous voulez des p’tits rappels ou vous êtes deja assez deprim’ comme ça ?
alors on y va :
-nombreuses marques de desolidarisations avec les expulsées et les destructions comme ouverture des barricades, négociation pendant les expulsions (un des mandats entre vous etais pourtant: pas de negoc si destruction ah ah ) signatures de baux sur le terrain ou vivent des gens qui n’en veulent pas PUIS menace et pressions sur elleux pour qu’ils dégagent…
-enlèvement et encoffrage (après lui avoir cassés 2 membres) d’une personnes pour cause de trous sur la route
– vol de caravane
-menacent a la barre de fer, menace a la hache.
-coup de pression a 40 pour faire partir les gentes de là ou ielles habitent
bon c’est un petit résumé ya matiere a ecrire encore malgres ce qui est deja disponible en brochures,
a la rolendiere aussi yaurai a dire notament pendant les expulsions mais ça viendra… et a saint jean avec leur pique nique citoyenniste avec carte d’identité pendant que leurs voisin se faisaient detruire ils sont ou les guerriers qu’on nous vendaient!
et aux fosses noires avec leurs écriteaux “si t’es poursuivi par un gm passe ton chemin” parce que nous ici c’est non violence comme si là la violence ne venaient pas des flics!
mais bref on y reviendra !
et sinon, vous savez tres bien que tout le monde peut faire des commentaires sur indymedia nantes et vous vous ne vous en genez pas d’ailleurs
mais par contre ce qui vous dérangent c’est que les choses se sachent: vos petites et grandes degueulasseries
c’est vrai qu’avec zad nadir, pas de soucis tout est beau tout est propre envoie le pognon mon con !
Mais … l’argent ne rentre pas aussi vite que prévu la ou vous parliez a tout va de 3 millions vous voila a peine a 700000 et vos amis ne veulent pas payer plus pour vos terres et vos maisons…
ça s’appelle le retour de bâton, et ouais ça fais mal
(nous on se le mange depuis un bail de vous avoir laisser trop faire.)
allez déguste, chouchou !
allez on veux le texte de soutien au hangars de votre avenir en feu, par des syndicalistes nantais.
ça marcherais peut être pour redorer votre blassons
c’est vrai
les syndicats ils sont deter,
ils iront jusqu’au retraits
LOL
C’est écrit : “Devenez acteurs de l’avenir de la zad en finançant son rachat par notre fonds de dotation « la terre en commun ».”
T’as pas d’argent ? Ah. Dommage, vraiment dommage.
Parce que : “La zad doit continuer à être ce véritable laboratoire de la transition écologique et sociale. Nous ne pouvons pas la laisser perdre. Si sa survie passe par le rachat, nous devons le réussir.” (appel à faire un don : La terre en commun, Les Fosses Noires 44130 NOTRE DAME DES LANDES )
Alors, t’as pas une grand-mère ?
“Plusieurs lieux continuent à faire de l’accueil si voulez venir quelques heures ou quelques jours.”
Sic..
Mais attention ces acceuils sont conditionnels : il ne faut pas être “fragilisé.e.s”, ou en “détresse psychologique”, ou avoir des “conduites addictives” (enfin sauf pour la bière des fosses noires, mais comme elle est chère ça va tu pourras pas être rébou. La dépendance au pouvoir est par contre plus que bienvenue). Il faut savoir parler bien et posément quand on vient t’embrouiller ou qu’on t’écrase la gueule aux AGs où de toute façon tu n’est pas censé parler. Si tu as des chiens passe ton chemin sinon on les tire au fusil. Ici c’est l’autogestion, alors si t’as des problèmes tu te démerde, nous on construit nos communs. Mais t’es quand même bienvenue pour faire la petite main pour construire nos exploitations.
Nous ne mettrons pas toutes les conditions parce qu’elles ne sont pas réellement définies et dépendent surtout de notre bon vouloir.
Si tu n’est pas conforme à nos normes et ne suis pas nos règles (même celles qu’on invente opportunément), nous avons développer toute une palette de réponses judiciaires, qui vont du coup de pression à 50 aux coups de barre à mine, voire à l’éloignement coffré si nécessaire.
Non sans déconner, vous avez fait une réu d’urgence parce que vous flippez de pas avoir tous les sous pour acheter vos maisons, alors il faut reprendre la main sur la communication c’est ça?
Coïncidence, juste hier soir, après la nième publicité des dégageurs de “paumés” je (re)posais des questions qui n’ont toujours pas de réponse?
https://nantes.indymedia.org/articles/49213
“Pas de mixité sociale, justice sociale!
Comment Publié: le mercredi 11 mars 2020 à 21:36 par Questions?
Pas directement impliquée mais soutien de la ZAD du temps où c’était un foyer de luttes contre l’aéroport ET SON MONDE, atterrée de voir ce que c’est devenu. Un commentaire d’un autre article destiné à accréditer la version victimaire des vainqueurs a fait allusion à un partenariat d’éleveurs avec Lactalys, mais les éleveurs en question n’ont pas répondu, ils ont encore balancé des accusations et des insultes comme si la question n’avait aucune importance.
Un autre article évoquait les “enjeux fonciers” “d’importance”, que les “paumés” seraient incapables d’envisager. Et pour reprendre l’image d’immigration choisie, ceux qui se sont fait dégager avec l’aide des légalistes étaient sommés d’accepter avec le sourire qu’il était normal d’en sacrifier quelques uns pour qu’au moins d’autres puissent devenir propriétaires.
Et en parlant de propriété, je m’interroge sur cette soudaine frénésie de racontars malveillants: y aurait-il un rapport avec la cagnotte ouverte pour permettre l’achat de terrains? Déjà sept cent mille euros de récoltés mais apparemment il en faudrait le double. Or en raison de la mauvaise image tout à fait méritée des légalistes beaucoup, dont je fais partie, ne voient pas l’intérêt de subventionner des petits agris et éleveurs fussent-ils bio parce qu’ils campent sur les ruines de ce qui fut un lieu de luttes et expériences libertaires. D’où cette campagne intensive de dénigrement?”
“Il y a de nombreuses autres manières de nous aider dans ce combat au long cours: ici, plus qu’ailleurs, il n’y a pas que l’argent qui compte. Dans les mois et années à venir, nous continuerons à faire vivre ce territoire. N’hésitez pas à passer, à rejoindre les dynamiques et activités en cours (participer à un chantier, faire du maraîchage, partager des compétences ou organiser un concert…) et amener de nouvelles idées !” (https://encommun.eco/contribuez)
Si t’as pas d’argent, tu peux venir filer la main sur les chantiers de nos maisons et de nos terres, qu’on occupe sans toi.
Alors, stp, ne fais pas ta chouine !
zad nadir comme dépositaire de la façon de publier des nouvelles de la zad donc! et ça depuis les expulsions (au moins)
bon ielles font quand même passer le texte sur indymedia parce que sur zad nadir plus grand monde y va.
c’est le site “tous va bien on a juste besoin de vos sousous pour acheter nos maisons commune a nous”
de memoire mm si ca doit pas etre tres bien range mais tu peux aussi aller a la gree
oups y zavait du oublier
parait que vous avez bien dégagé le gamin qui a grandi aux fosses noires en s’y installant d’ailleurs?
Leur texte, ils sont en train de le peaufiner mais on a déjà les signataires:
Signataires
(ces signatures n’engagent pas les structures syndicales dont ils sont membres)?:
Philippe Sabaa (CGT), Jean Brunacci (Solidaires), Chrystèle Savatier (CGT), Pascal Fremont (Sud-PTT 44/85), Emmanuelle Lefevre (CGT), Jacky Beaujeault (Sud-PTT 44/85), Tristan Leroy (CGT), Willy Wesnoker (Sud-Rail), François Leclerc (CGT), Marie Cussonneau (Sud-PTT 44/85), Cécile Goarant (CGT), Yves Le Lann (Solidaires), Emmanuelle Étienne (Sud-PTT 44/85), Sandra Cormier (CGT), Nara Cladera (Solidaires), Christine Brochard (CGT), Joël Aere (Sud-PTT 44/85), Muriel Wolfers (CGT), Thierry Gruget (Sud-PTT 44/85), Cécile Goarant (CGT), Stéphanie Lambert (Sud-PTT 44/85), Patrice Brillouet (Sud-PTT 44/85), David Chatelier (CGT), Bruno Dupuy (Sud-PTT 44/85), Émilie Debordes (CGT), Stéphane Blaize (Sud-PTT 44/85), Steve Potiron (Sud-PTT 44/85), Daniel Lahaye (Sud-PTT 44/85), Yann Douteau (CGT), Marie-Claire Morin (Sud-PTT 44/85), Christine Nuez (CGT).
J’ai sûrement du louper un truc mais c’est quoi cette histoire de texte signé par des syndicalistes?
A l’origine c’est ce texte: https://www.politis.fr/articles/2018/05/la-zad-nourrit-les-luttes-syndicales-en-pays-nantais-38773/
La ZAD nourrit les luttes syndicales en pays nantais
L’appropriation collective d’un territoire par le mouvement social confère de nouveaux moyens qui permettent d’appuyer les luttes syndicales.
Depuis l’été 2017, différentes composantes du mouvement social à Nantes (étudiantes, syndicales, autonomes, ZAD) se rencontrent régulièrement. Ces rencontres ont pour but de réfléchir en commun à l’organisation du mouvement social et d’apporter un soutien à chaque composante selon son actualité propre. Ce travail a permis, entre autres, la réalisation de gestes communs lors des manifestations de l’automne 2017. Si cette composition n’est pas sans difficultés – chaque composante doit accorder elle-même ses propres tendances en interne –, une partie des habitant·e·s de la ZAD ont été des éléments moteurs du rapprochement.
Un exemple récent de ce rapprochement est la création du réseau de ravitaillement nommé la Cagette des terres. Son objectif est de mettre en relation producteurs·trices/paysan·ne·s, militants, syndicalistes et cotisant·e·s, en vue de nourrir (au sens propre) les luttes, et en particulier les piquets grévistes. Ce projet est ouvert et intègre des personnes qui n’habitent pas la ZAD, mais ses chevilles ouvrières en sont les habitant·e·s. À l’automne 2017, lors des grèves des postières et postiers de Saint-Herblain et de Vertou, en banlieue nantaise, la Cagette a nourri les grévistes, tous les matins de la dernière semaine du mouvement, avec un petit-déjeuner – et quel petit-déjeuner ! Crêpes, galettes, pains, fromages, pâtés, fruits et légumes, confiture, miel, soupe, avec du thé et du café. À l’issue du conflit, tous les salarié·e·s en lutte se sont vu remettre une cagette (d’où le nom du réseau) de produits frais issus des productions de la ZAD. Aucune contrepartie ne leur a été demandée. Ce sont les habitant·e·s de la zone qui ont cotisé à la caisse de grève des salarié·e·s.
Ce soutien actif a certainement joué un rôle dans la capacité des grévistes à tenir une lutte aussi longue. Bien que certains aient été pro-aéroport ou aient craint le contact avec les personnes de la ZAD, du fait des fantasmes colportés par la presse, beaucoup ont gardé des liens forts avec les habitant·e·s de la ZAD et s’y rendent fréquemment. Dans certaines structures syndicales, c’est maintenant presque un réflexe de solliciter le soutien du « réseau de ravitaillement » lorsqu’une grève est prévue.
L’existence de la ZAD est sans doute une des raisons déterminantes de cette nouvelle vigueur de la lutte à Nantes et alentour. Une partie des habitant·e·s mettent leur temps, leur énergie et leurs moyens au service des luttes. Parce qu’ils sont organisé·e·s en communauté, ils dégagent de l’énergie en réduisant le temps lié aux tâches courantes et à la production ! Toutes les composantes de la ZAD ne sont pas engagées dans ce travail de composition, mais cette volonté de convergence est portée par suffisamment d’habitant·e·s pour permettre un soutien significatif aux luttes en cours. Cette convergence s’élargirait si le monde syndical manifestait davantage de soutien face aux opérations d’expulsion.
La cause de cet effet revigorant sur les luttes est à chercher dans les moyens nouveaux que confère l’appropriation collective d’un territoire par le mouvement social. Et c’est sans doute à tort que nous, syndicalistes, pensons souvent seulement en termes de mots d’ordre et d’activisme. Rappelons aux non-initié·e·s que la ZAD, c’est : plusieurs exploitations laitières, un atelier de réalisation de produits laitiers, deux boulangeries, des tracteurs, plusieurs ateliers, des hectares d’exploitation agricole, de nombreuses grandes serres, des cultures maraîchères et céréalières, une meunerie, un atelier bois et une équipe de bûcheronnage, bientôt une scierie, une production de viande avec sa transformation… À côté des infrastructures agricoles, nous trouvons une bibliothèque, un studio d’enregistrement, des salles de concert et de sport, un restaurant gastro et une radio !
Cet ensemble de moyens humains, matériels et agricoles ouvre des perspectives pour les luttes syndicales dans la région. Nous pourrions systématiser et multiplier le ravitaillement des luttes, réaliser des structures en vue d’accueillir des salarié·e·s en difficulté, exposés à des licenciements ou encore à la répression antisyndicale, penser des lieux ou des organisations qui permettront de dynamiser la vie syndicale. Ces projets sont du domaine du possible.
Ces perspectives sont intimement liées à l’avenir de la ZAD, à la possibilité que cette zone permette une organisation commune. C’est précisément cette gestion commune que souhaite anéantir la préfecture de Nantes. Les fiches de projet agricole individuel qu’elle réclame ne permettent que d’élaborer des « projets alternatifs individuels », et non un territoire géré en commun, avec la puissance qui en découle. Projets individuels qui se dirigeraient progressivement vers une production marchande, rentrant ainsi finalement dans le système…
Cet acharnement contre l’organisation collective d’un territoire rappelle celui que subissent les salarié·e·s de certains secteurs lorsqu’ils s’organisent collectivement. Il va aussi de pair avec celui du pouvoir quand il cherche à détruire tout ce qu’il reste de commun, de collectif : les services publics, l’éducation, la sécurité collective des statuts ou des contrats dans certaines entreprises, dont la SNCF. Les syndicalistes doivent faire le lien avec les attaques du pouvoir contre la ZAD, qui, comme ailleurs, visent à fragmenter la société en une série d’individus isolés, égoïstes, bref, manipulables…
La ZAD n’est pas seulement utile au mouvement syndical par les soutiens qu’elle lui apporte. Elle l’est aussi par l’exemple qu’elle donne d’une alternative possible au monde marchand. Sur la ZAD, le coût de production d’un pain de 1,5 kilo – vendu à prix libre –, aux qualités gustatives et nutritives excellentes, est de… 1 euro ! Toutes les étapes de sa production, depuis la culture des céréales (sans traitements) jusqu’à sa cuisson, sont effectuées sur la zone. Dans le circuit marchand, chaque intermédiaire ponctionne sa marge propre, et le même pain est vendu 10 fois plus cher environ. Un rapport de 1 à 10 entre une production marchande et une production qui échappe à cette logique, voilà la meilleure preuve du fameux « coût du capital »?!
L’aéroport n’est plus aujourd’hui la question, le projet est enterré. La question est l’avenir de ces terres. Retourneront-elles à de gros exploitants pesant de tout leur poids dans la chambre d’agriculture ? Parviendrons-nous à préserver ce territoire qui tente d’échapper aux logiques marchandes et qui nous aide à penser le monde de demain, débarrassé du salariat et de son corollaire : l’accumulation infinie du capital avec ses conséquences dramatiques pour les salarié·e·s et la biodiversité ? C’est à chaque syndicaliste de reconsidérer la question, quelle qu’ait été sa position concernant l’aéroport.
Signataires
(ces signatures n’engagent pas les structures syndicales dont ils sont membres)?:
Philippe Sabaa (CGT), Jean Brunacci (Solidaires), Chrystèle Savatier (CGT), Pascal Fremont (Sud-PTT 44/85), Emmanuelle Lefevre (CGT), Jacky Beaujeault (Sud-PTT 44/85), Tristan Leroy (CGT), Willy Wesnoker (Sud-Rail), François Leclerc (CGT), Marie Cussonneau (Sud-PTT 44/85), Cécile Goarant (CGT), Yves Le Lann (Solidaires), Emmanuelle Étienne (Sud-PTT 44/85), Sandra Cormier (CGT), Nara Cladera (Solidaires), Christine Brochard (CGT), Joël Aere (Sud-PTT 44/85), Muriel Wolfers (CGT), Thierry Gruget (Sud-PTT 44/85), Cécile Goarant (CGT), Stéphanie Lambert (Sud-PTT 44/85), Patrice Brillouet (Sud-PTT 44/85), David Chatelier (CGT), Bruno Dupuy (Sud-PTT 44/85), Émilie Debordes (CGT), Stéphane Blaize (Sud-PTT 44/85), Steve Potiron (Sud-PTT 44/85), Daniel Lahaye (Sud-PTT 44/85), Yann Douteau (CGT), Marie-Claire Morin (Sud-PTT 44/85), Christine Nuez (CGT).
En cas de reprise des expulsions, un appel à converger sur la ZAD, à l’adresse du monde syndical, sera publié sur zad.nadir.org. Pour en être informé, contactez-nous à syndicatzad@riseup.net